when is it now
vendredi 30 octobre 2009
dangerous shortcuts, the slope is too steep, how to stand on a vertical plane, I am not a spider, crushed with a gossip magazine, it looks like something special, but I can not remember if it was in winter or dan the car of my brother, he often used to driving on the right, at least that is trying to pass, I prefer to keep that run, it's less tiring and especially that lends a whip when I'm tired, fall is when the sap down into the earth, everything can be cut for next spring it restarts more beautiful is what I told my neighbor when all Suddenly I saw before I get a woman holding a dog leash, next there was a post used for anything, they buried the phone lines this year behind, but soon I will return to find someone who speaks easily provided to make gloves, a hat, all it takes to face the cold wind, I found pleasure, as far as the summer where we can move more easily between two sprinklers, is soon the Winter cold can wait it out, then the day ends earlier, it does not bother me, sooner or later we must accept life goes in to stop a long ribbon from the belly and s 'plunges into the unknown
raccourcis dangereux, la pente est trop raide, comment se tenir sur un plan vertical, je ne suis pas une araignée qu'on écrase avec un magazine people, ça ressemble à quelque chose de particulier, mais je ne me rappelle plus si c'était en hiver ou bien dan la voiture de mon frère, il a souvent l'habitude de conduire à droite, à moins que ne soit pour essayer de passer, je préfère tenir que courir, c'est moins fatigant et surtout ça donne un coup de fouet quand je suis fatigué, l'automne c'est le moment où la sève descend dans la terre, on peut tout couper pour qu'au printemps prochain ça redémarre de plus belle, c'est ce que je disais à mon voisin quand tout à coup je vis devant moi arriver une femme qui tenait en laisse un chien, à côté il y avait un poteau servant à rien, ils ont enterré les lignes de téléphone l'année derrière, mais bientôt je reviendrai pour connaître une personne qui parle facilement à condition de prendre des gants, un chapeau, tout ce qu'il faut pour affronter le vent froid, j'y trouve du plaisir, autant que l'été où on peut passer plus facilement entre deux arrosoirs, bientôt c'est l'hiver, le froid permet d'attendre que ça passe, ensuite le jour finit plus tôt, ça ne me gène pas, tôt ou tard il faut bien accepter, la vie continue dans s'arrêter, un long ruban qui part du ventre et s'enfonce dans l'inconnu
razor down, and no knife nearby, I have a knife to the Swiss bank, but it is closed today due to influenza H1N1, is the novelty in 2009, after the AIDS-contaminated blood, the heatwave of 2003, the State does not miss the flu and creates a national anxiety that causes people to crowd the hospitals to know they have the flu, as every year, except during a heat wave, a few old people are sick to death, we must remove the fear, what's still a pig who laughs at human folly, in short, we know one day that the money spent in masks, syringes, adjuvants the retro-commissions was for people well placed to redecorate their second home, which provides jobs to undocumented paid to black, they are black and more, and the earth turns on itself for fear of getting lost in space, life is worthy of his name and I am able to understand immediately what is happening in my head, I immediately translate the words that come to my mind, better than a computer that repeats what he has given me I just need a sandwich to believe anything that comes from anywhere, for example, wind from the west it is not hot when it grows out of sight, answering the question, I understood that the order first came alone
rasoir en panne, et aucune lame à proximité, j'ai bien un couteau suisse à la banque, mais elle est fermée aujourd'hui pour cause de grippe h1n1, c'est la nouveauté 2009, après le sida et la sang contaminé, la canicule de 2003, l'État ne veut pas rater la grippe et crée un angoisse nationale qui pousse les gens à encombrer les hôpitaux pour savoir qu'ils ont la grippe, comme tous les ans, sauf en temps de canicule, un petit nombre de vieux sont malades à en crever, il faut enlever la peur, qu'est ce qui reste, un cochon qui rit devant la bêtise humaine, bref, on saura un jour, que l'argent dépensé dans les masques, les seringues, les adjuvants, les rétro-commissions, c'était pour des personnes bien placées pour refaire la décoration de leur résidence secondaire, ce qui donne du travail à des sans papiers payés au noir, ils sont noirs en plus, et la terre tourne sur elle-même de peur de se perdre dans l'espace, la vie mérite son nom et moi je suis capable de comprendre tout de suite ce qui se passe dans ma tête, immédiatement je traduis les mots qui viennent à ma conscience, mieux qu'un ordinateur qui répète ce qu'on lui a donné, moi j'ai juste besoin d'un sandwich pour penser n'importe quoi qui vient de n'importe où, par exemple, le vent de l'ouest n'est il pas chaud quand il pousse à l'abri des regards, répondant à la question, je compris que l'ordre premier venait tout seul
loss of life is a moment like eating at regular times, it happens, except that digestion is not plummeting forces of life, everything stops, the blood congeals, the microscopic animals attack the organs, they grow during life, enzymes that do dissolve, leaving the man alive for him to continue his work, it lasts for years without worry, then one day it hurts, should surgery, complications, a leg, that is, wheelchair, scheduled end, that's for coffee, a program launched to start at seven o'clock end of the filter, blue bin, no sorting, all bodies in the earth, or we burn them for leaving only dust in an hour or more in an eternity as before, is progress, immediate pleasure of having his father on the mantelpiece, this being of flesh and blood, capable of talking, laughing, summarized in a ballot box who one day will fall and be swept into oblivion, when they say that the earliest human societies were created by burying their dead before they were animals that left bodies rotting in the open, eaten by birds and jackals, mode of gardening today, hold the ground my family for roses, it will not be surprised if one day the rose bleeds
la perte de la vie, c'est un moment comme celui de manger à heure fixe, ça passe, sauf que la digestion ce n'est pas dégringolade des forces de vie, tout s'arrête, le sang se fige, les bêtes microscopiques attaquent les organes, elles grossissent, pendant la vie, les enzymes ne font que dissoudre les matières en laissant en vie le bonhomme pour qu'il puisse continuer son travail, ça dure des années sans se soucier, puis un jour on a mal, faut opérer, complications, une jambe en moins, ça y est, chaise roulante, fin programmée, c'est comme pour la cafetière, programme lancé pour démarrage à sept heures, fin du filtre, poubelle bleue, pas de tri sélectif, tous les corps dans la terre, ou alors on les brûle pour qu'il ne reste que poussière en une heure et plus dans une éternité comme avant, c'est le progrès, immédiat plaisir d'avoir son père sur la cheminée, cet être de chair et de sang, capable de parler, de rire, résumé dans un urne qui un jour tombera et sera balayé dans l'oubli, quand on dit que les premières sociétés humaines se sont créées en enterrant leurs morts, avant c'étaient des bêtes qui laissaient pourrir les corps à l'air libre, mangés par les oiseaux et les chacals, aujourd'hui mode du jardinage, tiens du terreau familial pour mes rosiers, il ne faudra pas s'étonner si une jour le rosier saigne
jeudi 29 octobre 2009
complicity, a huge word makes me shiver from head to toe, she calls because they can not escape, because they want to join, it wants to stick as closely as is the commitment a life is betraying the end of hope, we know that life can not do without hope, we know every day on television, those who have more of hope to kill or kill their children, or both if there are enough cartridges, that's the human comedy, we laugh while eating his meal, the others are guilty, I ate quietly in front of my TV, nothing happens in my life I am, I come, I find it very strange thoughts sometimes but that does not exceed my head right now I have a feeling of happiness that comes to destroy evil thoughts, then I say that those who cross the line of death is that they have not had this reaction of hope, where is she, not humans too low to achieve this purity, it is also a grace falls at the right time, otherwise why not drop into the mud of humiliation and disrespect, let the show, we'll be better to discuss and perhaps you'll want to remove your clothes, I hope You understand that meeting a woman and a man in private research leads to intimacy
la complicité, un mot énorme qui me fait frémir de la tête aux pieds, elle engage parce qu'on ne peut pas y échapper, parce qu'on veux y adhérer, on veut y coller au plus près, c'est l'engagement d'une vie, la trahir c'est la fin de l'espérance, on sait que la vie ne peut se passer d'espérance, on le sait tous les jours à la télévision, celles et ceux qui n'ont plus d'espoir se tuent ou tuent leurs enfants, ou les deux si il y a assez de cartouches, voilà la comédie humaine, on rigole en mangeant son repas, les autres sont coupables, moi je mange tranquillement devant ma télé, rien n'arrive dans ma vie, je vais, je viens, j'ai bien de drôles de pensées parfois mais ça ne dépasse pas ma tête, tout de suite j'ai une impression de bonheur qui vient détruire les mauvaises pensées, alors je me dis que ceux qui franchissent la ligne de la mort, c'est qu'ils n'ont pas eu cette réaction d'espérance, d'où vient-elle, pas des humains trop bas pour atteindre ce degré de pureté, ça vient d'ailleurs, une grâce qui tombe au bon moment, autrement pourquoi ne pas se laisser tomber dans la fange de l'humiliation et de l'irrespect, passons au salon, nous y serons mieux pour discuter et peut-être voudrez-vous enlever vos vêtements, j'espère que vous comprenez que la rencontre d'une femme et d'un homme en privé mène à la recherche de l'intimité
