when is it now
lundi 31 décembre 2012
hillary
is it a size that worry, all your life you are fought against adversity and now here you are on the ground, unable to move, what a disappointment at the same time we learn the meaning of life, when we all known to be complaining about not being able to move, while others spend their lives lying without having done anything in their lives, while choosing the ambition to get to the top at the expense of the body, a body fragile demand to be listened to, but we do not have the time, the state awaits us, first the husband, then one is an example of a woman pouring but life is stronger, it overwrites all of a sudden, it was believed to protect themselves, but now it's crushing, it is forging ahead, while before was measured every gesture, every word, all of a sudden he n 'no more word, there is more action, there is only a suffering body despite modern medicine, we still do not know go to the heart of man, what is his destiny, he must know when to stop before the disaster
hillary
est-ce une grosseur qui t'inquiète, toute ta vie tu t'es battue contre l'adversité et maintenant te voilà à terre, incapable bouger, quelle déception, en même temps apprend-on le sens de la vie, quand on a tout connu doit-on se plaindre de ne plus pouvoir bouger, quand d'autres passent leur vie allongé sans avoir rien fait de leur vie, alors que choisir, l'ambition d'aller jusqu'en haut au détriment du corps, un corps fragile qui demande qu'on l'écoute, mais on n'a pas le temps, l'Etat nous attend, d'abord le mari, ensuite seule, c'est un exemple de femme battante mais la vie est plus forte, elle écrase d'un seul coup, on a cru pouvoir se protéger, mais maintenant c'est l'écrasement, c'est la fuite en avant, alors qu'avant on mesurait chaque geste, chaque mot, d'un seul coup il n'y a plus de mot, il n'y a plus de geste, il ne reste qu'un corps souffrant malgré la médecine moderne, on ne sait toujours pas aller au coeur de l'humain, quel est son destin, doit-il savoir s'arrêter avant la catastrophe
it was a novelty, I recently learned that I could continue what I was doing before, I was afraid of having to give up doing what I did, but I realized that the human relationship is deep, it resists the storm and when everything becomes calm, continue as before, the security is high, it is no longer a barrier, I can go ahead, although nothing is certain, life is weird, we advance saccades, once here, once there, everything is there, sure, reliable, and the light extinguished, nothing remains of joy, there is silence, then we must continue would disappear, nothing beats the enjoyment a particular moment where breathing is silent, a precious moment, will I become a parent, it is an intense experience happens word, we are silent, you listen, it goes something it will grow, it will elude us, and then we will both be at the beginning, that life passes quickly, we see nothing ahead as the announcement is made, it may be that we live longer, must pass into memory, remnants of smiles, words thrown into the unknown, life is beautiful, fragile, uncertain, but now everything is falling apart, everything wavers, I'm alone, it must bounce back continue
ce fut une nouveauté, j'ai su récemment que je pouvais continuer ce que je faisais avant, j'ai eu peur de devoir renoncer à faire ce que je faisais, mais je me suis rendu compte que la relation humaine est profonde, elle résiste à la tempête et quand tout redevient calme, on continue comme avant, la sécurité est forte, il n'y a plus de barrière, je peux aller droit devant, même si rien n'est sûr, la vie est bizarre, on avance par saccades, un coup par ici, un coup par là, tout est là, certain, fiable, et la lumière s'éteint, il ne reste rien de la joie, le silence se fait, il faut continuer alors qu'on voudrait disparaître, rien ne remplace la jouissance, un moment particulier où la respiration se tait, un instant précieux, vais-je devenir parent, c'est une expérience intense qui se passe de mot, on se tait, on écoute, il se passe quelque chose, ça va grandir, ça va nous échapper, et après on sera deux, comme au départ, une vie ça passe vite, on ne voit rien venir, alors que l'annonce est faite, il ne se peut qu'on vive plus longtemps, il faut passer dans le souvenir, des restes de sourires, des mots lancés dans l'inconnu, la vie est belle, fragile, incertaine, mais maintenant tout s'écroule, tout vacille, je suis seul, il faut rebondir, continuer,
without knowing it, I knew, but how to say it must still look to try to see the bottom of the water, it is a unique experience, once you experienced, there remains nothing in life is finished, it spreads through the nonsense, this is a special time, we arrive somewhere where nothing happens, a flat universe, everything is flat, envy is flat, the movement is flat, you can not open the other, is enclosed in itself, it does not advance more, it takes some time to do anything, you get stuck somewhere, there is no end, wait a day, a day when all lights, all of a sudden, we see clear all the past is forgotten, now we must act now must live before I die, I do not understand longer life, it is so weird it nothing happens and yet so we could know what is happening in the depths of being, we discover what is the spring to be, what the pushes forward, what is the point, what is his life, and then we could go straight, it would be a brutal knowledge, true, direct, when life is tortuous, blood, disgusting, the sun shines, love comes among the garbage, and then a flash at night, everything falls into the ignoble life is here, below the earth, it meanders through the sun burns, but before sinking, being is alive, he stands up and screams in pain, and no one answers
sans le savoir, j'ai su, mais comment dire, il faut quand même se pencher pour essayer de voir le fond de l'eau, c'est une expérience unique, une fois qu'on l'a vécu, il ne reste rien à voir, la vie est finie, on se répand dans le non sens, c'est un moment particulier, on arrive quelque part où il ne se passe rien, un univers plat, tout est plat, l'envie est plate, le mouvement est plat, on ne peut s'ouvrir à l'autre, on est enfermé en soi, ça n'avance plus, ça dure un certain temps, rien à faire, on est bloqué quelque part, il n'y a pas d'issue, il faut attendre un jour, un jour où tout s'éclaire, d'un seul coup, on voit clair, tout le passé s'oublie, maintenant il faut agir, maintenant il faut vivre avant de mourir, je ne comprends plus la vie, elle est tellement bizarre, il ne se passe rien et pourtant si on pouvait savoir ce qui se passe au plus profond de l'être, on découvrirait quel est le ressort de l'être, qu'est-ce qui le pousse en avant, quel est son intérêt, quelle est sa vie, et alors on pourrait aller tout droit, ce serait une connaissance brutale, vraie, directe, quand la vie est tortueuse, sanguine, dégueulasse, le soleil brille, l'amour arrive au milieu des ordures, un éclair et puis la nuit, tout retombe dans l'ignoble, la vie est là, en-dessous de la terre, elle serpente jusqu'au soleil qui la brûle, mais avant de sombrer, l'être est vivant, il se dresse et hurle sa douleur, et personne ne répond
dimanche 30 décembre 2012
in life there are flowers every day and sometimes spicy, it stings to the core, but it does not die immediately, we are able to swallow a lot before you go, then I say let near the flowers, feel the happiness full nose, let near happiness, it hangs by a thread, is precious than gold or silver, happiness is, to be there for to enter pleints hands, do not be afraid, it does not sting, not one, and everything opens, there is not one to do, it does not look like nothing, but for some it seems to us a mountain to climb, so I beseech you, be prepared to journey of love, that's life that demand, short life, do not miss a day, time whiz, nothing remains of the past, it is now time to act, a small step towards the opening, I believe, I know it has always been a small step and everything opens it's magic, but it is simply human, humans have the capacity to love hide it very carefully for fear of ridicule, as one who displays his love is ridiculed by those who do not have the chance to love, that's life, why is not there be love, refusing it, is there to fear commitment is to provide is shared, there is no greater happiness, being in a relationship of respect and trust, so changing to a human, it is a challenge, it is a glory looking, it is beautiful, it's great
dans la vie il y a des fleurs tous les jours et quelques fois de piquant, ça pique jusqu'au coeur, mais on ne meurt pas tout de suite, on est capable d'en avaler beaucoup avant d'y aller, alors je dis soyons près des fleurs, sentons le bonheur à plein nez, soyons près du bonheur, il ne tient qu'à un fil, c'est précieux, plus que de l'or ou de l'argent, le bonheur passe, soyons là pour le saisir à pleints mains, n'ayons pas peur, ça ne pique pas, un seul pas, et tout s'ouvre, il n'y a qu'un pas à faire, ça n'a l'air rien, mais pour certains d'entre nous ça paraît une montagne à franchir, alors je vous en conjure, soyez prêt au voyage de l'amour, c'est la vie qui le demande, la vie courte, il ne faut pas rater une journée, l'heure file à toute allure, il ne reste rien d'hier, c'est maintenant qu'il faut agir, un petit pas vers l'ouverture, j'y crois, je le sais depuis toujours, un petit pas et tout s'ouvre, c'est magique, mais c'est simplement humain, l'humain a cette capacité d'aimer qu'il cacher bien soigneusement par peur du ridicule, car celui ou celle qui affiche son amour est tourné en ridicule par celles et ceux qui n'ont pas la chance d'aimer, c'est la vie, pourquoi ne trouve-t-on pas l'amour, le refuse-t-on, en a-t-on peur, s'engager c'est s'offrir, c'est partager, il n'y a pas de plus grand bonheur, être dans une relation de respect et de confiance, pour un humain tellement changeant, c'est un défi à relever, c'est une gloir à chercher, c'est beau, c'est grand
