je dirai ce que je veux aussi longtemps que je le pourrais, ce n'est pas moi qui décide, dans des circonstances particulières, on peut toujours s'asseoir, c'est une question que je tourne dans ma tête, je ne sais pas quoi en faire, le samedi je me lève plus tard, ça me fait du bien, mais est-ce suffisant me donner le bonheur, je ne sais pas où le trouver, je regarde devant moi, je ne vois rien, et pourtant je sais qu'il peut surgir à tous moments, maintenant je vais bien, c'est l'avantage de se croire capable de prendre une part du gâteau, c'est facile, il suffit d'avoir un peu d'appétit, toujours un peu plus loin, un feu de joie, des anciens, des nouveaux, le concret et l'abstrait se parlent, je suis dans la certitude, c'est un endroit agréable, on y est sûr d'être satisfait, mais ça ne dure pas, il faut rapidement dans le doute, qui suis-je, où vais-je, il faut que je me gare mais je ne trouve pas de place, vais-je devoir faire cinq fois le tour, je reste calme, c'est bientôt fini, quelques minutes et le bonheur revient, je l'attendais avec un peu d'inquiétude, mais je sais qu'il ne m'oublie pas,