Youth is beautiful, it promises happiness mixed with boredom, but it's still light, the abyss are for later, time accelerates, the force fighting the joy that remains there yesterday a fire has ravaged everything, it only remains for me the smoke to see through those who have disappeared, I think I see a German who shoots my grandfather, another, but this passes in a whirlwind, I'm caught in the glu today, times that I did not answer the phone experience emotional, but not within my feelings that will carry me until I die, every day I'll meet with shadows and surprises , people, time lost, the marshmallow, blood flowing, water bottle, the heightened awareness that is lost in the recesses of the flesh, every day is a springboard of bitterness, we must fight until tonight to realize that the struggle was futile, everything looks like all hope is defeated, wait for it to come and why did not immediately understand that now is now talking about it, see c 's see, then you can laugh because the real feeling is light, modernity to understand the deep commitment that could correspond to an objective reality, it becomes subjective, but objective is born
la jeunesse est belle, elle promet le bonheur mélangé à l'ennui, mais ça reste léger, les abysses sont pour plus tard, le temps s'accélère, la force combat l'allégresse, que reste-t-il d'hier, un incendie a tout ravagé, il ne me reste que la fumée pour apercevoir au travers ceux qui ont disparu, je crois voir un allemand qui tire sur mon grand-père, un autre, mais le présent passe en trombe, je suis pris dans la glu d'aujourd'hui, les époques que je n'ai pas vécu répondent au téléphone affectif, mais n'entrent pas dans mes sensations qui vont me porter jusqu'à ma mort, tous les jours je vais rencontrer des ombres, des surprises, des gens, du temps perdu, de la guimauve, du sang qui coule, de l'eau en bouteille, de la conscience aiguisée qui se perd dans les creux de la chair, chaque jour est un tremplin d'amertume, il faut lutter jusqu'au soir pour s'apercevoir que la lutte était vaine, tout ressemble à tout, l'espoir est vaincu, attendre que ça vienne et pourquoi ne pas comprendre immédiatement que maintenant c'est maintenant, parler c'est parler, voir c'est voir, ensuite on peut rire car le vrai sentiment est léger, la modernité à compris que l'engagement profond ne pouvait correspondre à une réalité objective, on devient subjectif, mais on nait objectif
the truth kills me, the whole body is fake, he promises the impossible, do without moving to breathe and live forever, but everything moves, the smallest cell is locked, so that everything else is moving at full speed to answer the phone, yes, that's an emergency, what happens, he wants to urinate, soon, everyone in action, we must support the effort, bring the liquid to the right place , support the nerves so they do not come at the wrong time, but the feeling is too strong, I can match the sublime ideal which traverses the ancient dream of humanity, I am an individual not stuck by the police, it is a convenient location, the letterhead of the body, attitudes do not exceed the average, everything is fine for now, no crisis with the wrong crowd, that people like it is, no one speaks touch sensitive areas is the story of an ugly woman who wanted to love, but every time she met with ugly men who thought she was ugly, relations coup frustrated, not far from animals, no speeches, no fun to go to the cinema, that of the bestial one another in five minutes, hello to the next, while the woman is beautiful, but she says she is ugly, how find she is pleased to see he can she can never find the beauty, it is up to an event, meet a handsome man who is beautiful
la vérité me tue, tout le corps est faux, il promet l'impossible, être sans bouger ne plus respirer et vivre éternellement, mais tout bouge, la plus petite cellule se ferme à clé, pour que tout le reste se déplace à toute allure pour répondre au téléphone, oui, c'est pour une urgence, qu'est ce qui se passe, il a envie d'uriner, vite, tout le monde en action, il faut soutenir l'effort, amener le liquide au bon endroit, soutenez les nerfs pour qu'ils ne tombent pas au mauvais moment, mais la sensation est trop forte, je ne peux correspondre à l'idéal sublime qui parcourt le rêve ancestrale de l'humanité, je ne suis qu'un individu pas encore fiché par la police, c'est une situation convenable, la tête correspond au corps, les attitudes ne dépassent pas la moyenne, tout va bien pour le moment, pas de crise de mauvaises fréquentations, que des gens comme il faut, on parle sans se toucher les endroits délicats, c'est l'histoire d'une femme moche qui avait envie d'aimer, mais tout le temps elle rencontrait des hommes moches qui pensaient qu'elle était moche, du coup des relations frustres, pas loin des bêtes, peu de discours, pas de plaisir à aller au cinéma, que du bestial l'un sur l'autre en cinq minutes, salut à la prochaine, alors que cette femme est belle, mais elle dit qu'elle est moche, comment retrouvera-t-elle le plaisir de se voir, il se peut qu'elle ne puisse jamais retrouver la beauté, cela ne tient qu'à un évènement, la rencontre d'un homme beau qui la trouve belle
lovely location which passes the bucket, Roman emperor known the name of the dead with a shovel, it's autumn, fallen leaves cover the graves, more desire, but the joy remains in dance leaves, the sun shines, the bastard, four billion years behind him and as before, I was not there the day of his birth, and I will not be there the day of his death is preferable to beginning the earth was not habitable at the end of the earth, it will not be habitable, humans are just in the form of sandwich they serve sausage between two slaps interstellar, we are nothing compared to tremor of land, tropical storms, tsunamis, but the man goes on tiptoe to see over the mountain, he sees nothing, he digs a tunnel under the mountain passes like a mouse in the sink cheese, the human is animal and with animals it shares many behavioral crushing weaker, struggle to choose the strongest, but when it's time to love, the human will to oppose his provided he does battle more assert its authority, he gives what he holds most dear, he gave a moment, but how to give him credit, he is solvent, he runs too fast to be believed, still seeking his interest when he found that bad weather happens
belle situation qui passe l'arme à gauche, empereur romain dont on sait le nom, des morts à la pelle, c'est l'automne, les feuilles mortes recouvrent les tombes, plus d'envie, mais la joie demeure, dansons dans les feuilles, le soleil brille, le salaud, quatre milliards d'années derrière lui et autant devant, j'étais pas là le jour de sa naissance, et je ne serai pas là le jour de sa mort, c'est préférable, au début la terre n'était pas habitable, à la fin de la terre, elle ne sera pas habitable, les humains ne sont là qu'en forme de sandwich, ils servent de saucisse entre deux claques intersidérales, nous ne sommes rien comparé aux tremblements de terre, aux tempêtes tropicales, aux tsunamis, mais l'humain monte sur la pointe des pieds pour voir au dessus de la montagne, il ne voit rien, il creuse un tunnel et passe sous la montagne comme une souris s'enfonce dans du fromage, l'humain est bestial et avec les bêtes il partage nombre de comportements, écrasement des plus faibles, lutte pour choisir le plus fort, mais quand c'est le moment d'aimer, l'humain va à l'opposer de sa condition, il ne bataille plus asseoir son autorité, il donne ce qu'il a de plus cher, il renonce un instant, mais comment lui accorder le crédit, est-il solvable, il court trop vite pour le croire, toujours cherchant son intérêt, quand il le trouve c'est le mauvais temps qui arrive
insurance to earn a living, but I'm not one to agree to sell my soul to the highest bidder who is not because I am not top billing, yet it does not bother me but I meaning that it will not last too long, it is my body gently hand according to my expectations disrupted, but this is not serious compared to closed doors and simple denunciations particular, a cup of tea will do the case, but I hesitate to take a sugar, taste like the real things, the unique vision of reality, when everything loose, a chair is enough to make the smile, sit and say nothing, take up after the loss, understand the meaning of the innate paid when leaving the room under the sun of satan, to peak their deeper meaning, not overflowing with envy as milk, just a look that betrays my thoughts but I was not there for me languish, I am what I am, too bad if I seem stupid, I go inside, whistling, no sign outside, hidden life of fear to take an unjustified reason, I know I am against all reason, my life is unique, I walk on my feet, I see with my feet, I write with my ears, each key corresponds to a letter, according to the order in which you type these buttons, you can make sense of first, or bottom drawers of secret
