when is it now
lundi 7 septembre 2009
l'aventure avance sans s'inquiéter de la venue soudaine de Paul, de Jacques et de tous les autres qui ne sont pas les biens venus, ils sont dans la violence d'être ce qu'ils sont, je suis ce que je suis, je suis obligé de leur dire, voulez-vous un café, mais à l'intérieur de moi j'ai une forte pression égoïste qui m'aurait averti de la réalité si j'avais pu comprendre le vide, malheureusement je ne suis pas un super héros, je ne suis pas un profesioinnel de la relation élastique, chez moi c'est plutôt boum rang, ça part rapidement et ça revient en pleine figure, j'ai pas anticipé, je suis obligé de continuer, c'est une situation intolérable, alors je prends un bonbon et je passe cinq minute à le faire fondre dans ma bouche, je respire avant de replonger dans le sable mouvant des obligations respectueuses, je ne veux plus dire bonjour, c'est innacceptable, je suis seul pour savoir ce qui est bon pour moi, allez ailleurs respirer, c'est comme ça que je vois l'avenir, le présent est encore trop compliqué, ça avance doucement, il vaut mieux ne pas précipiter le destin, un jour ça passe, comme si on passe le col de la montagne, de l'autre côté c'est une prairie tranquille baignée de soleil, au milieu coule une rivière, le bonheur ne dure qu'un instant, je le prends comme il vient
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