S’accorde en mineure pure en nage seule, Suis-je assez grand pour savoir quoi faire de raisonnable dans des situations nouvelles. Je me pose des questions. Dois-je aller vers le haut ou plafonner tout en bas. Quel est le risque de monter sans échelle. On ne peut voir les marches supérieures ni celles derrière moi. A peine
suis-je conscient de celle sur laquelle je pose les pieds. L’envie se déplace. Que mijote-t-elle. Va-t-elle me surprendre quand j’aspire au calme. La paix est difficile a garder. Trop de mouvements autour de moi contradictoires pour ne pas penser que la vie est sale. Qu’est ce que ça veut dire le manque d’harmonie. chacun bouge en fonction d’un intérêt personnel. On peut aussi s’appuyer sur
d’autres, mais de partage il n’est pas question. C’est la fuite en avant sans rien pour colmater. Pourquoi l’histoire de 1 homme se poursuit-elle dans ce sens ? puis-je moi-même vivre autrement plus meilleur a chaque seconde de ma vie. J e ne pense pas que cela soit souhaitable. je suis trop imparfait pour imaginer
l’unité entre action et pensée. Je suis souvent en décalage. Peut-être puis-je m’améliorer avec le temps. A cause de lui je vieillis, en même temps j’apprends à me connaitre. Ça permet de dégager les informations inutiles. On n’a plus de temps a perdre quand j’envisage de souscrire une assurance vie. On ne fait pas
ça a vingt ans. Le couperet Va tomber un jour ou l’autre mais je ne peux garder cette vision a longueur de journée dans la tête. Je suis foncièrement optimiste. Quoique depuis quelques temps j’ai l’impression de voir tout en noir et blanc. Le blanc c’est la nuit, j’oublie, le noir c’est le jour quand je vie. Trop de
mauvaises nouvelles arrivent. Déchirements, trahison, des vieux, des jeunes, manque de cohérence, violence par manque d’engagement clair. Trésor du quotidien ou tout se conçoit, le présent et l’avenir. c’est la que se construit le destin qui peut d’une heure a l’autre bascule dans la folie. Alors attention a ne pas perdre le rythme. Toujours se balancer d’un pied sur 1 autre, ça peu net de
passer le temps au lieu de le gaspiller dans d’illusoires satisfactions. Un, deux, un, deux, ouvert, fermé, éteindre, allumer. Aller, venir, marcher, écrire. Si j’en manque un, mon alibi disparait et je retombe aux mains de mes démons. La nature n’aime pas le vide, moi non plus. alors je remplis sans arrêt des que je me
sens partir. C’est un travail de terrassier. Je porte les sacs sans me plaindre, c’est pour la bonne cause. Bientôt tout sera plat, plus ces petites buttes qui gênent le paysage. Des sortes de verrues. Peu a peu elles disparaissent, mais au premier signe de faiblesse, elles m’assaillent comme des guerriers. Ma seule défense est
de poursuivre mon projet. Même si je suis fatigue il faut reprendre le chemin du travail sur soi. Moins de 80 kilos de vie colles sur la surface de la terre. Un temps très court de présence dans la grande chaine de l’évolution. malgré tout, une grande envie de vivre au mieux. L’idéal étant a exclure, je me contenterai
d’un loft bien place. Quoique je préfère être tout sans rien être qu’être rien dans tout. Patience, tout arrive a qui sait attendre, moi ? j’attends le bus. C’est le gout de chacun, le tout c’est de trouver ce sur quoi on vibre. Ce qui m’est vital dans ma vie seule. Mon ambition est la. Pourrais-je en vivre un jour complétement.
On verra.
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