assurance de gagner de quoi vivre, mais je ne suis pas du genre à accepter de vendre mon âme au plus offrant qui n'existe pas puisque je ne suis pas en haut de l'affiche, pour le moment ça ne me dérange pas mais je sens que ça ne va pas durer trop longtemps, il se trouve que mon corps part en douceur en fonction de mes attentes perturbées, mais ce n'est pas grave comparé aux portes fermées et aux simples dénonciations particulière, une tasse de thé fera l'affaire, mais j'hésite à prendre un sucre, j'aime le goût vrai des choses, l'irremplaçable vision du réel, quand tout lâche, une chaise suffit à rendre le sourire, s'asseoir pour ne rien dire, assumer jusqu'au bout de la perte, comprendre le sens de l'inné quand l'acquitté quitte la salle sous le soleil de satan, aux heures creuses leur sens profond, pas d'envie qui déborde comme le lait, juste un regard qui trahit ma pensées, mais je n'étais pas là à me morfondre, je suis ce que je suis, tant pis si je parais stupide, je passe en sifflant intérieurement, pas de signe extérieur, vie cachée de peur de prendre une raison injustifiée, je sais que j'ai raison contre tous, ma vie est un exemple unique, je marche sur mes pieds, je vois avec mes pieds, j'écris avec mes oreilles, chaque touche correspond à une lettre, en fonction de l'ordre dans lequel on tape sur ces touches, on peut faire du sens premier, ou bien des tiroirs à fond secret
mercredi 28 octobre 2009
time is right, as they say it is worth it, the calf is good, but the pig is pleasant to live without worry, without slowing down due, but accept it for fun, nothing beats d ' be serious, top, bottom, everything is the same, we laugh, we spent the morning, and immediately on again, it annoys me to exchange banalities, life passes too quickly, I focus on the following problem, following along, following the first, second sing it wrong, but the third was 15 years, the time held the blood red carpet for girls, that's how life has done boys and girls, the boy changed voice, the girl changed sheets, since humans live on earth, it has never changed, they invented the freewheel without engine, or heart transplant, the bodies are straight from the million years, they look ahead, but piss down, then they like and must lie to advance to the next phase, a baby who is getting up at night, lying, standing, this is not a life, much the board is pleased that both the couple will grow immune to the children, we'll see when they grow up, we can have lunch with the family every other Sunday, and nobody I speak of the grandchildren should be kept while the parents go to the movies, I go to the movies and I'm not old's babysitter
le temps vient bien, comme on dit on le vaut bien, le veau c'est bon, mais le cochon c'est agréable, vivre sans se soucier, ralentir sans raison, accepter mais c'est pour rire, rien ne vaut d'être sérieux, en haut, en bas, tout est pareil, on rigole, on se passe le bonjour, et tout de suite en revoir, ça m'ennuie d'échanger des banalités, la vie passe trop vite, je me concentre sur le problème suivant, suivant en suivant, suivant la première, à la deuxième ça chante faux, mais à la troisième on a 15 ans, le temps déroule le tapis rouge sang pour les filles, c'est comme ça, la vie a fait des garçons et des filles, le garçon change de voix, la fille change de draps, depuis que les humains vivent sur terre, ça na jamais changé, qu'on invente la roue libre sans moteur, ou la greffe cardiaque, les corps sont droits depuis des millions d'années, ils regardent devant eux, mais pissent vers le bas, ensuite ils se plaisent et doivent se coucher pour passer à la phase suivante, un bébé qui fait se lever la nuit, couché, debout, ce n'est pas une vie, vivement la pension qu'on soit heureux tous les deux, le couple doit pouvoir s'épanouir à l'abri des enfants, on verra quand ils seront grands, on pourra déjeuner en famille un dimanche sur deux, et qu'on ne me parle pas des petits-enfants qu'il faudrait garder pendant que les parents vont au cinéma, je vais au cinéma et je ne serai pas le vieux qui garde les enfants
it was irresponsible but this misfortune could be reduced to think that doubt is possible, anything is possible, animals free hand, innocent people papal blessing, everything goes wrong and everyone knows, is the envy upside down, life is death, nothing goes through everything, just do not, can not help but want everything, always insatiable in pleasure in the extreme, but it does not rise as high as expected must wait until the pressure come down a bit so that the body can swell with importance, a tiny body facing the sky, but the blue does not mean, that's trickery, the lie of the human being, he speaks wrong and wrong and woe to those who listen, he goes mad and will kill to find blood in the eternal law of life and death, there is nothing before, we must build on the sand, but the sea carries away the desire to spend time in the wave, time rushes, it fell suddenly like a sudden storm, lightning pierce the darkness, until we see above, it lasts one second and then the night returns, dripping crashing to the ground, they end their lives in the gutter after a wild swoop, the fate of the cloud goes up into the wet, as the eyes of the living when it takes the deceased in his last home, a boat that pushes for eternity
il était de ce malheur irresponsable mais ne pouvait se réduire à penser que le doute est permis, tout est possible, aux animaux les mains libres, aux gens innocents la bénédiction papale, tout va mal et tout le monde le sait, l'envie est à l'envers, la vie est à la mort, rien passe par tout, ne vient ni, n'y peut rien mais veut tout, toujours insatiable dans le plaisir poussé à l'extrême, mais ça ne monte pas aussi haut que prévu, il faut attendre que la pression atmosphérique descende un peu pour que le corps puisse se gonfler d'importance, un corps minuscule face au ciel, mais le bleu ne parle pas, voilà la supercherie, le mensonge de l'être humain, il parle à tort et à travers et malheur à celui qui l'écoute, il devient fou et va tuer pour retrouver dans le sang la loi éternelle de la vie et de la mort, plus rien n'existe d'avant, il faut construire sur du sable, mais la mer emporte au loin le désir de passer un moment dans le vague, le temps se précipite, ça tombe d'un coup comme un orage soudain, les éclairs trouent l'obscurité, on voit jusqu'en haut, ça dure une seconde puis la nuit revient, les gouttent s'écrasent sur le sol, elles finissent leur vie dans le caniveau après une folle descente en piqué, le destin passe du nuage en haut vers le sol mouillé, comme le regard des vivants quand on emmène le mort dans sa dernière demeure, une barque qu'il pousse pour l'éternité
mardi 27 octobre 2009
is the new, after eight, after seven, the egg is placed in the center, he expects that the bursts, we must eat, nothing can resist the appetite, the nine, the eight, seven , know everything, every being, leaving nothing to pieces, assemble the first elements, one, two, three, then take the 4, 5, 6, they are just wonderfully ordained, 7, 8, 9, l 'perfect order with a single digit by 10, then it turns into madness of everyday life, you stop believing in the redemptive trinity, the belief goes, the organic takes over, everything is explained, the unfathomable emerges at the surface, the abyss are mapped, it restores sight to the blind, that means the sight is useless to see the truth, it does not hide but does not see it, it must open its heart, It arrives as if we had always known, it is nothing that, having waited so long to understand what is happening and it just now come to understand that strong typing means that, You really have to look far to be so close, it is only an impression, am I not hit by a delirium post office of my youth, I was not wanted, I could not see the seduction as a means of action, I could not see who wanted to seduce me, I was transparent until I got married,
c'est le neuf, après le huit, après le sept, l'œuf se place au centre, il attend qu'on le crève, on doit manger, rien ne résiste à l'appétit, le neuf, le huit, le sept, tout savoir, tout être, ne rien laisser en miettes, rassembler les premiers éléments, les un, deux, trois, ensuite prenez les 4, 5, 6, ils sont là merveilleusement ordonnés, le 7, le 8, le 9, l'ordre parfait avec un seul chiffre avant le 10, là on bascule dans la folie du quotidien, on arrête de croire à la trinité rédemptrice, la croyance s'éteint, l'organique prend le dessus, tout s'explique, l'insondable émerge à la surface, les abysses sont cartographiées, on rend la vue aux aveugles, ça veut dire que la vue ne sert à rien pour voir la vérité, elle ne se cache pas mais on ne la voit pas, il faut ouvrir son cœur, elle arrive comme si on la connaissait depuis toujours, c'est elle, rien qu'elle, avoir attendu si longtemps pour comprendre ce qui se passe et il suffit qu'elle vienne aujourd'hui pour comprendre que taper fort ça s'entend, faut vraiment aller loin pour être aussi près, ce n'est qu'une impression, ne suis-je pas atteint par un délire poste restante de ma jeunesse, j'étais sans envie, je ne voyais pas la séduction comme un moyen d'action, je ne voyais pas qui voulait me séduire, j'étais transparent jusqu'au jour où je me suis marié,
