A l’abri d’un arbre on est protégè de la pluie un court instant puis ça passe et on est mouillé. Petit j’étais sous la protection de mes parents. Je ne connaissais la vie qu’au travers de leurs visions. Le temps a passé et l’ombre des feuilles a laissé la place a des images d’hésitation dans ma tête. Responsable 51 mon tour d’un foyer je m’aperçois de la difficulté de regarder loin devant moi. Les jours
se succèdent sans pouvoir m’accrocher à des idées simples. Voilà l’erreur des enfants de croire que les parents agissent avec du bon sens facilement. Une fois adulte l’entreprise se transforme en parcours de parachutiste. Sans cesse il faut faire des bonds sur le côté pour éviter les pièges au milieu de la route. Tout à
coup on ne voit plus rien. On pourrait avancer les yeux fermés. Comment garder un chemin rectiligne. Combien de détours faudra-t-il faire, que de temps il faut passer a vivre. L’utile passe devant l’agréable. Travailler toujours d’avantage à
s’améliorer. Repousser les limites que jeune on n’imagine pas. C’est en connaissant le monde que me vient cette vision de l’effort.
c'est suffisant, voila une autre grande découverte, pas la peine d’aubergine de grandes œuvres J ’apporte mon grain de sable aujourd’hui et peut-être demain donnerais~je la même quantité, c’est mon vœu le plus cher. Pas grand mais régulier et discret. Aller au même pas, on peut marcher très longtemps, de ne
temps en temps on divague pour oublier que la terre toune autour d'un soleil qui me chauffe. Heureusement qu’il existe des joies simples sans technologie électrique. Le cœur bat et entraine le reste, c’est a dire moi. A chaque coup je pars pour un nouveau tour de piste avec le soleil, la nuit, l’ennui, les autres. C’est une course folle au milieu de marécages ou la pensée s’interroge sur la
présence humaine sur terre. Et pourquoi moi, d’où viens-je. C’est de la sauce tomate qui dégouline sur ta chemise. Comment ai-je pu lui avouer d’avoir trahi sa confiance. Tout se mélange dans un affreux désordre. Les jeunes sont vieux, y a des cons, l’espèce humaine va bien. Elle prospère malgré tout, la mort en
premier. Les naissances se multiplient. Le petit grandit, les parents vieillissent. Tournez encore la grande roue du destin. il est écrit. Mais on ne connait la fin X qu’après le début L;;. de la fin, c’est à dire enfin vous savez bien quand on chuchote dans la pièce d’à côté et qu’on est étendu sur un lit, le sien. Ma vie est 51 moi, j’en fais ce que je veux et pas comme on doit. Plus que X années a vivre,
ce n’est pas long. Mieux vaut ne pas s’en faire. La terre accueillera tous ses enfants en plusieurs couches si il le faut, le ciel est haut. Mais bientôt c’est la nuit, les nuages se rangent en cercle comme les cow-boys pour être entre eux. Ils attendent le retour du soleil pour se remettre en marche. Infatigable poursuite après des chimères à l’autre bout du monde, c’est comme moi et ma tête, on
aime bien être dans le même coin, rapport a la connaissance des lieux. Moi j’ai
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