if I had 90 years how can I live my life, life stops when you can no longer do what we want, not what the statistics say, the figures speak of a life expectancy grows increasingly in Europe, there are more centenarians, whereas fifty years ago we counted on the fingers of one hand, so there are changes, but we do not ask why living longer, is it desirable, is it feasible, when I see the old, it seems to me that life is not in them, they are immobile, the memory goes, they repeat the same thing I ask the question, what is life like, and we should not help people who can not travel alone to commit suicide, could similarly reduce the pension debt, there are too old in France, it must find a solution for the youngest can live more easily as something extraordinary, this is the first time in the history of France that the old are richer than young people, and for millennia before the rich were the youth who worked the old could no longer work was put in a corner waiting for a speedy death, now it is the opposite, old enjoyed the last fifty years and many they have a good retirement and a house they paid off, while their children still struggling between unemployment and precarious work, then I say stop, we must act, that all who want old, decided to go and join Jesus that empowers them to do a shot and goodbye Grandpa, grandma farewell
si j'avais 90 ans comment pourrais-je vivre ma vie, la vie s'arrête au moment où on ne peut plus faire ce qu'on veut, ce n'est pas ce que disent les statistiques, les chiffres parlent d'une espérance de vie qui grandit de plus en plus en Europe, on ne compte plus les centenaires, alors qu'il y a cinquante ans on les comptait sur les doigts d'une main, il y a donc évolution, mais on ne se demande pas pourquoi on vit plus longtemps, est-ce souhaitable, est-ce réalisable, quand je vois les vieux, il me semble que la vie n'est plus en eux, ils sont immobiles, la mémoire s'en va, ils répètent toujours la même chose, je pose donc la question, à quoi ressemble la vie, et ne devrions-nous pas aider les gens qui ne peuvent plus se déplacer seuls à se suicider, on pourrait de la même façon alléger la dette des pensions, il y a trop de vieux en France, il faut trouver une solution pour que les plus jeunes puissent vivre plus facilement, car chose extraordinaire, c'est la première fois dans l'histoire de la France que les vieux sont plus riches que les jeunes, avant et depuis des millénaires, les riches c'étaient les jeunes qui travaillaient, les vieux ne pouvant plus travailler était mis dans un coin en attendant une mort prochaine, aujourd'hui c'est le contraire, les vieux ont profité des cinquante dernières années et beaucoup d'entre eux ont une bonne retraite et une maison qu'ils ont fini de payer, alors que leurs enfants galérent entre chômage et travail précaire, alors je dis stop, il faut agir, que tous les vieux qui le désirent, décident de partir rejoindre Jésus, qu'on leur donne les moyens de le faire, une piqûre et adieu papi, adieu mamie
when I was little they took me as a girl, I had long hair and a tender look, it does not bother me then emerge as a dominant male, but I still thought this female, a tender look at life, there is so much suffering, people are no longer living in the 50s as shelters corrugated as in Africa, today everyone lives in buildings, there are hidden moral misery, people who have no sense of living together with respect, they follow their instincts, it's horrible, in a country called civilized as France always be wondering how to get to the human intelligent people, people who understand love, we will soon in 2013, one day we will live in peace, the human is it intended to live at war with himself, with others, his neighbors, with other countries, I hope one day I will be elected to lead the world by offering everyone to live the present, what we knew before we delete it, it starts at zero and happiness kindness, that would be great, we will all love, there will be no problem, but now I see that I say anything, it's the end of the year, me everything I want is to earn a lot of money to spend and the other I do not care, all his shit, as they say, it is night, the stars do not shine because I live in the city and that space could see where I live by the light that emerges my city, it is said that in Africa, there is no light going into space, it is total darkness, when think it is that Africa is the first man in Africa because this is where the hottest, and even then, there are millions of years, then to be born, the first man he was not born in Siberia, he was born in Africa, after he came to Europe and Asia, all that to say that I like fries with chicken, that's why life is complicated, we think of lot of things when we should focus on the food
quand j'étais petit on me prenait pour une fille, j'avais des cheveux longs et un regard tendre, ça ne m'a pas gêné pour ensuite m'affirmer comme un mâle dominant, mais il me reste toujours cette pensée féminine, un regard tendre sur la vie, il y a tant de souffrances, les gens ne vivent plus comme dans les années 50 dans des abris en tôle ondulée comme en Afrique, aujourd'hui tout le monde habite dans des immeubles, on y a caché la misère morale, des gens qui n'ont aucun sens de la vie ensemble dans le respect, ils ne suivent que leurs pulsions, c'est horrible, dans un pays dit civilisé, comme la France en être toujours à se demander comment arriver à faire des humains des gens intelligents, des gens qui comprennent l'amour, bientôt on sera en 2013, vivrons-nous un jour dans la paix, l'humain est-il destiné à vivre en guerre, avec lui-même, avec les autres, ses voisins, avec les autres pays, j'espère qu'un jour je serai élu pour diriger la planète en proposant à tout le monde de vivre le présent, ce qu'on a connu avant on l'efface, on repart à zéro dans le bonheur et la gentillesse, ça sera formidable, on va tous s'aimer, il n'y aura plus de problème, mais là je vois que je dis n'importe quoi, c'est la fin de l'année, moi tout ce que je veux c'est gagner beaucoup d'argent pour pouvoir le dépenser et les autres je m'en moque, chacun sa merde, comme on dit, c'est la nuit, les étoiles ne brillent pas car j'habite en ville et que de l'espace on pourrait voir où j'habite grâce à la lumière que ma ville dégage, on dit qu'en Afrique, il n'y a pas de lumière qui vont dans l'espace, c'est le noir total, quand on pense que c'est de l'Afrique que vient le premier homme, car en Afrique c'est là qu'il fait le plus chaud, et déjà à l'époque, il y a des millions d'années, alors pour naître, le premier homme il est pas né en Sibérie, il est né en Afrique, après il venu en Europe et en Asie, tout ça pour dire que j'aime bien les frites avec du poulet, voilà pourquoi la vie est compliquée, on pense à des tas de choses alors qu'on devrait se centrer sur la nourriture
hesitantly, what to do, go there in the world, I have a project I need to go further, but I also have the temptation to drop, from a gentle slope, but I'm afraid where do I go, I'll meet someone who will enjoy my misery, because I can be miserable, life goes by that I could stop, day tombs, I get up, I feel reassured, I can still face life, but one day I'll be paralyzed, while do to keep what has been the one who laughs, who moves smoothly, I'm half my life, everything changed, the simple happiness that I will stop living, why, how, what to do, what not to do, I hesitate, I try, I take, I wonder, is this a step and everything will in order , I'm too impulsive, do I just wait and see that life goes whatever you do, it's the truth I was looking for, the human is able to feel alone in the world, but the world passes without him, it is not the world need to look at is self-mêm, am I able to love, to share, I'm ready to take that time for me leaves the passage to continue to advance, this is my life, I live, I see, it's like that
un pas hésitant, que faire, continuer, il y a du monde, j'ai un projet, je dois aller plus loin, mais j'ai aussi la tentation de tout laisser tomber, de partir en pente douce, mais j'ai peur, où vais-je aller, vais-je rencontrer quelqu'un qui va profiter de ma misère, car je pourrai être miséreux, la vie passe sans que je puisse l'arrêter, les jours tombes, je me lève, ça me rassure, je peux encore affronter la vie, mais un jour je vais être paralysé, alors que faire pour rester ce qu'on a été, celui qui rit, celui qui se déplace sans problème, je suis à la moitié de ma vie, tout va basculer, le bonheur simple que je vivais va s'arrêter, pourquoi, comment, que faire, que ne pas faire, j'hésite, je tente, je jette, je m'interroge, est-ce une étape et tout reviendra dans l'ordre, suis-je trop pulsionnel, dois-je me contenter d'attendre et de voir que la vie continue quoiqu'on fasse, c'est la vérité que je cherchais, l'humain est capable de se sentir seul dans le monde, mais le monde passe sans lui, ce n'est pas le monde qu'il faut regarder, c'est soi-mêm, suis-je capable d'aimer, de partager, suis-je prêt à affronter le temps pour qu'il me laisse le passage pour continuer à avancer, c'est ma vie, je la vis, je la vois, c'est comme ça
if I could glimpse a bit of truth, but I must admit that nothing happens, I'm stuck in the middle of an unknown space, I must find a reason to keep looking, it's simple, it 'is large, it is now that I am ready for a moment, a moment of simplicity, I am, and then it is gently sloping down to the right, about an hour, the first cry in the night we arrived, we rock, we touched, I scream, life is violent air attack me, I must fight, every hour is a diverse feeling, happiness, misery, courage, fear, misery , grandeur, from one second to the other, passing between the teeth of the divine occupation, humans are uncertain, they move all the time, they can not stand idly by in the brain, there is always an idea Tension, not a moment of silence, it takes death when organs are extinguished, the soul can finally rest up to the heavens, it is the destiny of humanity, he knows the peace until he passes, he has known in his life qu'inquiétude disappointment and finally end it removes the problem, life goes so fast, it was just the time it takes to grow old , so I put myself in a position to start the fight, a fight in vain, but in the hollow of the action becomes the thread of hope, a relentless truth, the source of life embers burn forever, towards up it turns into a passion for life, moments risky, short joys, boredom long time is slow, I'm fast, all at once, quickly, too fast, too close to most, but I can not go slowly, it has to move
