when is it now
mercredi 1 avril 2015
dans la France étonnée de comprendre
dans la France étonnée de comprendre pourquoi c'est comme ça depuis qu'on a découvert le moyen de passer en Suisse sans se faire prendre par le doute de choisir un chocolat plutôt qu'un compte en banque bien fourni dans le sens de pouvoir s'acheter un timbre sans avoir à faire le tour des boutiques ouvertes le dimanche, et comme c'est merveilleux il ne faut pas s'étonner que tout descende au même niveau que le lendemain, une façon de circuler parce que il n'y a rien à voir, veuillez prendre note et avoir l'obligeance de vous assoir à une place qui est décidée depuis longtemps car ici on est sûr de pouvoir aller au-delà des convenances, en ce qui concerne le choix du beurre plutôt que de l'huile ça se discute pour que tout soit enfin réuni sous la bannière des bigorneaux enfin recouverts d'un fin placage mortel pour ceux qui croient encore au Père Noël, mais ce qui concerne le menton velu et une source de bonheur accidentel en face de la mer intérieure, quand le sens est proche on s'aperçoit que tout est flou, car ce qui est net c'est la pression qui augmente à mesure que tout est placé dans un ordre qui ne changer pas jusqu'au dernier jour qui arrive un jour de printemps alors que le soleil commence à chauffer après ces mois d'hiver où rien ne se passe tellement on a envie de rentrer chez soi pour se réchauffer, et comme on ne décide rien de fondamental, le mois de mai arrive avec dans ses bagages de la douceur, enfin de la crème sans calorie, des jours tendres, de joies premières, sans avoir d'autres idées que de prolonger le temps de prendre des couleurs sans avoir peur du cancer de la peau, et avec les dents qui blanchissent, le toit qui penche toujours sans avoir de ride, et comme c'est conservé jus de fruit pour la soif, qui commence à grandir mais ce qui est formidable c'est d'avoir une vision débarrassée des l'ennui de vouloir passer par un endroit plein d'allumeuses, ce qui se passe quand on oublie que le corps est source de passions incertaines plus par ça que par autre chose, quand on est soumis à ce manque de joie, il est tard et tout de présente dans un jour aussi lent que misérable, car la joie du jour naissant, en faisant le tour de toutes les peines, se résume rapidement en un cri de sable de Cayenne, et quand c'est l'heure on affronte le passage souterrain dans un grand éclat de rire, c'est enfantin, ça se passe très bien maintenant que la lumière éclate en douleurs effaçables et sans avoir autre chose la journée passe et maintenant que la nuit revient les fantômes aussi c'est le règne du placard qui grince, il ne le fait que la nuit, ou alors c'est la mission qui s'éteint et laisse apparaître un sol couvert de juxtaposition ouverte sur l'adéquation vertueuse, ce qui correspond à d'anciens forts qui sont maintenant en ruine, car le temps détruit tout, les balades le dimanche, dans la fantaisie de faire un tour sans se préoccuper de groupe de japonais qui veut prendre en photo l'admirable situation dans laquelle on se baigne sans se mouiller, puis dans un choix différent on se paye une glace, c'est le bonheur qui s'accompagne de rire, sans rien commander, c'est naturel et ça ne dure qu'un temps alors pourquoi attendre et patienter inutilement, il faut vivre en ayant un œil sur la montre quand il sera l'heure de basculer dans la fuite, devant, derrière, à côté, au-dessus, en-dessous, et pour la dernière fois le dernier repas, la dernière caresse, le sang qui se fige, le cœur, ce compagnon de la première heure qui nous lâche en pleine campagne alors que le moment était bien choisi de faire un tour en compagnie
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire