parce que c'est comme ça, je sais qu'il faut toujours respirer, ça compte dans la vie, rien à voir, tout à savoir, veux vendre votre voiture, mais maman me manque, dans des droites devant des dentitions, avant avancer au  art barar, certo, cari, parel, d'un coup être près, mais demain maintenant, voir, être sûr, parmi des choix, de la voilure sans garantie de ne pas sombrer, car chaque moment est lourd, il pèse une tonne et trois quart de pensées idiotes, ça fait un ensemble, je garde ça pour moi, je sais qu'il existe un chemin qui mène très loin, je cherche un moyen de passer par là, mais pour le moment je bois du vin, ça me rassure, je perds du temps, ça me fait du bien, le temps est en pente, je glisse vers une direction inconnue, que faire, je prends, je tends, je rends, j'ai encore une fois la conscience qu'il faut s'arrêter, regarder sans se presser, que se passe-t-il, il a mis sa casquette à l'envers, je dois comprendre rapidement le problème, je suis dans le salon, il faut que je passe dans la cuisine, mais dans le jardin il y a des gens en arme, que veulent-ils, je fuis dans la cave, au-dessus j'entends des cris, il est  tard, je dégage une étagère pour accéder à un passage secret qui me mène dans une chambre où m'attend une fille qui a les seins nus, elle m'attend, je cours, je passe juste à côté, j'arrive près de la mer, je sais que je dois traverser, j'attends un peu, le soleil brille, l'eau est bleue, je n'aurais pas d'autres occasions, mais je ne peux m'empêcher de penser qu'il est difficile de partir, n'ai-je pas d'autres choix, c'est comme ça que je suis resté au même endroit avec une petite inquiétude, vais-je pouvoir continuer à vivre simplement, on pourrait faire autre chose, mais la pente est douce, on y va calmement, et puis un jour on tombe vite, ça passe, ça casse, ça tasse, ça lasse, on est pris d'une envie de rire, ça vient de loin, c'est une mise en bière ou une mise au point, ça compte, un, deux, trois, quatre, cinq, mille, cent, voir, prendre, regard, perte, gain, boire