dans la certitude de la pensée existe une tarte à la crème et paf, prend ça dans un moment fragile, pas question de comprendre comment on arrive à être ridicule, ça fait partie de l'évolution, on devient drôle, les visages se creusent, les estomac se gonflent, les têtes sont pleines de choses vues, on ignore le principal, on s'en moque, qu'est ce qu'il y a à l'intérieur, nul ne le sait, on se contente de rester à l'extérieur, il y a de quoi manger, alors pourquoi aller plus loin, on s'arrête dès qu'on trouve une satisfaction, un erreur qui coûte cher, une vie qui passe, il ne reste rien, des jours creux, des passages à vide, du coup je suis conscient de l'éventualité de réussir quelque chose que je trouve complètement abouti, qu'est ce qui peut correspondre à ce rêve, je ne peux ignorer que la gloire est vaine, l'humain est seul, plus il monte plus il a froid, restons dans la chaleur de l'anonymat, alors comment faire pour vivre et posséder la maîtrise du temps, ça ne dépend pas des autres, alors de qui