si j'avais pu entrevoir un morceau de vérité, mais je dois avouer que rien ne passe, je suis bloqué au milieu d'un espace inconnu, il faut que je trouve une raison de continuer à chercher, c'est simple, c'est grand, c'est maintenant que je suis prêt, un instant, un moment de simplicité, j'y suis, et puis c'est en pente douce, à droite en bas, environ une heure, la première, un cri dans la nuit, on arrive, on berce, on s'attendrit, je hurle, la vie est violente, l'air m'agresse, il faut que je lutte, chaque heure est une sensation diverse, bonheur, malheur, courage, peur, misère, grandeur, d'une seconde à l'autre, passer entre les crocs de la divine occupation, les humains sont incertains, ils bougent tout le temps, ils ne savent pas rester sans rien faire, dans les cerveaux, il y a toujours une idée qui traîne, pas un moment de silence total, il faut attendre la mort, quand les organes s'éteignent, l'âme peut enfin en silence monter jusqu'aux cieux, c'est le destin de l'humain, il ne connaît la paix qu'au moment où il passe, il n'aura connu dans sa vie qu'inquiétude et déception, enfin la fin lui enlève le problème, une vie passe si vite, on a à peine le temps de grandir qu'il faut vieillir, alors je me mets en état de commencer la lutte, une lutte vaine, mais au creux de l'action passe le fil de l'espérance, une vérité implacable, à la source de la vie des braises brûlent depuis toujours, en allant vers le haut ça se transforme en passion de la vie, des moments hasardeux, des joies courtes, de l'ennui long, que le temps est lent, que je suis rapide, tout tout de suite, vite, trop vite, trop à côté de l'essentiel, mais je ne peux pas aller lentement, il faut que ça bouge
if we had to go to the end of his life, it would be easy, just time to say hello, then goodbye, but life is more complicated, you have to be, understand what I am going through here, or there is a choice, after you realize you made a mistake, you have to turn, lost time, but right after you realize you won time, as it is passed by a place that would not have been passing off without seeing magnificent, extraordinary, exciting, each passage is wonderful, we do not expect it, it comes suddenly, I could not believe it, my reason kept me from believing that life is beautiful, I do not expect to triumph, succeed why, why go straight, it's disturbing, I dream, who am I, where am I, c 'is the time that happens, it is powerful, it creates, it crashes, how to accompany, I tried the experiment, a few days, which turns into several years, I did not see the time, which is it I'm lost, where are the strings that I could take to find the way, this is the age of maturity, before me, the desert, there is no more road, it's me must build it is new, has never learned that one day I would get up to face the monster of misunderstanding, it is strong and I am weak, how, how to switch-below because I do not know off to go over, I prefer to dig without knowing where I'll get is the risk, but in life, you have to risk, otherwise it rots in place, this is how that we can go far, risk, passion
si on devait aller directement à la fin de sa vie, ça serait facile, juste le temps de dire bonjour, alors au-revoir, mais la vie est plus compliquée, il faut savoir être, comprendre ce que je suis, aller par ici, ou par là, c'est un choix, après on comprend qu'on s'est trompé, il faut faire demi-tour, du temps perdu, mais juste après on s'aperçoit qu'on a gagné du temps, car on est passé par un endroit qu'on n'aurait pas vu en passant à côté sans le voir, magnifique, extraordinaire, passionnant, chaque passage est merveilleux, on ne s'y attend pas, ça vient soudainement, je n'y croyais pas, ma raison m'empêchait de croire que la vie est belle, je ne m'attendait pas au triomphe, pourquoi réussir, pourquoi aller tout droit, c'est inquiétant, je rêve, qui suis-je, où vais-je, c'est le temps qui arrive, il est puissant, il crée, il écrase, comment l'accompagner, je tente l'expérience, quelques jours, qui se transforme en plusieurs années, je n'ai pas vu le temps passé, où est-il, je suis perdu, où sont les cordes que j'aurais pu tenir pour retrouver le chemin, c'est l'âge de la maturité, devant moi, le désert, il n'y a plus de route, c'est moi qui doit la construire, c'est nouveau, on ne m'a jamais appris qu'un jour je devais me lever pour affronter le monstre de l'incompréhension, c'est fort et je suis faible, comment faire, comment passer en-dessous car je ne sais pas décoller pour passer au-dessus, je préfère creuser sans savoir où je vais arriver, c'est le risque, mais dans la vie, il faut risquer, autrement on pourrit sur place, c'est comme ça qu'on peut aller loin, le risque, la passion
to bottom without stopping to pee, you go slowly but once it is violent, the wind, the sea rises, everything is crushed, there is nothing left before he must go, build elsewhere , assemble what is dislocated, the memory is tenacious, fear prints images at the bottom of the brain, there is no hope, everything is gone, life goes on, but basically it is destroyed, the passage is strong, it is necessary to keep the strings lying at the bottom, tomorrow is another day, we count the living and the dead, those who leave happy in hope, will they be welcomed, the human being is not capable of understand love, he is too involved in his story, what he saw, what he heard, what he fears, what makes him happy, an image, a smell, a youthful passion off by the desire to succeed in her career, a place where you extracted stones to the cemetery, while choose to live, it does not argue, he must live his dreams, so what if it collapses all around, as a ship caught in a storm, I advance on hot coals but as I fly, I feel nothing, I rounded the corner, I passed through the rain, I can count to two, I make turns, I understand the meaning of life, but how to go well, how to successfully keep it simple, clear thinking, a clear sense, it is like the old satisfaction there was in the depths of a soul trapped solitudes I did not know until later the birth of a being able to take the sin, the choice is easy, go or stay, but how to be sure of the path, there are so many doors, I'm doing well, it's good I'm not complaining,
jusqu'en bas sans arrêt pour pisser, on y va doucement mais d'un seul coup c'est violent, le vent souffle, la mer monte, tout est écrasé, il ne reste rien d'avant, il faut partir, construire ailleurs, assembler ce qui est disloqué, le souvenir est tenace, la peur imprime des images au fond du cerveau, il n'y a plus d'espérance, tout est parti, la vie continue, mais au fond c'est détruit, le passage est fort, il faut se tenir aux cordes qui traînent au fond, demain il fera jour, on comptera les vivants et les morts, heureux ceux qui partent dans l'espérance, seront-ils accueillis, l'humain n'est pas capable de comprendre l'amour, il est trop impliqué dans son histoire, ce qu'il a vu, ce qu'il a entendu, ce dont il a peur, ce qui lui fait plaisir, une image, une odeur, une passion de jeunesse éteinte par l'envie de réussir sa carrière, un lieu où on extrait des pierres pour les cimetière, alors que choisir, que vivre, ça ne se discute pas, il faut vivre ses rêves, tant pis si tout autour ça s'effondre, comme un navire pris dans la tempête, j'avance sur des braises mais comme je vole, je ne sens rien, j'arrondis les angles, je passe au travers de la pluie, je sais compter jusqu'à deux, je fais des tours, je comprends le sens de la vie, mais comment faire pour aller bien, comment réussir à rester simple, une pensée précise, un bon sens évident, c'est comme à l'ancienne satisfaction, il y avait au fond des solitudes une âme prisonnière, je ne sus que tardivement la venue au monde d'un être capable de prendre le pécher, le choix est facile, passer ou rester, mais comment être sûr du chemin, il y a tellement de portes, je me porte bien, ça va bien, je ne suis pas à plaindre,
wait for the madness, the days pass, useless, we must stand up, lie down, what happens there, oh, what a strange feeling, I'm here and I'm yet clear, it's beautiful, I'm awake but everyone is asleep, who am I, where am I, a magical moment, the madness is not far away, which was disappearing, we were together, but the spirit has changed the situation, we are separated as by a wall, the agreement ends forever, madness is us, there is nothing left of understanding before, I'm not sad, life is strange and heavy, it crushes the dream, it remains that the birds peck at crumbs, for what, I thought one day we could all live long, but the choice is outdated, like ham bought the super market is expired, the time is past, what we have seen is an image that burns, there are only ashes, time has passed and I'm still here, an uncertain future, that will I do, I'm young but I'm not old, I'm between the two walls of life, I am in a hallway, there is no light, I do not know where I want to go, I have to choose something, I think I can continue, a small step to go to meet my past, a story that unfolds against weak winds, I do not cry, my natural tendency is to laugh at life, it's been years since I laugh, and now madness takes hold of our beings, we are no longer able to communicate, the link is cut, it is a spirit that imprisons us, this is our destiny to break the harmony, we must reconstruct after, a necessary, we can not continue as if nothing was a perfect project, perfection does not exist on earth, all cracks, everything falls into the water, why, there is no reason c is presiding madness, everything is crazy, attention
attendre la folie, les jours passent, inutiles, on doit se lever, se coucher, que se passe-t-il, oh, quel étrange sentiment, je suis là et pourtant je suis transparent, c'est beau, je suis bien réveillé, mais tout le monde dort, qui suis-je, où vais-je, un moment magique, la folie n'est pas loin, ce qui existait disparait, nous étions ensemble, mais un esprit a changé la situation, nous sommes séparés comme par un mur, l'entente se termine pour toujours, la folie est entre nous, il ne reste rien de la compréhension d'avant, je ne suis pas triste, la vie passe, étrange et pesante, elle écrase le rêve, il ne reste que des miettes que les oiseaux picorent, quelle destinée, j'avais cru un jour qu'on pourrait vivre longtemps ensemble, mais le choix est périmé, comme du jambon acheté au super marché, c'est périmé, le temps est passé, ce que nous avons connu est une image qui brûle, il ne reste que des cendres, le temps a passé, et je suis encore là, un avenir incertain, que vais-je faire, je ne suis plus jeune mais je ne suis pas encore vieux, je suis entre les deux murs de la vie, je suis dans un couloir, il n'y a pas de lumière, je ne sais pas où je veux aller, je dois choisir quelque chose, il me semble que je suis capable de continuer, un petit pas en avant pour aller à la rencontre de mon passé, une histoire qui se déroule faiblement contre des vents violents, je ne pleure pas, ma tendance naturelle est de rire devant la vie, cela fait des années que je ris, et voilà que la folie s'empare de nos êtres, nous ne sommes plus capables de communiquer, la liaison est coupée, est-ce un esprit qui nous emprisonne, est-ce notre destinée de casser l'harmonie, après il faut reconstruir, un passage nécessaire, on ne peut pas continuer comme si de rien était un projet parfait, la perfection n'existe pas sur terre, tout se fissure, tout tombe à l'eau, pourquoi, il n'y a pas de raison, c'est la folie qui préside, tout est fou, attention
