cette fois j'en suis sûr c'est l'occasion rêvée depuis tant d'années ça continue comme avant, mais après ce n'est pas toujours ce qui se passe car il est de ce monde, il n'en sort pas, il vit touts les jours, il avance un peu, un peu, un peu, mais depuis maintenant il croit à ce qu'il rêve, car dans un an c'est un an, dans deux ans c'est n'importe quoi, je sais très bien ce que je veux dire que la chance de mourir un jour, mais en attendant j'ai la chance de vivre heureux, ça compte de vivre alors quand on est heureux ça compte doublement, triplement, quadruplement mais je n’y arrive pas, ce n'est pas mon rôle, à chaque fois c'est le dernier qui commence je ne crois plus qu'il est impossible de passer à table, ce que je fais c'est n'importe quoi, pourquoi je choisi une lettre plutôt qu'une autre en me trompant de choix, c'est dur de voir sans toucher, car moi, ce que j'aimerai sans le couloir, c'est e ne plus toujours paraître, mais de vivre ce que je suis, c'est une éventualité pour ne pas finir seul, mais je ne suis pas sûr de la fin, c’est une solution adapté, c'est une mort en attente, mais le dernier n'est pas le premier, c'est comme ça que je fais mes comptes, un ,deux, trois, je saute par dessus la haie, je me retrouve de l'autre côté, mais que se passe-t-il, je ne suis pas au courant car comme j'ai couru, je ne fais pas attention aux détails, un dernière fois je te demande de ne plus toujours être aussi loin, rapproche toi de la vérité, celle qui brûle, celle qui va où on ne va pas car les feuilles mortes se ramassent à la pelle qu'il est l'heure de se voir tel qu'on est, quelqu'un de pas uniquement toujours vers