when is it now
jeudi 6 janvier 2011
cela est bien, mais faut-il toujours comprendre que le salut est en haut, il faut chercher en bas pour essayer de trouver une échelle, mais bien souvent on ne trouve rien, ou alors juste de quoi vivre une vie sans amertume, faite de bonjour, bien sûr, à bientôt, et puis c'est fini, l'espoir ne suffit pas, on a ce que on a, par contre on peut être beaucoup, c'est à dire que je suis, c'est nous que nous pouvons partir et revenir, mais le problème c'est le choix, on ne devrait pas choisir, l'envie vole au dessus du nid, comment raccourcir l'étendue de la vérité, tout existe et pourtant que faire aujourd'hui, il est quelque part mais je n'entends rien, un problème de surdité humaine, quand il ne pleut pas je peux me promener sans risquer d'être mouillé, mais j'aime sécher rapidement, ça me permet d'attendre le bonheur, le plaisir simple d'exister dans le monde, en voici une façon de se contredire, je pense que le contraire permet de dépasser le sens immédiat, en effet comment concevoir la réalité sans perdre une seconde de démarrage, le temps que ça chauffe, l'humain bien que chaud à l'intérieur est froid à l'extérieur, c'est une équilibre instable où règne la pulsion et l'angoisse, où vais-je, qui suis-je, pourquoi, comment, car, vers, sous, sur, et voilà que ça déraille, j'étais bien quand tout à coup ça va mal, j'erre dans la pièce, ne sachant pas où aller, la fenêtre n'est pas loin, irais-je jusque là pour aller voir ce qui se passe dehors, mais la porte aussi m'attire, elle me permet d'aller dehors, mais l'extérieur m'effraie, vais-je rencontrer des monstres, j'en suis un moi-même et je n'ai pas peur d'aller dehors car je sais que mon seul plaisir est de passer sans assouvir mes pulsions
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