samedi 29 décembre 2012
that should tear the earth to find out what I am, a full boil water, a mistake of nature, a useless feat, sitting, standing, going well, seeking a door, thinking a little, madness , nothing like this is normal, it is called a happy emphasis on bare earth, it takes will and courage to understand that every second means is colorful, c 'is alive, luxuriance obvious, life is responsible but he does not see the bridge, he falls straight into the river, it's been generations that humans can not see his life, he is completely blind and everyone is like that, we seek in the dark path that will lead us where we should be obvious when you live for forty years, life opens, as if the veil fell and left to discover the truth this extraordinary beauty, a second and I die, that life begins and continues in the joy, there is no reason to admit defeat, every moment of life is a hope, then let's go to anyway, I have no other choice, lightness is a vocation, we do not choose, it is what we choose one, two, three, four and five, I go around the world, continents, the human ideal, a life, I believe,
que faut-il arracher à la terre pour découvrir ce que je suis, une bouille pleine d'eau, une erreur de la nature, un exploit inutile, assis, debout, allant bien, cherchant une porte, croyant un peu, à la folie, rien de comparable, c'est normal, c'est ce qu'on appelle un joyeux accent sur une terre nue, il faut de la volonté et du courage pour comprendre ce que chaque seconde veut dire, c'est coloré, c'est vivant, une luxuriance évidente, le vivant est responsable mais il ne voit pas le pont, il se jette tout de suite dans la rivière, ça fait des générations que l'humain n'arrive pas à voir sa vie, il est complètement aveugle, et tout le monde est comme ça, on cherche dans le noir le chemin qui nous mènera là où on doit être, une évidence quand on vit depuis quarante ans, la vie s'ouvre, comme si le voile tombait et laissait découvrir la vérité, cette beauté extraordinaire, une seconde et je meurs, cette vie commence et se prolonge dans la joie, il n'y a pas de raison de s'avouer vaincu, chaque moment de la vie est un espoir, alors allons-y, de toute façon je n'ai pas d'autre choix, la légèreté est une vocation, on ne la choisit pas, c'est elle qui nous choisit, un, deux, trois, quatre et cinq, je fais le tour du monde, les continents, les humains, un idéal, une vie, j'y crois,
we should say that everything is fine, but I do not know why you always have ideas that do not correspond to reality, if we could live simply, we get bored, then we must have completely idiotic ideas that will not go far, but enough to bring the situation in the lock, and if we continue like this for a long time, it becomes fun, it does not advance but at least the problems fall apart quickly, because life is the very top, and we we're at the bottom, there is no ladder to climb to the top, you can just watch and admire this perfection, a beauty that lasts for millions of years, there is nothing left to up there yesterday but you know how life can be continuous, days and days to a year, it counts in life, projects and more projects, if I knew how to do anything else but I'm stuck where I am, my eyes is not far, I see what's around me, but I do not see what is below, what is the same thing here, I do not know, maybe one day be can I go to check what I know here, in an effort daily, sausage, potatoes, chocolate, and then the music lulls me to let me know that the time is fine, everything is complex, but simplicity is possible, provided they are willing to hear this flute air that seems to come from an angel, this is a sentiment that speaks to me, he told me to wait for the right moment, the moment I have not chosen, he will come, I do not fear, I live each day by telling me that it is a day is normal, I do not want anything else,
on devrait se dire que tout va bien, mais je ne sais pas pourquoi il faut toujours avoir des idées qui ne correspondent pas à la réalité, si on pouvait vivre simplement, on s'ennuierait, alors on doit avoir des idées complètement idiotes qui ne vont pas aller loin, mais suffisamment pour mettre la situation dans le blocage, et si on continue comme ça pendant longtemps, ça devient amusant, on n'avance pas mais au moins les problèmes se disloquent rapidement, car la vie est tout en haut, et nous on est tout en bas, il n'y a pas d'échelle pour monter jusqu'en haut, on peut juste regarder et admirer cette perfection, une beauté qui dure depuis des millions d'années, il ne reste rien d'hier mais là haut on sait comment la vie peut être en continue, des jours et des jours pour faire une année, ça compte dans une vie, des projets et encore des projets, si je savais comment faire autrement mais je suis bloqué là où je suis, mon regard ne porte pas loin, je vois ce qu'il y a autour de moi, mais je ne vois pas ce qu'il y a loin, est-ce la même chose qu'ici, je ne sais pas, un jour peut-être irai-je loin pour vérifier ce que je sais ici, un effort au quotidien, du saucisson, des pommes de terre, du chocolat, et puis de la musique qui me berce pour me faire comprendre que le moment est beau, tout est complexe mais la simplicité est possible, à condition d'être disposé à entendre cet air de flûte qui paraît venir d'un ange, c'est un sentiment qui me parle, il me dit d'attendre le bon moment, ce moment que je n'ai pas choisi, va-t-il venir, je n'angoisse pas, je vis chaque jour en me disant que c'est un jour, c'est normal, je ne souhaite rien d'autre,
when I meet someone's eye I always wonder what time it is, it is important to position itself in time, it is the memory of the time, it was fine yesterday, and today I do not know, I do not care, I is the happiness I seek something simple hello, goodbye and then it's over, it's sad but at the same time then we can live more freely, choose baubles, arrive at any time, but nobody waiting for me, it's sad life was environmental, but the person does not, then it is no longer environment, and then we continues like this parcqu'on has no other solution, the solutions are difficult to find, it's not worth seeking, it's fate knocking at the door, then just open the door and it was something new, but it is not yet, because it wears out again, then you have to wait longer, you have to enjoy the passing of time, and it passes, then we can be happy with what you did not do, what we could do, but we could not do it, because that's how I'm not a superhero, I am someone one who tries to live my life without falling into the abyss or grotesque, I want to stay on the surface of well-being, that is, the ease of living, if it chooses not to bother, but the problem is that it may bother others, then you must choose, always choose black or white, day or night, present or past, the future is outside the circle, there is no envore, it is not born again, he must wait until later, when we no longer have the opportunity to live as before, there are doors that close, then continue juqu'à next door to the last, but that I do not think, I'm living for the moment I was born
quand je croise le regard de quelqu'un je me demande toujours quelle heure il est, c'est important de se positionner dans le temps, c'est la mémoire du temps, hier il faisait beau, et aujourd'hui je n'en sais rien, je m'en moque, moi c'est le bonheur que je cherche, quelque chose de simple, bonjour, à bientôt et puis c'est fini, c'est triste mais en même temps après on peut vivre plus librement, choisir les boules de noël, arriver à n'importe quelle heure, mais personne ne m'attend, c'est triste la vie, on a envi, mais la personne ne veut pas, alors on n'a plus envi, et après on continue comme ça parcqu'on n'a pas d'autre solution, les solutions sont difficiles à trouver, ce n'est pas la peine de chercher, c'est le destin qui frappe à la porte, ensuite il suffit d'ouvrir la porte et on a quelque chose de nouveau, mais ce n'est pas encore ça, car la nouveau ça s'use, alors il faut attendre encore plus longtemps, il faut savoir profiter du temps qui passe, et ça passe, alors on peut être satisfait de ce qu'on n'a pas fait, de ce qu'on aurait pu faire, mais qu'on a pas pu faire, parce que c'est comme ça, je ne suis pas un super héro, je suis quelqu'un qui essaye de vivre ma vie sans tomber dans le grotesque ou dans l'abyme, je veux rester à la surface du bien être, ça existe, la facilité de vivre, si on choisit de ne pas s'embêter, mais le problème c'est que ça peut embêter les autres, alors il faut choisir, toujours choisir, blanc ou noir, jour ou nuit, présent ou passé, le futur est en dehors du cercle, il n'existe pas envore, il n'est pas encore né, il doit attendre plus tard, quand on n'aura plus la possibilité de vivre comme avant, il y a des portes qui se ferment, ensuite on continue juqu'à la prochaine porte, jusqu'à la dernière, mais ça, je n'y pense pas, moi je suis vivant depuis la seconde où je suis né
now I knew the moment that exists, the underpass, a place upside down, an obvious solution to a shining star and we rocked her tenderness distant, which hampers most is that is close like a note that goes wrong, a desire which goes off like a candle blown by the wind, west wind, bringing us a new freedom, attention to airs, it does not work, but in exchange it ensures a certain way of life, because life is great, we are drowning, one would like, we will go astray, you get lost, it's wonderful, it's hideous this is crap, nothing happens, it passes through the futility, it is beautiful, it is essential, it is not like that and autremant, it takes hours to achieve satisfaction, time happy in the midst of garbage, because beauty does with destruction, the sinking ship, the woman who is raped, now lost forever, the tragic moment but fortunately stabililté is updated, all is well, at the same time people are dying, but it does not bother me, because happiness is there, then the other, I do not care, what matters to me are the molds that I will not eat this year because I am convinced there is a way to live happily at all hours being convinced that life is worth living as long as you see in the morning is not night and the desire is not pleasure, because what is known is absent from the other part of memory, a single moment is the moment that mocks the future, not the end of the day, this is what I earn, paper fat, smiles silly, silly words, but I can quans near me, I know that I am close to happiness is a deep sense, but what happens there, I do not understand, I must go, it becomes urgent, I need to find another way to live in happiness
