when is it now

samedi 5 octobre 2013

vite, il faut se dépêcher, les portes vont bientôt se fermer, car il faut toujours compter sur soi, le capital reste entier, on est prêt à se mette en marche, il ne reste qu'une question, qui fait quoi, ça ne devrait pas poser de problème, il faut juste réfléchir, et ça c'est possible, des idées anciennes, des nouvelles qui ont besoin d'être testées pour se rendre compte du vide qui passe en courant, depuis maintent des centaines d'années, l'humain cherche des solutions innovantes pour se faciliter la vie, avant on avait attendu des milliers d'années en se contentant de rêver à un monde idéal, ça ne marche pas, il faut trouver la solution, car le problème est de ne pas se rendre compte que le problème existe, la venue au monde impose un choix, rester ou partir, car dans des étendues larges et incomplètes, il faut se faire une idée claire, ça commence ici, ça finit là, je trace une droite qui passe par le point a, ensuite je prends mon équerre, je compte jusqu'à deux, ensuite je m'assois, je fais attention au temps qui passe, la fenêtre est ouverte, je sens l'air qui passe, c'est l'après midi, on devrait pouvoir compter jusqu'à 3, une pause, un sifflet, de la sueur tombe grâce au ciel je veux bien essayer, ça pourrait aller jusqu'au bout, un effort à faire, pour ne pas toujours croire que le moment est choisi, on est dans l'appartement, on voit le tunnel à gauche de la salle de bain, au loin il y a une lumière, je repère l'espace qui me sépare du bonheur, à première vue c'est dans des histoires enfantines, il y a quarante ans j'ai passé mon goûter à mon chat, depuis je ne prends plus de croissant, c'est trop gras, je me suis rendu compte que le corps passait au fur et à mesure d'une situation neutre à un accroissement des chances de sombrer, comment passer gratuitement, j'essaye de trouver une solution acceptable

Aucun commentaire: