il le faut, c'est normal, car je crois à la descente vers le bas, c'est un mouvement incertain qui prend de la vitesse quand je me rends compte qu'il est l'heure de tomber, un jour peut-être, une heure, une minute, un seconde, la cœur, bât la mesure de la folie, quand on est capable de voir ce qui se passe, je suis en train de croire que c'est possible, alors qu'hier j'étais encore dans la seconde sans me dire que maintenant je sens une ouverture, c'est quelque part, dans une direction qui vient de loin, au plus près de la limite considérant qu'il est souhaitable de faire table rase, je prend encore des minutes pour réfléchir, car que puis-je faire pour rester bien, ça me prend un peu dans la fraîcheur, des sentiments partagés, tout de suite, sans limite, est-ce possible, une rencontre qui me tient responsable, mais je vais me tourner pour voir que c'est plus joyeux que véritable, il est possible de rêver, la vérité est autrement plus froide, car chaque moment est accroché à l'autre depuis le temps invité à la fête, dans une joie nouvelle qui ne peut se limiter à l'ancien, le nouveau approche de la maison verte, pour ne pas plonger tout de suite dans le grand bain, j'attends un autre signe, quelque chose de fort qui peut me faire croire que quelque chose arrrive