aujourd'hui j'ai connu le moment qui existe, le passage souterrain, un endroit à l'envers, vers une solution évidente, une étoile qui brille et nous berce de sa tendresse lointaine, ce qui gêne le plus c'est ce qui est proche, comme une croche qui passe mal, une envie qui s'éteint comme une bougie soufflée par le vent, ce vent de l'ouest, nous amenant une liberté nouvelle, attention aux grands airs, ça ne donne rien, mais en échange ça permet de garantir un certain train de vie, car la vie est formidable, on s'y noie, on s'y plait, on s'y égare, on s'y perd, c'est merveilleux, c'est hideux, c'est merdique, rien n'arrive, on passe à travers l'inutilité, c'est beau, c'est essentiel, c'est comme ça et pas autremant, il en faut des heures pour arriver à la satisfaction, le moment heureux au milieu des ordures, car la beauté ne fonctionne qu'avec la perdition, le bateau qui coule, la femme qui se fait violer, le moment perdu à jamais, l'instant tragique mais heureusement la stabililté est actualisée, tout va bien, au même moment des gens meurent, mais ça ne me fait rien, car le bonheur est là, alors les autres, je m'en moque, ce qui compte pour moi ce sont les moules que je ne mangerai pas cette année, car je suis convaincu qu'il existe un moyen de vivre heureux à toutes heures en étant persuadé que la vie est vivable à condition de bien voir que le matin n'est pas le soir et que l'envie n'est pas le plaisir, car ce qui est connu est absent de l'autre partie de la mémoire, un instant unique c'est le moment présent qui se moque de l'avenir, un pas vers la fin de la journée, c'est tout ce que je gagne, des papiers gras, des sourires niais, des mots idiots, mais quans j'arrive près de chez moi, je sais que je suis près du bonheur, c'est un sentiment profond, mais que se passe-t-il, je ne comprends pas, il faut que je parte, ça devient urgent, il faut que je trouve une autre solution pour vivre dans le bonheur
what about human relationships, we play, we laugh, we talk, we go elsewhere, it's fun, it's slow but tomorrow there will be time to go to other times pleasant, modern life is cold, we seek satisfactions risky, the killer is not far, you must be careful, nothing resists time, everything goes, tender moments, kind gestures, all died one day, one time more than another, the adventure continues, it does not matter, they will go elsewhere, flowers, big, small, flexible, tough, hay, straw, joy, love, understanding fat, of virtue, do you, passages happy, fear, what to do, be careful, it comes, it goes, where the bridge is, I try to escape, I must be off to do more suffer, but how I'm stuck here, it is beautiful, it rains, it does not matter, I want to learn from what is happening elsewhere, this is a commitment that is dying, I could do otherwise, but I do not know why it does not work anymore, something is broken, the dead do not move, you can always try to change, but life is great, I am small, I try but I don 'can not, so I always try, I can not pass the stability, I'll never, I was born wrong, nothing is, everything falls after a moment, I 'm 'm used to, it does not bother me, it's like that, and then life goes on, hop, hop, hop
que penser des relations humaines, on joue, on rigole, on parle, on passe ailleurs, c'est amusant, c'est lent mais demain on aura du temps pour passer d'autres moments agréables, la vie moderne est froide, on cherche des satisfactions hasardeuses, les tueuses ne sont pas loin, il faut faire attention, rien ne résiste au temps, tout s'en va, les moments tendres, les gestes gentils, tout est mort un jour, un moment plus qu'un autre, l'aventure continue, ça ne ne fait rien, on ira ailleurs, des fleurs, des grands, des petits, des souples, des durs, du foin, de la paille, de la joie, de l'amour, de l'entente grasse, de la vertu, de la veux-tu, des passages joyeux, de la peur, que faire, attention, ça vient, ça part, où est le pont, je cherche à fuir, il faut que je sois loin pour ne plus souffrir, mais comment faire, je suis bloqué ici, il fait beau, il pleut, ce n'est pas grave, je veux partir pour savoir ce qui se passe ailleurs, c'est un engagement qui se meurt, j'aurai pu faire autrement, mais je ne sais pas pourquoi, ça ne marche plus, quelque chose est cassé, le mort ne bouge plus, on peut toujours essayer de changer, mais la vie est grande, je suis tout petit, j'essaye mais je n'y arrive pas, alors je suis toujours à l'essai, je ne peux passer dans la stabilité, je n'y arriverai jamais, je suis né de travers, rien ne tient, tout tombe au bout d'un moment, je m'y suis habitué, ça ne me fait rien, c'est comme ça, et puis la vie passe, hop, hop, hop
vendredi 28 décembre 2012
Towards evening I feel rising within me a gentle simple, something powerful happens without worry, I'm closer to my emotions, what do they tell me, is it true, I do realize not realize, I'm lost in the middle of a desert mind, I have no benchmark, I suggest looking for a single bed to sleep, after a moment I know something, it is always that, and then the years pass, I do not distrust, how to fear what does not exist, it is true, it is a unique version, it did not exist before and it will not exist after, for now c is a possibility offered undivided, the year is almost over, so I know that in a few days it will be again, but in what sense is it that I am what I am, if I am in a position to go then it should go, it's just in life it is often a millimeter is normal, but basically it's weird, what does that mean, I do not c is therefore that it is not possible, I also like mustard, it makes me cry, but it becomes harder, how to succeed without breaking eggs, one day it starts, it goes one day, one day it becomes one day it gets stuck, it goes one day, one day you stop, because you need to know anything else, a life passes quickly, and only one, then you must choose if you want to skip steps, The first is easy, youth, hop, comes the second stage, the couple lives, it becomes harder to meet for years, comes the third step, knowing deep to reach the area identical in all humans, This single base that gives life, it is below the emotions and culture of each is what remains of the first day of our life is Insousciance this fullness, this enormous pleasure that s' collapses quickly when you understand that life is hunger and cold in the morning to go to the nursery, the satisfaction of happiness without limit remains in the body for life, this is my purpose in life, find that state total happiness
vers le soir je sens monter en moi une douceur simple, quelque chose de puissant qui passe sans m'inquiéter, je suis au plus près de mes émotions, que veulent-elles me dire, est-ce vrai, je ne m'en rends pas compte, je suis perdu au milieu d'un désert mental, je n'ai aucun repère, j'avance seul cherchant un lit pour dormir, au bout d'un moment je sais quelque chose, c'est toujours ça, et puis les années passent, je ne me méfie pas, comment avoir peur de ce qui n'existe pas, c'est vrai, c'est une version unique, ça n'existait pas avant et ça n'existera pas après, car maintenant c'est une possibilité offerte sans partage, l'année est bientôt finie, alors je sais que dans quelques jours ce sera nouveau, mais dans quel sens, faut-il que je sois ce que je suis, si je suis en position d'aller là, ça devrait passer, c'est juste, dans la vie ça passe souvent à un millimètre près, c'est normal, mais au fond c'est bizarre, qu'est ce que ça veut dire, je ne comprends pas, c'est donc ça, ce n'est pas possible, j'aime aussi la moutarde, ça me fait pleurer, mais ça devient plus dur, comment réussir sans casser des oeufs, un jour ça commence, un jour ça continue, un jour ça devient, un jour ça coince, un jour ça monte, un jour on arrête, car il faut savoir faire autre chose, un vie passe vite, et on en a qu'une, alors il faut bien choisir si on veut passer les étapes, la première est facile, la jeunesse, hop, arrive la deuxième étape, la vie en couple, ça devient plus dur, des années pour se rencontrer, arrive la troisième étape, se connaître en profondeur pour atteindre la zone identique chez tous les humains, ce socle unique qui fait vivre, c'est en-dessous des émotions et de la culture de chacun, c'est ce qui reste du premier jour de notre vie, c'est insousciance, cette plénitude, ce plaisir énorme, qui s'effondre rapidement quand on comprend que la vie c'est la faim et le froid du matin pour aller à la crèche, cette satisfaction de bonheur sans limite reste dans le corps toute sa vie, c'est le but de ma vie, retrouver cet état de bonheur total
Avenue was lined with trees, the sun was shining I was near a pole when suddenly he took to understand what is going on in my head, it was burning, I was no longer sure of anything, how to turn this fire, I believed that we could live quietly, but suddenly the machine does not work as before, it happens without warning, in the head there is another vision, it replaces the old one and it does not well, Indeed I was accustomed to this ritual is repeated every day without that change anything, and it can last for decades, 20 years as a second pass, so why all of a sudden he should change everything, Jesus, you who suffered unto death to save us, can you explain what you mean, where is the message we live as we can, we do not choose anything and now it falls into the silence of the night, a day is enough for me crashed into my consciousness that I thought did not exist, the youth went I do not know where I am left alone to decide my life, and modernity does not help me this speed is not silly to me, I need time, I advance slowly, years to clarify the meaning principal, a single test, so what if I'm wrong, this is my life
