when is it now
jeudi 10 octobre 2013
un jour je serai toujours un peu plus qu'aujourd'hui, car la pente m'entraîne, une chose, deux pas, et tout est bloqué, depuis ce moment ça commence, de plus en plus mais juste en dessous, une réalité comprise comme étant permise au début du cycle, ça vient par là, et par ici ça tente de passer, je le bloque, je me réveille, ça y est, j'y suis, dans un certain sens je suis toujours acceptable, mais peu à peu grandit en moi une sensation nouvelle qui s'impose, des envies qui ne viennent pas du même endroit, ça se tasse, c'est pareil, de quoi faire un chat en plâtre, mais ensuite que faire, je m'ennuie une minute par heure, je me balance sur mes pieds, ça ne fait pas le tour, je suis à l'écoute, comme si j'étais dans un sous-marin, depuis une heure je passe en temps clair, ça m'arrive de temps en temps, pas tout le temps, un temps précaire, un pas de trop, même si ça peut aller, je sais que chaque chose est à sa place, car il est évident que le choix est toujours le meilleur même si je réalise avec le temps que ce que je sais est une partie d'un tout que j'ignore, je tente d'aller plus haut, mais je suis bloqué, je ne peux pas tout savoir de ma personne, comme si le programme de la vie n'était pas complêtement paramétrable, c'est fondu dans le bloc, on ne peut atteindre la partie première, celle qui fonde l'humain, on ne sait pas quoi faire, c'est l'inconnu, on marche à l'envers, on ne le sait pas, on tombe, pourquoi, j'ignore ce qui se passe dans mon corps, je suis en pilotage automatique, je n'ai pas trouvé le volant pour me diriager, si je vais dans le mur, ça ne sera pas de ma faute, alors je passe par là, je fais attention, que se passe pour ça, pour rien, depuis ça, mais quand je ça, mais ça peut, si, si, c'est frais, c'est ça que je rends, depuis au moins mais quand je suis réveillé, je fais des choses, ça change de la nuit où je ne fais rien, je dors
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