current flows as long as his legs to take its course, always in flight to avoid stagnant water problems, the eye comes and goes, you have not, you have not, I still marble, preferring to spend without risking fall on a bone, we did not know before, it is known afterwards, but it is too late to erase the machine is engaged, he must continue what was started, but it goes where I had not expected It should not start, yes, but if I had known, I would not come, not far, but then where is the boundary line should not exceed one line but I am objectively subjective The doubt within me, may I please, that's the chink in the armor, please and we fall, we must not ask anything, no questions, answers, I am not available to the Wandering pseudo sentimental, history of body heat at best, not worth digging, it's only earth, no seams in speed, constantly annoying hesitation unfortunate if I were in the margin of frenzied action, a leap into the unknown, but known I know, I stay where I am, but what can she think, wrong direction, I landed smoothly, I know who I am, where I am and I'm not the only,
le courant passe à condition de prendre ses jambes à son courant, toujours en fuite pour éviter de stagner en eaux troubles, le regard passe et repasse, tu viens, non, tu viens, non, je reste de marbre, préférant passer sans risquer de tomber sur un os, on ne le sait pas avant, on le connaît après, mais il est trop tard pour effacer, la machine est engagée, il faut continuer ce qui est commencé, mais ça va où, je ne l'avais pas prévu, il ne fallait pas commencer, oui, mais si j'avais su, j'aurais pas venu, pas jusque là, mais alors où est la limite, la ligne qu'il ne faut pas dépasser, une ligne objective mais je suis subjectif, le doute m'habite, puis-je plaire, voilà le défaut de la cuirasse, plaire et c'est la chute, il faut ne rien se demander, pas de question, que des réponses, je ne suis pas disponible à l'errance pseudo sentimentale, une histoire de corps en chaleur tout au plus, pas la peine de creuser, il n'y a que de la terre, pas de filons en vitesse, une permanence embêtante d'hésitation malencontreuse, si j'étais à la marge d'une action délirante, un saut dans l'inconnu, mais le connu je le connais, je reste là où je suis, mais que peut-elle penser, mauvaise direction, j'atterris en douceur, je sais qui je suis, où je suis et je ne la suis pas,
From wondering where to go back to find the wherewithal to continue to remain motionless until the later becomes blocked free access right and duty, an unacceptable situation in the longitudinal direction, but possible from the moment the About ventures to build an island around the sea, then harder still to do to know the number of points accumulated in ten years, the cold shower, nothing to gain, everything to lose, not just begun regrettable, it is useless, you will do better next time, go in ten years, the first day I envy, but the second night everything goes into the account that is incidental solves only half is what I lean to the right or left, which is better now, but tomorrow, after the night can make their way to school without rounding the ends of months, everything is new I do not like me, I hardly remember the idea that I had yesterday, but in fact, celebrates today, do what you want, laugh with a good heart, open the folder, Be happy in the moment, do not reflect the erroneous satisfaction, life goes upright, every moment counts, so I'm here now, I am well, later I'll be elsewhere and I will try to continue to be good can it do for years, it depends on external circumstances internalized if one exceeds the other it gets stuck
partir en se demandant où aller, revenir pour chercher de quoi continuer à rester immobile en attendant que le côté bloqué se transforme en accès libre de droit et de devoir, une situation inacceptable dans le sens de la longueur mais envisageable dès l'instant où le sujet se permet de construire une île autour de la mer, ensuite le plus dur reste à faire pour connaître le nombre de points accumulés en dix ans, c'est la douche froide, rien de gagner, tout de perdu, pas la peine de commencer à regretter, ça ne sert à rien, vous ferez mieux la prochaine fois, rendez-vous dans dix ans, le premier jour j'ai de l'envie, mais le deuxième soir tout s'en va dans la considération accessoire qui ne se résout qu'à moitié, est ce que je penche à droite ou à gauche, où est le mieux maintenant, mais demain, après la nuit qui permet de de prendre le chemin de l'école sans arrondir les fins de mois, tout est nouveau, je ne me ressemble pas, je me souviens à peine de l'idée que j'avais hier, mais au fait, c'est fête aujourd'hui, faites ce que bon vous semble, riez de bon cœur, ouvrez la chemise, soyez heureux dans l'instant présent, il ne faut pas réfléchir à la satisfaction erronée, la vie passe en droiture, chaque instant compte, si je suis là maintenant, je suis bien, plus tard je serai ailleurs, et j'essayerai de continuer à être bien, peut-on le faire des années, ça dépend des circonstances extérieures intériorisées, si l'un dépasse l'autre ça coince
lundi 26 octobre 2009
happiness there, I met him one evening when I walked in the ways of spring rattle, suddenly he was there before me, where is it, what do you, I am in agreement I understood, and it goes away leaving me reassured that he had not had to measure myself with him, anyway I do not pretend to be in the position to show my strength, I will show how my joke York ham or high battery is my maximum, the humor of life, that's good, for example, I was still sitting there when I needed to get up, but after careful reflection I stayed idle, preferring to enjoy this moment of intense satisfaction, I was finally able to resist the terrible doubt which takes me by the throat when I try to be myself, to get rid of annoying, little gentlemen , large ladies who do not think less, but fortunately, life is unlikely for meeting me and writing, two people who disagree about everything but nothing serious words inevitably started to fall, nothing remains suspended from my lips, I do not use any subterfuge, the truth froze my fingers so to speak, I scream without wolves, it's too dangerous, but in the end it's funny, I'm not tragedian Yet I gladly put down roots with a bottle of wine, his eyes riveted on the level, it is enough to finish my cheese, it's mind, instead of trying what to say
le bonheur existe, je l'ai rencontré un soir que je me promenais dans les chemins du ressort à sonnettes, tout à coup il est là devant moi, d'où vient-il, que veux-tu, je suis, d'accord, j'ai compris, et il s'en va me laissant rassuré de n'avoir pas eu à me mesurer à lui, de toute façon je ne prétends jamais être dans la position de démontrer ma force, je veux bien montrer ma farce façon jambon d'York ou élevé en batterie, c'est mon maximum, la drôlerie de la vie, ça c'est bien, par exemple, j'étais encore assis quand j'ai eu besoin de me lever, mais après mûre réflexion je suis resté sans rien faire, préférant goûter ce moment d'intense satisfaction, j'étais enfin capable de résister au doute affreux qui me prend à la gorge quand je tente d'être moi-même, pouvoir se libérer des fâcheux, des petits messieurs, des grosses dames, qui n'en pensent pas moins, mais heureusement, la vie est faite pour des rencontre improbables, moi et l'écriture, deux personnes que tout oppose, mais rien de sérieux, des mots lancés qui retombent fatalement, rien ne reste suspendu à mes lèvres, je n'utilise aucun subterfuge, la vérité me glace les doigts façon de parler, je hurle sans les loups, c'est trop dangereux, mais à la fin c'est comique, je ne suis pas tragédien, pourtant je m'enracine volontiers avec une bouteille de vin, l'œil rivé sur le niveau, il en reste assez pour finir mon fromage, ça m'occupe, au lieu de chercher quoi dire
irony of fate, he runs to fall into a hole, but how otherwise slow to finish moving, but back ahead anyway, but in another sense, the first breath, two, caca, in three, fight, the rest of the warrior, galloping administration, the ongoing concerns, the desire taking off, nothing can resist the pressure, everything crashed, everything was quiet, everything was very glad to participate in this experience but c It is now time to go because tomorrow we expect a happy event, yes, it happens after ten years in prison for raping a minor, a child is born and you do not know if we should invite his father, or his executioner, or our son, I can not go to the back and forth between childhood and happy this monster, you are responsible for not having understood the essence of suffering, we spend so much time in the superficial, anecdotal, understandable to the everyday, we would not have anticipated that we raised a monster capable of destroying hopes nice, he slaughtered all the way on their way, but since he left prison, one passes of Sunday together to talk about the past, no future, this fleeing to solitude
ironie du destin, il court pour tomber dans un trou, mais comment faire autrement, ralentir pour finir immobile, reculer mais on avance quand même, mais dans l'autre sens, le premier, respire, en deux, caca, en trois, la bagarre, le repos du guerrier, l'administration galopante, le soucis permanent, l'envie qui décolle, rien ne résiste à la pression atmosphérique, tout s'écrase, tout se tait, tout était bien content de participer à cette expérience mais c'est maintenant l'heure de partir car demain on attend un heureux évènement, oui, il arrive après dix ans de prison pour viol sur mineure, un enfant est né et on ne sait pas si on doit l'inviter avec son père, ou son bourreau, ou notre fils, je n'en peux plus de faire des allers retours entre l'enfance heureuse et le présent monstrueux, on est responsable de ne pas avoir compris l'essentiel de la souffrance, on passe tellement de temps dans le superficiel, l'anecdotique, le compréhensible au quotidien, on aurait pas pu anticiper que nous élevions un monstre capable de détruire des espérances gentilles, il a tout massacré en passant sur leur chemin, mais depuis qu'il est sorti de prison, on passe des dimanche ensemble à parler du passé, pas de futur, le présent en fuite vers la solitude
