when is it now

jeudi 24 octobre 2013

que c'est drôle de savoir ce que c'est, un petit exemple de chance avouée, car la plupart du temps on cache ce qu'on connait en pensant en faire une bonne affaire, des fleurs dans un pot de la merde dans la tête, je compte à l'envers, ça me prend du temps, ce moment est fermé, il attend dans le couloir, mais comment parler, ça change à chaque instant, c'est la mémoire qui tombe à 80 ans, mais moi qui suis-je, ça dépend des jours pour comprendre que chaque instant et prisonnier d'une folle exigence, toujours être, quoiqu'il arrive, mais moi je sais ce que je fais, des aller-retours, sans passer au plus près des autres, distance réglementaire, impossible d'être plus, je suis moins, j'arrive, je suis au pas prudent, ça passe juste, la prochaine fois je vais m'écraser pour ne plus souffrir, je me suis aperçu que c'est un peu plus à droite, j'y vais dans l'urgence pour être à l'heure, c'est la vie, son rythme, sa passion, sa trace d'escargot, mais ça s'accélère, ça vibre, ça percute dans le silence, tout est bruit, tout est noir, tout vient à l'heure, une chance de partir, des conditions nécessaires et en avant dans une avenue bordée d'arbres du Japon, comment faire, je sens le vent qui vient de loin, je suis près de moi, je m'écoute, ça me convient, je suis bien portant, je me porte bien des doigts en feu, un corps en feu avec de l'eau tout autour pour éviter la contagion, c'est comme ça que je suis tous les jours depuis hier, ce que je fais dans l'ensemble est particulier car ce qui me prend de temps en temps c'est une folie de vivre bien, mais je décroche, il faut continuer, un peu, beaucoup à la folie

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