l'avenue était bordée d'arbre, le soleil brillait j'étais près d'un poteau quand tout à coup il fallut comprendre ce qui se passait dans ma tête, ça brûlait, je n'étais plus sûr de rien, comment éteindre cet incendie, moi qui croyait qu'on pouvait vivre tranquillement, mais soudainement la machine ne marche plus comme avant, ça arrive sans prévenir, dans la tête il y a une autre vision, elle remplace l'ancienne et ça ne fait pas du bien, en effet je m'étais habitué à ce rituel qui se répétait chaque jour sans qu'on y change rien, et ça peut durer des décennies, 20 ans passe comme une seconde, alors pourquoi d'un seul coup il faut tout changer, Jésus, toi qui a souffert jusqu'à la mort pour nous sauver, peux-tu m'expliquer ce que ça veut dire, où est le message, on vit comme on peut, on ne choisit rien et voilà que ça tombe dans le silence de la nuit, un jour suffit pour que je m'écrase dans ma conscience, ce que je croyais n'existait pas, cette jeunesse est passée je ne sais où, je reste seul pour décider de ma vie, et la modernité ne m'aide pas, cette vitesse idiote ne me correspond pas, j'ai besoin de temps, j'avance lentement, des années pour préciser le sens principal, un essai unique, tant pis si je me trompe, c'est ma vie
I feel good in lies, where the truth is, it is understood that it is, and it does not match what I have in deeper the longer I live, the more I understand that I have Inside, it takes time to get down to the cellar, there is so much room that year, after we multiply by a hundred, prevent human history to discover too quickly what life is, a assembly delirious with a penchant for evil, when one sees that modernity offers us as new, it is striking to see that it does not match the expectations of simple happiness, why humans can not look in the direction of love rather than financial interest, Apple is a good example, Steve Jobs said he would give work to everyone, it was a visionary, he knew what to invent to please the world integer, Apple has released the hole or take him fools who believed that the computer is a luxury, but with the Iphone, it was successful, but it begs the question, in 1995, Microsoft proposed the plug and play, now you do not connect more and more plays, connections pass through the air, and the game is to spend hours to find out how it can work, what a lie, it would have us believe that c ' For our many anxious when I think of my youth when I used to play cowboys and Indians with a hat and a stick, I feel like my life began in the Paleolithic, today is the beginning of the future we imagined science fiction writers, forty years ago writers have imagined the world of tomorrow with devices being invented today, but they imagined that hatred grew as that we invented new technological objects to get to the end of human society, that is human imagination, the brain is able to anticipate what will happen, I say so be careful, we slide down a slippery slope, it is necessary to focus on love
je me sens bien dans le mensonge, où est la vérité, on croit savoir que c'est ça, et ça ne correspond pas à ce que j'ai au plus profond, plus je vis et plus je comprends ce que j'ai à l'intérieur, ça prend du temps de descendre à la cave, il y a autant d'étage que d'années, après on multiplie par cent, histoire d'empêcher l'humain de découvrir trop vite ce que la vie veut dire, un assemblage délirant avec un penchant pour la méchanceté, quand on voit ce que la modernité nous propose comme nouveautés, on est frappé de voir que ça ne correspond pas à l'attente du bonheur simple, pourquoi l'humain ne peut pas chercher dans la direction de l'amour plutôt que de l'intérêt financier, Apple en est un bon exemple, on disait de Steve Jobs qu'il allait donner du travail à tout le monde, c'était un visionnaire, il savait quoi inventer pour plaire au monde entier, il a sorti Apple du trou ou l'emmenait les fous qui croyait que l'ordinateur est un luxe, mais avec l'Iphone, ce fut le succès, mais on peut se poser la question, en 1995 Microsoft proposait le plug and play, aujourd'hui on ne brancher plus et on ne joue plus, les connexions passent dans les airs, et le jeu c'est de passer des heures pour savoir comment ça peut marcher, quel mensonge, on voudrait nous faire croire que c'est pour notre bien d'angoisser, quand je pense à ma jeunesse où je jouait au cowboys et aux indiens avec un chapeau et un bâton, j'ai l'impression d'avoir commencé ma vie au paléolithique, aujourd'hui c'est le début du futur qu'on imaginé les auteurs de science fiction, il y a quarante ans des écrivains ont imaginé le monde de demain avec des appareils qu'on invente aujourd'hui, mais aussi ils ont imaginé que la haine grandissait à mesure qu'on inventait de nouveaux objets technologiques pour arriver à la fin de la société humaine, cette imagination est humaine, le cerveau est capable d'anticiper ce qui va arriver, je dis donc attention, nous glissons sur une pente dangereuse, il faut se recentrer sur l'amour
jeudi 27 décembre 2012
how can we believe that modernity brings something more, you live longer to be bored any longer, you have to see these residues in human nursing homes, it's horrible but they are part of statistics in France we live up to 80 years on average, years of addiction, a body that degrades long ago people died at 40 years, today it is thought that it was too short, but life how to say it is better if it is longer than the known human divinity can be wrong all his life, believing that there is nothing wrong, then that is just the opposite, if we believes the parable of the good Thief, thief, murderer goes to heaven at the last moment if he asks forgiveness, then why live long, what's the point, it prevents children from touching the inheritance when they need it, when you start in his life it would be nice to have help, but now we have to wait until our children are old enough to begin their adult lives in the old disappear, then we're in cabbage, forty years past, still waiting for the legacy that will give me a little more air, I feel a little cramped in my poverty, it has to change, but I say, I will not go to heaven , more money does not interest me, what I want is freedom
comment croire que la modernité apporte quelque chose de plus, on vit plus longtemps pour s'ennuyer plus longtemps, il faut les voir ces résidus d'humains dans les maisons de retraites, c'est horrible mais ils font partie des statistiques, en France on vit en moyenne jusqu'à 80 ans, des années de dépendance, un corps qui se dégrade, il y a longtemps on mourrait à 40 ans, aujourd'hui on pense que c'était trop court, mais la vie comment dire qu'elle est meilleur si elle est plus longue, que sait l'humain de la divinité, on peut être dans l'erreur toute sa vie, croire qu'on ne fait rien de mal, alors que c'est tout le contraire, si on en croit la parabole du bon larron, le voleur, meurtrier va au paradis si au dernier moment il demande pardon, alors pourquoi vivre longtemps, à quoi ça sert, ça empêche les enfants de toucher l'héritage quand il en ont besoin, quand on commence dans sa vie ça serait bien d'avoir une aide, mais maintenant on est obligé d'attendre que nos enfants soient en âge de commencer leur vie d'adulte pour que les vieux disparaissent, alors nous on est dans les choux, à quarante ans passés, toujours à attendre l'héritage qui me donnera un peu plus d'air, je me sens un peu à l'étroit dans ma pauvreté, il faut que ça change, mais que dis-je, je n'irai pas au paradis, en plus l'argent ne m'intéresse pas, ce qui m'intéresse c'est la liberté
a free day I walked in the uncertainty of reality when I realized that I had to turn around, the time had passed, I might come back at night, and I do not like be outside at night, what I love is out during the day and back inside when it's time, I like to go here, I know this place, wherever I look, I recognize every stone, every face is unknown, and yet I know those people I meet, they are human, they were born one day going to somewhere they know what will their lives, living together without idea, without passion, disappointment, envy commonplace, people come, they will certainly, this is not an issue, they argue without hesitation, a memory popped into my head yesterday I was somewhere else, I force needed to bring a sack race heavily loaded, it hurt my hands, I went regularly with his left hand to the right hand or vice versa at present, the past is silent, he knows things, but it said nothing, he can not say anything since he was cut out his tongue, and then I am advised of the possibility not to keep dreaming my life, it's a shock, I thought I could not go on exist and now I change tracks, I go to the snail's pace bathed in the sauce, it is bold, it's good to remember childhood happiness in a jar when you open it, the air charge contrary thoughts, I go where I am, I'm where I was, I am where I am, a question that requires a response that takes his ease to avoid sleeping still the wrong direction, because the first will be last, and so be it, time is selected, this is the right moment
un jour de liberté je me promenais dans l'incertitude de la réalité, quand je me suis aperçu qu'il fallait que je fasse demi-tour, le temps était passé, je risquais de revenir dans la nuit, et je n'aime pas être dehors dans la nuit, ce que j'aime c'est sortir dans la journée et revenir à l'intérieur quand c'est le moment, j'aime bien aller ici, je connais bien cet endroit, où que je regarde, je reconnais chaque pierre, chaque visage est inconnu, et pourtant je les connais, ces gens que je croise, ils sont humains, ils sont nés un jour, vont-ils quelque part, savent-ils quelle sera leur vie, une vie commune, sans idée, sans passion, sans déception, une envie banale, des gens qui viennent, ils y vont certainement, ce n'est pas une question, ils avancent sans hésitation, un souvenir surgit dans ma cervelle, hier j'étais ailleurs, il me fallait de la force pour ramener un sac de course lourdement chargé, il me faisait mal aux mains, régulièrement je passais de la main gauche à la main droite ou inversement au moment présent, le passé se tait, il sait des choses, mais il ne dit rien, il ne peut plus rien dire depuis qu'on lui a coupé la langue, et puis je suis averti de la possibilité de ne pas continuer à rêver ma vie, c'est un choc, je croyais pouvoir continuer longtemps à ne pas exister et voilà que je change de rails, je passe à la vitesse de l'escargot qui baigne dans la sauce, c'est gras, ça fait du bien au souvenir d'enfance, du bonheur en bocal, quand on l'ouvre, l'air se charge de pensées contraires, j'y vais ou j'y suis, je vais ou j'étais, je viens ou j'y suis, une question qui demande une réponse qui prend ses aises pour éviter de dormir encore dans le mauvais sens, car le premier sera le dernier, et ainsi soit-il, le moment est choisi, c'est le bon moment
