vers la satisfaction il y a des marches à monter, ça demande un peu d'effort, mais on peut aller à son rythme, le plus et dans une position de moins, donc on peut toujours faire ce qu'on veut, ça prend du temps, des journées entières à essayer de choisir un élément convainquant car ce qui me manque c'est une sortie cohérente, tout est là, ça me gène pour me concentrer, il faut que je regarde tout avant de prendre ma décision, ça se fait très vite, une seconde et c'est fini, mais ça recommence souvent, toujours un peu de travers, dans une zone intermédiaire pleine de contradictions et de commandements erronés, tout est dans une poche, il faut la trouver, ensuite on espère que tout est en ordre, autrement ça va prendre encore six mois pour que ça puisse faire un peu les côtés, car pour bien avancer il faut bien sûr être au milieu mais aussi contrôler les côtes car qui peut se passer c'est qu'un côté fasse pencher l'ensemble dans une mauvaise direction alors je me secoue et je trouve une solution pour ne pas faire ce qui ne va pas au moment où je le décide, car avec le temps ça peut changer, un solution écartée peut revenir dans la course et emporter le prix de la justice immédiate, voilà pourquoi j’estime avoir raison de prendre le pouvoir sans les armes mais avec une décision qui impose un rythme soutenu, de plus en plus de marécages sont asséchés, on va pouvoir aller plus loin sans se mouiller les pieds, c'est dans cette optique que je glisse sans faire de bruit pour me préparer à après, quand les digues auront cédé et que l'ancien monde aura disparu