add the necessary, otherwise it does not work, it's still in the damp shade of the utility, a wave spring forgotten in a corner which allowed for taking the time to short sight, long sight is a boundless vision certified concrete, the dream is over, we fly up to do more to realize that the sky can open up, be there and think that it is no more or months without fear and without bawling, no pocket emptying repeated comic, it's machine gun spread over a lifetime, always the same words that are changing the same water, after a while it stinks the mud frogs, beasts that we are not to yell not throw up until I realized that the entrance is left of the main course, I was sure, while on the lam, and I still like my twenties, I'm stuck in a dead idea day threw me out of paradise, but that does not count for retirement, we will work until natural death, suicide is not for me, this will to God by the parties and the 'hanging on the peak clog, I respect the original plan, birth, life, capacity capable guilty sand dust end
ajouter l'indispensable, autrement ça ne fonctionne pas, ça reste dans l'ombre humide de l'utilité, un vague ressort oublié dans un coin qui permettait de prendre le temps à courte vue, la longue vue c'est une vision sans borne certifiée concrète, le rêve prend le dessus, on vole jusqu'à ne plus se rendre compte que le ciel peut s'ouvrir, être là et penser que c'est bien, sans plus ni mois, sans peur et sans braillard, sans poche à vider à répétition comique, c'est de la mitraillette étalée sur une vie, toujours les mêmes mots qui reviennent pour changer la même eau, au bout d'un moment ça pue la vase à crapauds, bêtes que nous sommes à gueuler pour ne pas dégueuler avant de comprendre que l'entrée est à gauche du plat principal, j'en étais sûr, tout fout le camps, et moi je reste comme si j'avais vingt ans, je suis bloqué dans l'idée morte d'un jour qui m'a jeté hors du paradis terrestre, mais cela ne compte pas pour la retraite, on va travailler jusqu'à la mort naturelle, le suicide c'est pas pour moi, cette volonté de prendre dieu par les parties et de l'accrocher à un pic de boucher, moi je respecte le plan initial, naissance, vie, capacité capable coupable sable poussière fin
snakebite to forget the taste of the apple Adam misplaced amid the certainty of being, sometimes I think that I am able to move while the earth rotates around an axis fixed in space is like that since I was born for the earth is like that since she came out of nothing, not a belly, or else is a mother who started this big ball in the middle of the pond, I'm tired "said Adam when he looks without being able to trap other than closing my eyes, a rib, just a side by climbing up curtains lace pink or blue nine months in a lifetime is not much, but it's boring long, be careful, dream growing up to fate, instead of thinking of nothing but the passage of time not so bad since I find myself the mirror, an image that clearly understands what I am, no trouble sleeping in bed, just an idea as old as the world, I'm totally waiting for the two, with time it is transformed into gods, but the body does not want, not the spiritual food, blood, muscle, mournful snickering, the portly drooling their happiness bugger flies, no light on earth, are stuck in the lower abdomen pride soldier before retirement, the viagra after it to keep the horizontal inflated with helium, the return of the balloon at the corner bar, a hill to climb, the last, then the rest is eternal
morsure de serpent pour oublier le goût de la pomme d'Adam mal placée au milieu de la certitude d'être, parfois ça m'arrive de penser que je suis capable d'avancer alors que la terre tourne autour d'un axe fixé dans l'espace, c'est comme ça depuis que je suis né, pour la terre c'est comme ça depuis qu'elle est sortie de rien, pas d'un ventre, ou alors c'est une mère qui a lancé ce gros ballon au milieu de la mare, j'en ai marre dit Adam quand il se regarde sans pouvoir se coincer autrement qu'en fermant les yeux, une côte, rien qu'une côte à grimper jusqu'aux rideaux de dentelles roses ou bleues, neuf mois dans une vie c'est peu, mais c'est emmerdant longtemps, il faut faire attention, rêver au destin qui grandit, au lieu de ne penser à rien qu'au temps qui passe pas si mal depuis que je me vois dans le miroir, une image nette qui comprend ce que je suis, pas d'histoire à dormir couché, juste une idée vieille comme le monde, je suis un totalement dans l'attente du deux, avec le temps ça se transforme en dieux, mais le corps n'en veut pas, de la nourriture pas spirituelle, du sang, du muscle, des ricanements lugubres, des ventripotents bavant leur bonheur d'enculer les mouches, rien de léger sur la terre, on colle dans le bas ventre une fierté de soldat avant la retraite, après c'est le viagra pour garder l'horizontalité gonflée à l'hélium, c'est le retour du ballon dirigeable au bar du coin, une côte à grimper, la dernière, ensuite c'est le repos éternel
dimanche 25 octobre 2009
Abuse a liter of amniotic fluid is offensive to say what I think when I am one years, one month, one day, an hour just to get me to the bottom of my wandering in solitude in France The country would have witnessed the birth if I had accepted, I could speak French but my schedule does not allow me to make mistakes in casting, of course, the extras will receive a piece of cake, l story begins with the first day, he was one occasion only, I have no sister, he was a child, then by the merest chance that passed by without wanting to win to force the assembly to appoint the son of the father is a scandal, I wanted to throw my sandal with these salads rotten bananas that launches all the unemployed who have no chair or ejection, it can not mount the air is too heavy it crashed into the indifference of the language of wood, real wood not imitation of his father, and again, the comedy of the year, two more years to bend in two, it makes me my stomach muscles, tablets shaped ingot, the rich sleep in peace, Jesus will not wake them when it will soon leave for the promised land, the first will be the last quo vadis, deum, in patria, yes we can, well played, black power, white dirty laundry washed in the election, public money, bribery drilled for that file it in Switzerland, the world's beauty, joy
abus un litre de liquide amniotique, c'est un abus de pouvoir dire ce que je pense au moment où je suis, une année, un mois, un jour, une heure qui vient me chercher au fond de ma solitude en errance dans la France, le pays qui m'aurait vu naître si je l'avais accepté, j'aurais pu parler français mais mon emploi du temps ne me permet pas de commettre d'erreur de casting, bien entendu les figurants recevront une part de gâteau, l'histoire commence par le premier jour, il était une fois et une seule, je n'ai pas de jumeau, il était enfant, puis par le plus grand des hasards qui passaient par là sans vouloir s'imposer pour contraindre l'assemblée à désigner le fils du père, c'est un scandale, j'ai envie de jeter ma sandale avec ces salades de bananes pourries qu'on lance à tous les chômeurs qui n'ont pas de fauteuil en or éjectable, il peut pas monter en l'air, il est trop lourd, il s'écrase dans l'indifférence de la langue de bois, du vrai bois pas de l'imitation de son père, et une de plus, le comique de l'année, encore deux ans à se plier en deux, ça me fait muscler mon ventre, des tablettes en forme de lingot, que les riches dorment en paix, Jésus ne viendra pas les réveiller quand il faudra vite partir vers la terre promise, les premier seront les dernier, quo vadis, deum, in patria, yes we can, bien joué, black power, blanc sale, lavé dans la lessive électorale, argent public, pots de vin percé pour que ça file en suisse, beauté du monde, joie
abus un litre de liquide amniotique, c'est un abus de pouvoir dire ce que je pense au moment où je suis, une année, un mois, un jour, une heure qui vient me chercher au fond de ma solitude en errance dans la France, le pays qui m'aurait vu naître si je l'avais accepté, j'aurais pu parler français mais mon emploi du temps ne me permet pas de commettre d'erreur de casting, bien entendu les figurants recevront une part de gâteau, l'histoire commence par le premier jour, il était une fois et une seule, je n'ai pas de jumeau, il était enfant, puis par le plus grand des hasards qui passaient par là sans vouloir s'imposer pour contraindre l'assemblée à désigner le fils du père, c'est un scandale, j'ai envie de jeter ma sandale avec ces salades de bananes pourries qu'on lance à tous les chômeurs qui n'ont pas de fauteuil en or éjectable, il peut pas monter en l'air, il est trop lourd, il s'écrase dans l'indifférence de la langue de bois, du vrai bois pas de l'imitation de son père, et une de plus, le comique de l'année, encore deux ans à se plier en deux, ça me fait muscler mon ventre, des tablettes en forme de lingot, que les riches dorment en paix, Jésus ne viendra pas les réveiller quand il faudra vite partir vers la terre promise, les premier seront les dernier, quo vadis, deum, in patria, yes we can, bien joué, black power, blanc sale, lavé dans la lessive électorale, argent public, pots de vin percé pour que ça file en suisse, beauté du monde, joie
