je crois qu'il est possible de partir sans s'arrêter à condition de fendre la chance en deux car la moitié qui reste n'est pas disponible, dans un sens comme dans l'autre je fais des nœuds pour être sûr de pouvoir, pouvoir, pouvoir, faire, descendre, monter, j’y vais pour demandes ce qui se passe, mais depuis des années je montre ce que je peux faire, des passoires en forme d'avion dans des trous plein de ce que j'appelle une précision pour ne pas toujours passer un peu à la fois, car la place est une chance qu'on ne peut toujours mépriser, de toutes façons je suis toujours au plus près de la possibilité de faire une chose plutôt qu'une autre, un peu de maçon, un peu d'aventurier mais moi je suis quelqu'un de bien, pas bien, très bien, vous pouvez faire un essai mais je vous préviens que ce que vous allez faire c'est un essai il n'y a pas de vitesse, c'est plat, sans relief car ce qui qui se passe c'est un une sensation de vitesse un peu comme si je lance une balle dans un carrefour plein de personnes, un vitesse que je peux atteindre quand je ne sais plus où je je suis, ça m'arrive quand je dors, la nuit ça chante, ça passe du blanc au noir, mais quand je me réveille je vois des lumières, ça peut aller depuis ce matin je vois que je peux toujours faire des rond ce n'est pas comme ça que je vais aller au cinéma, ça me demanderait des envies que je ne possède plus depuis que je suis parti de travers, j'avais l'intention de pouvoir le faire, mais au dernier moment j'ai renoncé pour ne plus sortir seul