La douleur de vivre ne se connait que bien après les premiers émois se fige en France 4l amour en dieu pour une heure.
Aucune indice action ne sim1blessure erreur erreur spontanée drame amical at Lentes d’un Tout craque Tout s’écroule pour laisser place a la réalité, un mélange de drôle et de funeste, de pleins et de vide ordures qui en jettent plein la vue.
Heureusement la vie n’est pas en deux aussi tranchée. Tout est sensible comme une corde de violon at peine touche. Les autre sont des corps comme moi et pourtant on a du mal a partager. Tout l’intérêt de vivre est dans ce paradoxe, tous semblables mais chacun seul dans son existence. Comment trouver le pontqui fait couler l’eau dessous. Des gros troncs d’arbres qui viennent de loin en amont perturbent le bon déroulement de l’échange. les propos sont banals mais cachent Mme histoire. Dissimulation, mystère, plus que cinquante ans a vivre, soyons raisonnables. Plus ça va je m’enracine dans ma culture et j’oub1ie d’appartenir 21 l’humain. il me rattrapera un jour quand je serais vieux prêt a
tomber dans le trou. Tous unis dans la tombe, pas de différences, richesse, culture, pays, langue, peau, galère, voiliers, maison, amour. ]’ai tout perdu jusqu’à ma chair qui protégeait mes organes. Dans quelques temps mes os seront poussière et le nom, par lequel mes amis m’appellent, tombe aux oubliettes. Malgré ça on continu a faire comme si de rien n’était : l’important est que je
passe mon bac et que je réussisse mes études pour m’en mettre plein les fouilles. Être riche, quelle dérision, la vie se joue sans de. Pas de gagnant, pas de perdant. Des histoires qui s’accumulent a chaque génération qui passe. Ça enfait un paquet depuis que le premier couple est apparu sur terre. Lui aussi a eu
ses petits soucis et ses gros chagrins quand par exemple ils ont perdu leur premier enfant et a l’époque il n’y avait pas de sécurité sociale, et encore moins de psychologue pour parler du problème. Des tonnes de matière humaine dissoutes dans la terre. Toute les ambitions réunies dans la poussière du chemin
qui serpente sous le soleil. On entend des oiseaux, c’est midi l’heure de retrouver ceux que j’aime pour partager le repas. Une journée chasse l’autre et le fruit de nos amour compte jusqu’à dix. Elle se moque de moi gentiment, notre création qui n’était qu’un rêve il y a dix ans. Je regarde le chemin parcouru, les
roses le parsèment. Leur parfum m’enivre mais l’ivresse qui m’entoure ne peux me cacher les nuages qui progressent plus nombreux au-dessus de mon avenir.Mon corps laiche des signaux et des pets 21 l’occasion. rien encore de sérieux
mais le temps n’arrange rien, il le transforme en tout. Le petit devient gros, les dents fausses et l’Appétit incertain. il ne faut pas nourrir le mal. Peu importe il est en moi, je peux même dire que c’est moi, car sans moi pas de problème Supprimez la source et l’eau disparait. C’était un mirage, vous souvenez-vous de
la personne que vous étiez pas plus tard qu’hier. Impossible de le savoir avec exactitude. Reste une impression d’ensemble qu’on raccroche a l’ensemble plus grand de la semaine. Je me suis traine depuis lundi. .. et on oubli que jeudi a l0h22 on a reçu un choc émotionnel en agrafant d’un seul coup dix feuilles
ensemble.
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