if someone had told me that I was going to live I would not have believed, because what I saw was amazing, I get up in the morning excited to start the day, this day happens in happiness, and when I 'arrives at night, it is a pleasure to know that the day ends, I find it hard to tell myself that it will not, and when it does not it does not last, I quickly found why I am sure land is a long mission just to get where I am it took 45 years, an easy time, I've never had great difficulty, as if I had slipped up today, is does that will change is that it will become difficult in the sense that I'm not going to let me, I was not, I liked it let me do, not knowing what I wanted do I let others to decide for me, now I know what I want to do, then there's going to hurt, I do not know that, but what was not will soon no longer exist, and for once I'll be there for something, it changes me, because before I was as transparent, I was responsible for anything, it's strange life, we do not believe it and it happens anyway, a meeting an opening that heats my mind, what happens, I'm here, yes, I'm ready, now is to go where I do not know, I do not care, life is complicated, it often wrong but when you are confident, this is great news, it shakes, but nothing happens, I do not believe illusions, the reality is obscure, what happens is recessed away from I circle comes to an end, the next will take me elsewhere, it is like that, there's not fight, the movement is deep
si on m'avait dit ce que j'allais vivre je ne l'aurais pas cru, car ce que je vis est incroyable, je me lève le matin heureux de commencer la journée, cette journée se passe dans le bonheur, et quand j'arrive au soir, c'est un plaisir de savoir que la journée se termine, j'ai du mal à me dire que ça ne va pas, et quand ça ne va pas ça ne dure pas, rapidement je retrouve pourquoi je suis sûr terre, c'est une mission longue, rien que pour arriver où je suis ça a pris 45 ans, un temps facile, je n'ai jamais eu de grandes difficultés, comme si j'avais glissé jusqu'à aujourd'hui, est-ce que ça va changer, est-ce que ça va devenir difficile, dans le sens où je ne vais plus me laisser faire, j'étais absent, ça me plaisait de me laisser faire, ne sachant pas trop bien ce que je voulais faire, je laissais aux autres le soin de décider pour moi, maintenant je sais ce que je veux faire, alors là ça va faire mal, je ne sais pas à qui, mais ce qui existait ne va bientôt plus exister, et pour une fois j'y serai pour quelque chose, ça me change, car avant comme j'étais transparent, je n'étais responsable de rien, c'est bizarre la vie, on n'y croit pas et ça arrive quand même, une rencontre, une ouverture, mon esprit qui chauffe, qu'est ce qui se passe, je suis là, oui, je suis prêt, c'est maintenant, pour aller je ne sais où, je m'en moque, la vie est compliquée, on se trompe souvent mais quand on est sûr de soi, c'est une nouvelle extraordinaire, ça bouscule, mais il ne se passe rien, je ne crois pas aux mirages, la réalité est obscure, ce qui se passe est en creux, loin de moi un cercle arrive à sa fin, le prochain va m'emmener ailleurs, c'est comme ça, il n'y a pas à lutter, le mouvement est profond
it was time that I wondered if I had taken the right road, today it happened something that made my view, this internal vision that allows you to position the unknown, I was a little lost, here I am again caught in a trap pleasant, I am a prisoner of my idea, it leads me beyond the mountains, I swim, I run, I know, it's fine, suddenly nothing happens, it's wonderful, I'm here, it's beautiful, nothing stops me, I am what I am, this is how I want to live, I could not lie to me, I want to go in front of me to know where I'm going, I can not make detours, I have no time, I have to go ahead in front of me slowly to the point of rendezvous, this time I feared now I know that waiting for me in love, then I'm fine, I'm at the top of the door down, it's incredibly light, and then it's heavy, it's still a little bit and it'll be because I'm in the right size, I finally find the way easily accessible but it takes time to find it, once, twice, a thousand times I tried to find a way out, but every time I had to return to the same place, now I know that I can jump without fear, this is my way
cela faisait longtemps que je me demandais si j'avais pris la bonne route, aujourd'hui il s'est passé quelque chose qui m'a rendu la vue, cette vision interne qui permet de se positionner dans l'inconnu, j'étais un peu perdu, me voilà à nouveau pris dans un piège agréable, je suis prisonnier de mon idée, elle me porte au-delà des montagnes, j'y nage, je cours, je sais, il fait beau, tout à coup, rien ne se passe, c'est merveilleux, je suis là, c'est beau, plus rien ne m'arrête, je suis ce que je veux, c'est comme ça que je veux vivre, je ne pouvais plus me mentir, je veux aller devant moi pour savoir où je vais, je ne peux plus faire de détours, je n'ai plus le temps, il faut que j'avance devant moi pour aller lentement au point de rendez-vous, cet instant que je craignais, maintenant je sais qu'il m'attend dans l'amour, alors je vais bien, ça me porte au plus haut du bas, c'est incroyablement léger, et puis c'est lourd, c'est bien, encore un peu et ça ira car je suis dans la bonne dimension, j'ai enfin trouver le chemin, facilement accessible mais ça prend du temps pour le trouver, une fois, deux fois, mille fois j'ai essayé de trouver un moyen de partir, mais à chaque fois il fallait que je revienne au même endroit, maintenant je sais que je peux m'élancer sans peur, c'est ma voie
Yesterday I was happy, thinking of nothing and now today I have to learn, see if it's possible, but how did I get there, I do not have realized it 'happened all of a sudden, I realized that I was going in the wrong direction, it is overflowing sentiment, nothing can be done, it's like this, my poor body did not defendant, there is the head that thinks, then obviously you can not see anything happen, it is as if we received a large potato on the face, it hurts, it's useless, it's no use nothing and yet it is there before me, this knowledge first, the urgency of being oneself, no longer acting, it happens today, there is no escape, I'm stuck in this I am, I can not help it, it's strong and weak at the same time, I do not understand is beyond me, I had to come here at this precise point in my life when where I am, it became unstoppable, I must be what I am, this is a matter of life or death, it is a horrible reality but you get used to everything, it is a source life, I wood lungs, it is a requirement terrible aujroud'hui I see clearly, this is a project that takes me all my resources
hier j'étais heureux, ne pensant à rien et voilà qu'aujourd'hui je dois me renseigner, voir si c'est possible, mais comment en suis-je arrivé là, je ne m'en suis pas rendu compte, c'est arrivé d'un seul coup, je me suis rendu compte que je partais dans la mauvaise direction, c'est un sentiment qui déborde, on ne peut rien y faire, c'est comme ça, mon pauvre corps ne m'a pas prévenu, il n'y a que la tête qui réfléchit, alors évidemment on ne voit rien arriver, c'est comme si on se recevait une grosse pomme de terre sur la figure, ça fait mal, c'est inutile, ça ne sert à rien et pourtant c'est là, devant moi, cette connaissance première, cette urgence d'être soi, ne plus jouer la comédie, ça arrive aujourd'hui, il n'y a pas d'échappatoire, je suis bloqué dans ce que je suis, je n'y peux rien, c'est fort et faible en même temps, je n'y comprends rien , ça me dépasse, il fallait que j'arrive là, à cet endroit précis de ma vie, au moment où je suis, c'est devenu imparable, il faut que je sois ce que je sois, c'est une question de vie ou de mort, c'est une réalité horrible mais on s'habitue à tout, c'est une source de vie, j'y bois à pleins poumons, c'est une exigence terrible, aujroud'hui je vois clair, c'est un projet qui me prend toutes mes ressources
Iphone trap and PCs
Iphone trap and PCs
I was a child before knowing modernity, what a disappointment, what misery, we give son to twist, everything could so simple, but it would sell less, that's the problem, it is commercial, we sell as much as possible but at the same time it forces people to waste their time trying to repair these machines do not work, we promised happiness rapid, there was the disastrous delays, saying they lived happily before modernity, we had easy to use tools, we understood everything, this happiness is lost since the advent of the computer, everything became complicated, it goes faster when it works, but when it does not work anymore, it's a disaster , much more than before, because before we lived happily without complicating their lives, now we lose days trying to fix something you do not understand, it's miserable, modernity requires us to spoil the time while life passes quickly, we are trapped in the iPhone and PC, is a hollow promise, there is no happiness to go fast, you are stressed, we do not take advantage of the time that happens, you want to go fast, that's all, then how to live happy, can you live without a computer, no, so hopefully everything goes well, this is what I want,
Apple gentlemen, know the evil that you do
Apple gentlemen, know the evil that you do
I planned to have a good time when all of a sudden I had to run a phone Iphone, what a pity, hours spent for nothing, in the end it does not work, hours searching on the Internet, but nobody understands the dirty tricks of Apple engineers to be sure they do not steal, what a pity, all those smart brains who spend their time doing stupid, because how else to say, the future is bleak, we were told, plug and play, what great promise, but as often as the promises do not, because today you plug and play tunes misery, wasted time, hope fled, it is a disaster, modernity is also obscure, luckily I had a hammer to smash the phone who was able to annoy me, too bad for the money lost, I save my honor, my glory, my joy of living light, which funny when one likes wasting time supposedly to win, because these instruments are made to communicate quickly, but when it does not work, you are lost, you do not understand anything, it is a misery, it costs expensive, it does not work, there is no solution, it's awful, it is morbid, Apple gentlemen, know the harm you do to people who do not do anything, it is the problem of the Americans, they believe that everything is possible, these cowboys eating hamburgers, well know, gentlemen, that in Europe we love kindness, simplicity, love is like that,
Apple and Microsoft, killers of innocence
Apple and Microsoft, killers of innocence
what about modernity, it pushes us into slavery, thoughts twisted afternoons smashing time wasted searching for solutions whereas initially it is expected not to be simple, Microsoft and Apple companies that have the ambition to make us lose our innocence, the time of life when a stick and a leaf are enough to play for hours today because of the thousands of engineers, we are obliged to love the machines, computers or phones that work very well until nothing works, it falls very high, then we realize that we have been taken for a ride, the famous speed becomes slow risky, hours past to know nothing more, it's so complicated, each action we take in mistakes hell, we could spend time differently, well not impose modernity wasting time on the internet trying in vain to seek a solution is not found by cons there are lots of people who have the same problem as us, but nobody knows how, because it is always clever complicated in these companies, Microsoft and Apple, they thousands of engineers who think every day for years, how complicated their machines so we can not overcome, it is not a specialist, you do not have the time, these machines are so mysterious, we can not live without, they take the opportunity to break our innocence, lost pleasure of simplicity, it grows a red truck, everything is apparent, everything is simple, but that modernity, which seduces us, which we like, but it does not work, you must stop, it went so fast, you have to stop, they kill us, we were so happy, and we are concerned, when can we find a way to start to go fast, so fast
piège des Iphone et ordinateurs PC
j'étais un enfant avant de connaître la modernité, quelle déception, quelle misère, on nous donne des fils à tordre, tout pourrait si simple, mais ça se vendrait moins, voilà le problème, c'est commercial, on vend le plus possible, mais en même temps on oblige les gens à perdre leur temps en essayant de réparer ces machines qui ne marchent pas, on nous promettait le bonheur rapide, on n'a que la lenteur désastreuse, dire qu'on vivait heureux avant la modernité, on avait des outils faciles à utiliser, on comprenait tout, ce bonheur est perdu depuis l'apparition de l'informatique, tout est devenu compliqué, ça va plus vite quand ça marche, mais quand ça ne marche plus, c'est la catastrophe, bien plus grande qu'avant, car avant on vivait heureux sans se compliquer la vie, maintenant il faut perdre des journées à tenter de réparer quelque chose qu'on ne comprend pas, c'est misérable, la modernité nous oblige à gâcher le temps, alors que la vie passe vite, nous voilà pris au piège des IPhone et ordinateurs PC, c'est une promesse creuse, il n'y a pas de bonheur à aller vite, on est stressé, on ne profite pas du temps ,qui passe, on veut aller vite, c'est tout, alors comment faire pour vivre heureux, peut-on vivre sans ordinateur, non, alors espérons que tout se passe bien, c'est tout ce que je me souhaite,
messieurs d'Apple, sachez le mal que vous faites
j'avais prévu de passer du bon temps quand d'un seul coup il m'a fallu faire marcher un téléphone Iphone, quel malheur, des heures passées pour rien, à la fin ça ne marche pas, des heures à chercher sur Internet, mais personne ne comprend les coups tordus des ingénieurs d'Apple pour être sûr qu'on ne les volera pas, quelle pitié, toutes ces cervelles intelligentes qui passent leur temps à faire des conneries, car comment dire autrement, l'avenir est sombre, on nous avait dit , plug and play, quel belle promesse, mais comme comme souvent les promesses ne tiennent pas, car aujourd'hui on branche et on joue des airs de misères, le temps perdu, l'espérance enfuie, c'est un désastre, la modernité est-elle aussi obscure, heureusement que j'avais un marteau pour écraser ce téléphone qui avait su me déplaire, tant pis pour l'argent perdu, je sauve mon honneur, ma gloire, mon bonheur de vivre léger, quelle drôle d'époque où on aime perdre son temps soit-disant pour en gagner, car ces instruments sont fait pour communiquer rapidement, mais quand ça ne marche pas, on est perdu, on ne comprend rien, c'est une misère, ça coûte cher, ça ne marche pas, il n'y a pas de solution, c'est affreux, c'est morbide, messieurs d'Apple, sachez le mal que vous faites à des gens qui ne vous ont rien fait, c'est le problème des américains, ils se croient tout permis, ces cow-boys mangeurs d'hamburgers, et bien sachez, messieurs, qu'en Europe on aime la gentillesse, la simplicité, l'amour, c'est comme ça,
Apple et Microsoft, tueurs d'innocence
que dire de la modernité, elle nous pousse dans l'esclavage, des pensées tordues, des après-midi foutues, du temps perdu à chercher des solutions alors qu'au départ c'est prévu pour ne pas être simple, Microsoft et Apple, des entreprises qui ont pour ambition de nous faire perdre notre innocence, le moment de la vie où un bâton et une feuille nous suffisent pour jouer des heures, aujourd'hui à cause de ces milliers d'ingénieurs, nous sommes obligés d'aimer des machines, ordinateurs ou téléphones qui marchent très bien jusqu'au moment où plus rien ne marche, on tombe de très haut, là on s'aperçoit qu'on a été mené en bateau, cette fameuse rapidité se transforme en lenteur hasardeuse, des heures passées à ne rien savoir de plus, c'est tellement compliqué, chaque intervention nous emmène dans des errements infernaux, on aurait pu passer du temps autrement, hé bien non, la modernité impose de perdre du temps sur internet essayant vainement d'y chercher une solution qu'on ne trouve pas, par contre on trouve des tas de gens qui ont le même problème que nous, mais personne ne sait comment faire, car c'est toujours astucieusement compliqué, dans ces entreprises, Microsoft et Apple, ils ont des milliers d'ingénieurs qui réfléchissent tous la journée, pendant des années, comment compliquer leurs machines pour qu'on ne puisse pas venir à bout, on est pas spécialiste, on n'a pas le temps, ces machines sont tellement mystérieuses, on ne peut pas vivre sans, ils en profitent pour casser notre innocence, ce plaisir perdu de la simplicité, on fait pousser un camion rouge, tout est apparent, tout est simple, mais voilà la modernité, qui nous séduit, qui nous plaît, mais ça ne marche pas, il faut freiner, on allait si vite, il faut s'arrêter, ils nous tuent, nous étions si heureux, et nous voilà préoccupés, quand pourrons-nous trouver une solution pour recommencer à aller vite, si vite
mardi 25 décembre 2012
lundi 24 décembre 2012
it was so simple, the years of childhood are passed as in a dream, I see now, it was simple, because I see today is complicated, it is difficult, anxiety is climbing, I resist without armor, my only faith to guide me, the path is illuminated, but suddenly I'm taken by surprise, I must go very far from the light in total darkness I bathe, pleasure is total, but how to continue, I can not prolong this moment, I need light fast I run, the urgency is great, it must, must, must, I am close, I 'approach, will I be able to continue to live simply, or should I settle for a growing dissatisfaction, the longer I live the more I am away from innocence, do I have to be hollow in reality, is my destiny, no longer able to love, I love a woman for years, it is a feeling that is beyond me, I think, as if I was living in the treetops is extreme happiness, I am have to lose in order to live alone, happiness is born and dies, live life, luckily we have time before dying, every day is an opportunity to see different things, one thing at a time, the brain is slow to accept new,
ce fut tellement simple, les années de l'enfance sont passées comme dans un rêve, je le vois aujourd'hui, c'était simple, je le vois car aujourd'hui c'est compliqué, c'est ardu, l'angoisse monte à l'assaut, je résiste sans armure, ma seule foi me guide, le chemin est éclairé, mais soudainement je suis pris par surprise, il faut que j'aille très loin de la lumière, dans le noir absolu je me baigne, le plaisir est total, mais comment continuer, je ne peux pas prolonger ce moment, j'ai besoin de lumière, vite, je cours, l'urgence est grande, il faut, il faut, il faut, je suis près, j'approche, vais-je pouvoir continuer à vivre simplement, ou bien devrais-je me contenter d'une insatisfaction grandissante, plus je vis plus je m'éloigne de l'innocence, vais-je devoir être dans la réalité creuse, est-ce mon destin, ne plus pouvoir aimer, j'aime depuis des années une femme, c'est un sentiment qui me dépasse, j'y crois, comme si je vivais en haut des arbres, c'est un bonheur extrême, vais-je devoir le perdre pour arriver à vivre seul, le bonheur naît et meurt, vive la vie, heureusement qu'on a du temps avant de mourir, chaque jour est l'occasion de voir des choses différentes, une chose à la fois, le cerveau est lent à accépter la nouveauté,
the beauty of life is real, trees, streets, people, smiles, gestures, I meet others, everyone is beautiful, indifferent, we cross without getting hit, we meet a few times with creases sleeves coats, a desire quiet, the legs walk, the look is serene, beautiful faces I see, I see, then I see a figure old horrible, I see, then I see others it's a painting, and I, who am I, a day is white, it starts here, wait, that's how a test in uncertainty, there is no chance, while is expected, it is desirable to cross the road to destiny, it happens at a specific time, make haste, my brain and my body are in agreement, this is it, this is a matter of days and time, this day, this hour, we know what happens in the background when the reason is acceptable position, far from the tumult of emotions, the calculation is correct, it is five years and three days , a past, a present, elk crashing on the rocks, and then the sun rises, the sea calm, yesterday, today and tomorrow in the same hand, consistency, truth, patience, I see before me stand up my body, it's morning, I got up as usual, it is still dark, it's winter, it's cold outside, I'm hot
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