que veux-tu, c'est comme ça, j'ai déjà fait de crêpes pour mes copains, mais maintenant je suis pris par un manque qui ne me permet pas de changer pour autre chose, ceci étant présent, je suis parti pour un certain temps, depuis des années je lutte pour rester à l'intérieur, car je sens que je suis incapable de trouver une solution adéquate, un peu dans la chance, beaucoup dans la rencontre d'une autre sortie, pour la première fois depuis des années je vois clair, ça commence à s'ouvrir pour que je puisse faire ce que je veux, dans un sens approchant la limite, dans un sentiment qui prend le pouvoir, vers une source précieuse dans laquelle je trouve une sorte de plaisir facile alors dans les couloirs il y a une odeur désagréable, toujours tourné ver l'avenir, quand je serai conduit dans le sens dominant, mais pour le moment je profite de la lenteur des jours qui passent sans avoir à me perdre dans un délire de croyance satisfaisante, il n'y a pas d'issue dans la joie, cette belle histoire à une fin, alors je prends peur, je fais attention même si ça peut faire du mal, je crois qu'il est possible de faire ce qui est possible même si ça peut aller de travers, car ce qui est droit est à payer rapidement, ça coûte très cher de vouloir rester libre, car on ouvre beaucoup de moments pour éviter de tomber dans une tombe creusée pour quelqu'un d'autre, voilà qu'il est dans ce temps, car cette croissance est nécessaire pour continuer à rêver, un pas devant l'autre et jamais dans une autre direction, je connais mon chemin, il va droit au but