patience measured to the centimeter, no accuracy to one hundred thousandth therefore unlikely chance encounter, an amicable settlement to avoid going into force in anger bad advisor but can be placed at the heart of the action to color a scene Life without flavor, taste your disgust at the entrenched camps of hate going on the attack, the more time to rescue the wounded, death lurks around the body to breathe the soul flies away, time is allowed rot, he did what he deserves, without him we can not finish and we did not start at the beginning, we did not and it leaves room to breathe freely, This tiny body that pushes us to have a place in the sun to warm his old bones, hateful retreat from Russia, the cold is the brain, limb paralysis, inability terminal widow remained at home, a suicide again, too much pressure but think that the unemployed with no pressure except that of their bankers, the unemployed commit suicide in despair at not finding work, but want to be bouncing when you sign the credit, money fresh smelling organized theft, more hope, the world is rotten, too, inside that pulls in the corners, the molecules disappear, my mind is slow to eat pasta every day, a sugar slow, how many days before the end I still hungry, there's even the poor who are fat
patience mesurée au centimètre près, aucune exactitude au cent millième, conséquence improbable, rencontre fortuite, règlement à l'amiable pour éviter de passer en force dans la colère mauvaise conseillère mais qui peut se placer au cœur de l'action pour colorer une scène de vie sans saveur, le goût passe au dégoût, le camps retranché de la haine passe à l'attaque, plus le temps de secourir les blessés, la mort rôde autour des corps pour respirer l'âme qui s'envole, au temps on laisse la pourriture, il n'a que ce qu'il mérite, sans lui on n'arrive pas à la fin et on ne commence pas au début, on n'existe pas et ça laisse de la place pour respirer à l'aise, ce corps minuscule qui nous bouscule pour avoir sa place au soleil pour chauffer ses vieux os, odieuse retraite de Russie, le froid prend le cerveau, paralysie des membres, incapacité terminale, veuve restée à la maison, un suicide de plus, trop de pression, mais que pensent les chômeurs qui n'ont pas de pression sauf celle de leur banquier, les chômeurs se suicident par désespoir de ne pas trouver de travail, mais l'envie d'être rebondit quand on signe le crédit, de l'argent frais qui sent bon le vol organisé, plus d'espoir, le monde est pourri et moi aussi, à l'intérieur ça tire dans les coins, les molécules disparaissent, mon esprit devient lent pour pouvoir manger des pâtes tous les jours, un sucre lent, combien de jours avant la fin, j'ai encore faim, y'a même des pauvres qui sont gros
rain shower thrown by the road in rolled oats sprinkled with no will to match the original plan, quickly led to safety for vital exams, the results are disastrous, no bridge between the understanding and enjoyment of the tear tissue emotional, loss of knowledge that requires first to know each other in complex, modern technology addressed to forget that the body is in despair to see in the mirror, I was at a time that I am now, my old skin is partly carried by the wind fall of ideas, nothing left of the easy irony, everything is manufactured in large quantities, professional knowledge, conduct after a meal well-watered juxtaposition of codes of honor and error rooted in the pursuit of human ideals, the arrival of love is delayed for a very long time, the child becomes an adult gathering legacy of indifference, is you my child It is time to hear that you're entitled to your destiny, you look across the days that threaten you until after you approach the limit of living like a frantic life, nothing after the interstellar void, more room for original sin, I sin I am, my flesh my door with my muscles in the direction I selected harmonic knowledge of probabilities for a concrete realization devoid of philanthropy that I leave that to the weak time to lose
pluie en averse renversée par la route en flocons d'avoine parsemés sans volonté pour correspondre au plan initial, rapidement conduit en lieu sûr pour passer les examens vitaux, le bilan est désastreux, aucun pont entre l'entente et le plaisir, de la déchirure des tissus affectifs, perte de la connaissance première qui impose de connaître l'autre dans sa complexité, modernité penchée sur la technique pour oublier que le corps est dans le désespoir de se voir dans le miroir, j'étais à une époque ce que je ne suis plus aujourd'hui, mon ancienne peau est partie emportée par le vent de l'automne des idées, plus rien de reste de l'ironie facile, tout est fabriqué en grande quantité, connaissance professionnelle, conduite après un repas bien arrosé, juxtaposition des codes d'honneur et de l'erreur enracinée dans la poursuite d'idéal humain, la venue de l'amour est retardée depuis très longtemps, l'enfant devient adulte en recueillant l'héritage d'indifférence, relève toi mon enfant, il est temps d'apprendre que tu es droit devant ton destin, tu regardes en face les jours qui te menacent, jusqu'au bout tu approches de la limite en vivant comme un forcené de la vie, rien après, le vide interstellaire, plus de place pour le péché originel, je pèche ce que je veux, ma chair me porte avec mes muscles dans la direction que je choisis en connaissance des probabilités harmoniques en vue d'une réalisation concrète dénuée de philanthropie que je laisse aux faibles qui ont du temps à perdre
scheduled arrival in the desert emotional birth control to be later in the genes of living, good fortune in the rough sense of the simple genuflection without excessive decoration, summarized in the shadow of the feeling of ecstasy, but where passed the fifth element, I see no one to fulfill this mission, I would have to wait longer to satisfy a desire foresee it, but I feel well enough to lead to the end, even if only to indicate the level Electric fuel, but enough chatter, let's start right away to speak with the mouth, nose trials were not conclusive, I insist not to lose weight, it hurts relationships day, still impede the process of personal integration by adding an immoderate taste for sugar lightened nothing worse to start taking a decision which is beyond us, are we willing to match the dominant model without the risk of losing difference between beings, each is different and it is unrealistic to conceive that either all the same back, front face makes learning more profound features carved by doubt, lack of belief, doubt up to the satisfaction immediate reaction rate, feelings truncated remains only the far side of love, indifference remains on the face
arrivée programmée en plein désert affectif, régulation des naissances en vue de se voir plus tard dans les gènes des vivants, heureux destin approximatif dans le sens de la génuflexion simple sans décor excessif, résumé dans la pénombre de la sensation d'extase, mais où est passé le cinquième élément, je ne vois personne pour remplir cette mission, aurais-je du attendre plus longtemps pour satisfaire une envie pressente, mais je me sens assez bien pour conduire jusqu'au bout, ne serait-ce que pour indiquer le niveau d'essence électrique, mais assez de bavardages, commençons tout de suite à parler avec la bouche, les essais avec le nez n'ont pas été concluant, j'insiste sur le fait de ne pas perdre de poids, ça nuit aux relations de la journée, toujours gêner le processus d'intégration personnelle en y ajoutant un goût immodéré pour le sucre allégé, rien de pire pour commencer à prendre une décision qui nous dépasse, somme nous prêt à correspondre au modèle dominant sans avoir le risque de perdre la différence entre les êtres, chacun est différent et il est utopique de concevoir qu'on soit tous identiques de dos, de face le visage rend l'étude plus profonde dans les traits creusés par le doute, manque de croyance, place incontestable à la satisfaction immédiate, vitesse de réaction, sentiments tronqués, ne reste que la partie la plus éloignée de l'amour, l'indifférence demeure sur le visage
vendredi 23 octobre 2009
it is history that has no beginning, before history, when the expectation is evacuated, attention starts, but nothing happens, which is responsible we want explanations, but God is absent for the day, he must choose one, which way to create, there is nothing, freedom is absolute, I look around me, some have barbed wire, others banknotes, and then pipe to evacuate if necessary, and me, what shall I take, like, plastic flowers, no watering, no maintenance and it pretty far, it the impression, the truth is not speaking without knowledge or to lie, nothing is said, everything is hidden in the depths of life, preserve, not touch, but how to understand the interests of living, cry if I want to kill the dead, that implacable truth is useless, they saw little by little in his corner, no dramatic momentum, it makes choucroute tonight, forget the sausages, outside it's dark, mean breathing patients, will they wake up tomorrow morning, sad Sunday at the approach of the cemetery are silent for more thinking to himself, alive I'm alive, hallelujah, time is sweet It's time to live, it's time for tea, I say to better listen to my heart beating, once again, a little help is nice
c'est l'histoire qui n'a pas de début, c'est avant l'histoire, le moment de l'attente, on fait le vide, attention, ça commence, mais rien ne se passe, où est le responsable, nous voulons des explications, mais Dieu est absent pour la journée, il faut choisir seul, quel chemin créer, il n'y a rien, la liberté est totale, je regarde autour de moi, certains ont mis des barbelés, d'autres des billets de banques, ou alors des tuyaux pour évacuer en cas de nécessité, et moi, que vais-je prendre, tiens, des fleurs en plastique, pas d'arrosage, pas d'entretien et de loin ça fait joli, c'est l'impression qui compte, la vérité n'existe pas, on parle sans savoir ou pour mentir, rien n'est dit, tout se cache au fond de l'existence, chasse gardée, pas toucher, mais comment comprendre l'intérêt de vivre, si je veux crier à mort les morts, voilà une vérité implacable qui ne sert à rien, on vit petit à petit dans son coin, pas d'élan dramatique, on fait de la choucroute ce soir, oublie pas les saucisses, dehors il fait nuit, on entend respirer les malades, vont-ils se réveiller demain matin, triste dimanche, à l'approche du cimetière on se tait pour mieux penser à soi, vivant, je suis vivant, alléluia, l'heure est douce, il est l'heure de vivre, c'est l'heure du thé, je me tais pour mieux écouter mon cœur qui bât, encore un coup, un petit coup c'est agréable
a little bitter rice, yellow rice, rice perched rice with tuna, I have long sought the wrong way and found the air passage, a dangerous place that requires a serious sense of timing, j 'was sure to be there, but I was kind enough to understand that the goal is not to put the ball above the fray, he must rub shoulders with others to understand that the sun is up at the other side of death row, I go, I'm not, I prefer to wait before knowing if it works in reverse, I reassure myself as I can, my means are limited to the size of my brain, although I try to correspond with the stars, but they never stop to shine while I talk to them and when I'm bored now the sun is disappearing from the sky, it turns blue, the birds sing I'm alive, happiness comes over me like water tumultuous devastates the ground floor of a house, I'm drowning in the mouth a thick mud makes me push the furniture to make sure I'm not crazy an hour passes, the sky is gray, it's raining and my attempt to count the drops of water fails on the beach, there's nobody I could change the scenario, but I must admit my mistake, everything is false on the surface, but fresh in the background, it is fair, just enough for a smooth transition, no violence, permission granted, attempted isolation without consequence, clearance to the side to release our comrades
un peu plus de riz amère, riz jaune, riz au perché, riz au thon, j'ai cherché longtemps le sens interdit et j'ai trouvé le passage aérien, un lieu dangereux qui nécessite un sérieux sens de l'a propos, j'étais sûr d'y être, mais on m'a gentiment fait comprendre que le but n'est pas de mettre le ballon au-dessus de la mêlée, il faut se frotter aux autres pour comprendre que la place au soleil est à l'autre bout du couloir de la mort, j'y vais, j'y vais pas, je préfère attendre avant de savoir si ça marche à l'envers, je me rassure comme je peux, mes moyens sont limités à la taille de mon cerveau, j'essaye bien de correspondre avec les étoiles, mais elles n'arrêtent pas de briller pendant que je veux leur parler et dès que je m'ennuie voilà que le soleil les fait disparaître du ciel, il devient bleu, les oiseaux chantent, je suis vivant, le bonheur m'envahit comme une eau tumultueuse dévaste le rez de chaussée d'une maison, je me noie, dans la bouche une boue pâteuse m'oblige à pousser les meubles pour vérifier que je ne suis pas fou, une heure passe, le ciel est gris, il pleut et ma tentative de compter les gouttes d'eau échoue sur la plage, il n'y a personne, j'aurais pu changer le scénario, mais je dois admettre mon erreur, tout est faux à la surface, mais c'est frais dans le fond, ça joue juste, juste assez pour passer en douceur, aucune violence, permission accordée, tentative isolée sans conséquence, dégagement sur le côté pour libérer nos camarades
it was time to realize that the lack reigned in the courtyard of despair, I was not aware that I could look like an idiot intelligent can understand the pain of knowing without taking any measure of sacrifice is to complete p, since the end does not pass through the medium in general, but it bewilders me as to pass through the envy, all was going well, I was slightly installed in temporary distress, suddenly I I begin to sing, how did I come from, can I get the first ride or must I accept to take the situation to where I left it fell like an old sock hole that is why I can not understand the meaning of my life, the tumult is magnificent, a great spectacle that I suck blood, I'll dry one day, as dry bread a kidney, while dry over time when it comes, wait for forty years, I am willing to wait another twenty years is my limit, then it will be too late, I'll play Russian roulette for well control the deadly game of life , is born to start the cycle fatal first second engaged in the process, activation of neurons, bodies in position reaction, saliva test, send the program, day one, day 9005, nothing to report, subject to a life time expectancy average self-realization, progressive loss of hair, shiny head with thinking
il était temps de s'apercevoir que le manque régnait dans la cour du désespoir, je n'étais pas au courant que je pouvais ressembler à un idiot intelligent capable de comprendre la douleur de savoir sans prendre toute la mesure du sacrifice complet de a à p, puisque la fin ne passe pas par la moyenne en générale, mais ceci me déroute au point de passer au travers de l'envie, tout allait pour le mieux, j'étais légèrement installé dans l'angoisse passagère, tout à coup je me mets à chanter, comment suis-je arrivé à partir, ne puis-je descendre à la première montée ou faut-il que j'accepte de prendre la situation à l'endroit où je l'ai laissé tombée comme une vieille chaussette trouée, voilà pourquoi je n'arrive pas à comprendre le sens de ma vie, le tumulte est magnifique, un spectacle grandiose qui me suce le sang, je serai sec un jour, aussi sec qu'un rognon de pain, tout sèche avec le temps, alors ça vient, j'attends depuis quarante ans, je veux bien patienter encore vingt ans, c'est ma limite, après il sera trop tard, je me mettrai à jouer à la roulette russe pour bien maîtriser le jeu mortel de la vie, on naît pour commencer le cycle fatal, première seconde engagée dans le processus, activation des neurones, organes en position réactionnelle, test de la salive, envoyer le programme, jour un, jour 9005, rien à signaler, sujet en vie pour un certain temps, espérance moyenne dans la réalisation de soi, perte progressive des cheveux, crâne brillant à force de penser
jeudi 22 octobre 2009
for now I'm alone and I love walking in Paris to cross hundreds of people, I imagine the lives of others, he is military and has four children, she is worm, but this I like the best is to suddenly share my vision with that of a woman, it lasts two seconds with a wonderful intensity, we could love, a life together, love crazy, but it only lasts two seconds, after an hour's walk, I experienced this about fifty times, that's how I saw my relationship with women, crossing their eyes, that is very economical, no dinner out, not empty talk, no privacy overflowing waiting complex, no health risk, and total respect for each other, I promised nothing, I do not deceive , no words of love, not treason, I love them all, a little bit, they are all accessible, no resistance, but rather a fun, surprise, his eyes fell by chance on my own, exchange short, it's over, they say the eyes are the windows of the soul, I think I surprised when in the eyes of a woman that little light that illuminates everything it offers, round breasts like apples or pears as long, curves that ascend and descend to give dizzy,
pour l'instant je suis seul et j'aime me promener dans Paris pour y croiser des centaines de gens, j'aime imaginer la vie des autres, lui il est militaire et il a quatre enfant, elle, elle est bouchère, mais ce qui me plaît le mieux c'est d'un seul coup d'échanger mon regard avec celui d'une femme, ça dure deux secondes d'une intensité merveilleuse, on aurait pu s'aimer, toute une vie ensemble, l'amour fou, mais ça ne dure que deux secondes, au bout d'une heure de marche, j'ai vécu cette situation environ cinquante fois, c'est comme ça que je vis ma relation avec les femmes, en croisant leur regard, c'est très économique, pas de sortie au restaurant, pas de bavardages inutiles, pas d'intimité débordante d'attente complexe, pas de risque sanitaire, et un respect total de l'autre, je ne lui promet rien, je ne la trompe pas, pas de mots d'amour, pas de trahison, je les aime toutes, un petit peu, elles sont toutes accessibles, pas de résistance, c'est plutôt un amusement, une surprise, son regard tombe par hasard sur le mien, échange bref, c'est fini, on dit que les yeux sont les fenêtres de l'âme, j'y crois quand je surprend dans le regard d'une femme cette petite lumière qui éclaire tout ce qu'elle offre, des seins ronds comme des pommes ou long comme des poires, des courbes qui montent et qui descendent à donner le tournis,
I am ready to take with you the rest of my life, one day we will live a great time until midnight, then I go because I need to recharge away from you, every day is a pain that I can solve without asking forgiveness from those I do not respect, I am in the drive to win to reach the lost paradise, the intimacy of a woman is an offering to the happiness of a sudden I saw a hundred at 'hours, it helped that I know his secret, it's wonderful, but time passes, the anxiety goes, I cracks at midnight, I am leaving no address, each time it's like I do can face the idea of waking up in the morning in the same bed with a woman that I won yesterday, I made a mistake once, I do not want to risk lying then a second time by promising to say hello, hello madam, I do not know and I do not want you to know I love you not, that's all I am this morning where he is lying, but I need to seduce, it shows me lots of things that I am able, as I please, I want, however apart from the end everything goes well, I always start a restaurant, the drive climbs a once when I dare to take her hand, our eyes meet in the coals, my whole passion burns in two hours she will be naked in all its splendor
je suis prêt à passer avec toi le reste de ma vie, un journée, on va vivre un grand moment jusqu'à minuit, ensuite je partirai car j'ai besoin de me ressourcer loin de toi, chaque jour est une souffrance que je ne peux résoudre sans demander pardon à celles que je ne respecte pas, je suis dans la pulsion de séduire pour accéder au paradis perdu, l'intimité d'une femme est une offrande au bonheur, d'un seul coup je vis à cent à l'heure, elle a permis que je connaisse son secret, c'est merveilleux, mais le temps passe, l'angoisse monte, à minuit je craque, je fuis sans laisser d'adresse, à chaque fois c'est pareil, je ne peux affronter l'idée de me réveiller le matin dans le même lit qu'une femme que j'ai séduit la veille, je l'ai trompée une fois, je ne veux pas ensuite risquer de mentir une deuxième fois en lui promettant de lui dire bonjour, bonjour madame, je ne vous connais pas et je n'ai pas envie de vous connaître, je ne vous aime pas, voilà tout ce que je fuis, ce matin où il faut mentir, mais j'ai besoin de séduire, ça me prouve des tas de choses, que je suis capable, que je plais, que j'ai envie, d'ailleurs mis à part la fin, tout se passe bien, je commence toujours par un restaurant, la pulsion grimpe d'un coup quand j'ose lui prendre la main, nos regards se croisent dans la braise, tout mon être brûle de passion, dans deux heures elle sera nue dans toute sa splendeur,
when will I finally consider myself enough to go over the bar for self-satisfaction, I am in the intermediate zone where the internal gas does not mix with the light, everything is in shadow, a hard time uncertain for an hour, I'd have more power, or simply wait for the progress of the hesitation unlikely falls toward the surprising speed of implementation, I take the piece was missing to complete my puzzle upside down, the dark side comes to light, he is blind but does not seem lost, it moves just as if all this was normal, what is extraordinary is the realization of itself without outside intervention, be inside can not smile continuously face the onslaught of missed opportunities and misunderstandings relational, that I laugh to see me in life everything comes and goes before my eyes, it's day is night, I'm here I stay , body tag in the storm, I noted my presence but can not prevent disaster, I'm not Noah with his bow and arrows of love, I lean more toward indifference is my balance
between the madness of others and my desire to please, I avoid the shock, I inflate the air bag to take off in ecstasy personal
between the madness of others and my desire to please, I avoid the shock, I inflate the air bag to take off in ecstasy personal
quand vais je enfin me considérer assez pour passer au-dessus de la barre d'auto-satisfaction, je suis dans la zone intermédiaire où les gaz internes ne se mélangent pas à la lumière, tout est dans la pénombre, un moment incertain qui dure depuis une heure, aurais-je du pouvoir plus, ou simplement attendre que le déroulement de l'hésitation improbable tombe du côté de la rapidité surprenante de concrétisation, j'emporte le morceau qui manquait, mon puzzle se complète à l'envers, le côté sombre vient à la lumière, il est aveuglé mais ne semble pas perdu, il avance simplement comme si tout ça était normal, ce qui est extraordinaire c'est la réalisation de soi sans intervention extérieure, être à l'intérieur capable de sourire sans interruption face au déferlement d'occasions ratées et d'incompréhensions relationnelles, que je ris de me voir dans la vie, tout vient et part devant mes yeux, il fait jour, c'est la nuit, j'y suis j'y reste, corps balise dans la tempête, je signale ma présence mais ne peut empêcher le désastre, je ne suis pas Noé avec son arc et ses flèches d'amour, je penche plutôt vers l'indifférence, c'est mon équilibre
entre les folie des autres et mon envie de plaire, j'évite le choc, je gonfle l'air-bag pour décoller dans l'extase personnelle,
entre les folie des autres et mon envie de plaire, j'évite le choc, je gonfle l'air-bag pour décoller dans l'extase personnelle,
it only took one day that I am finally happy with my day, nothing suits me better than to be what I am, nothing more nothing less, is the result of an experiment started a day ago, this morning I'm in the exact position of my ascending descending a way to live without worrying about the possible arrival of a considered accidental, not everything happens by chance, it is concrete point to exist, what is it else to see in the mirror, a body that does not look straight into his vision of human being, no need to convince all there in the daylight That day I was born today, like all the days ahead, many come to witness the resurrection of the flesh, a new skin to dress the desire to want to silence, continue as if nothing 'however, was available, a surprise is not that bad in a new light, the former turns shades of purple in the minds and brightest in the intimate, an explosion of flavors starry, as opposed to body odors that releases its poisons from top to bottom, it stinks, we sweat, should be washed every day, get the perfume, antiperspirant, but nothing that is wrong, a stressful day, the evening underground, it flows under the arm, an acid gel translator repressed anxieties,
il n'aura fallu qu'un jour pour que je sois enfin satisfait de ma journée, rien ne me convient mieux que d'être ce que je suis, rien de plus rien de moins, c'est le résultat d'une expérience qui a commencé il y a une journée, depuis ce matin je suis à l'exacte position de mon ascendant descendant, une façon de vivre sans se préoccuper de la venue éventuelle d'une considération accidentelle, tout n'arrive pas par hasard, il est concret au point d'exister, que faut-il d'autre pour se voir dans le miroir, un corps qui ne penche pas, droit dans sa vision d'être humain, pas besoin de se convaincre, tout est là dans la lumière du jour, ce jour qui m'a vu naître, aujourd'hui, comme tous les jours qui viennent, venez nombreux pour assister à la résurrection de la chair, une peau nouvelle pour habiller le désir, vouloir se tait, continuons comme si de rien n'était cependant accessible, une surprise pas méchante qui consiste dans un regard nouveau, l'ancien se colore de teintes mauves dans l'esprit et brillantes dans l'intime, une explosion de saveurs étoilées, à l'opposé des odeurs du corps qui dégage ses poisons de haut en bas, on pue, on sue, faut se laver tous les jours, se mettre du parfum, de l'anti-transpirant, mais rien n'y fait que de travers, une journée stressante, le soir dans le métro, ça coule sous les bras, un gel acide traducteur d'angoisses refoulées,
mardi 20 octobre 2009
understand where to sit, when to bounce back, waiting for rain, we learn from the beginning in small pieces, a kiss there, a slap here, but we must wait to be adults to start singing too loudly after have well drunk to forget that the chain is not broken and need to go through that one does not come, we will not grow enough, noise, glasses being broken, the flesh hanging, smiles fat toothless, it's festive relational, work is more lucrative, it is a difficult word to say, profitable, and not enumeration, which means nothing, it lists the fanatics, but it pays workers hourly rate, it means that those who do anything they are paid as those who do everything and sometimes even more than by executives, y'en a lot that hangs with paint in the middle, green it passes, but three glasses is in the red, light white wine I am not at night, it excites me too, and this time should not push me beyond my limits, it has too many suicide is not normal, I was not stressed at work, I begin to be, I can not stand being told what I should do, anyway I'm alone in my office and person comes to see me, I await the moment of departure, this moment is happiness, all those hours before me to do anything, free until tomorrow morning, we'll see
comprendre où s'asseoir, rebondir quand il faut, attendre la pluie, on apprend depuis le début par petits bouts, un bisou par là, une claque par ici, mais il faut attendre d'être adulte pour se mettre à chanter trop fort après avoir bien bu pour oublier que la chaîne n'est pas rompue et qu'il faut pour remonter une grâce qui ne vient pas, on y croît pas assez, du bruit, des verres qu'on casse, des chairs qui pendent, les sourires gras édentés, c'est du relationnel festif, au travail c'est plutôt rémunérateur, c'est un mot difficile à dire, rémunérateur, et non pas rénumérateur, qui ne veut rien dire, on énumère les énergumènes, mais on rémunère les travailleurs au taux horaire, ça veut dire que ceux qui font rien ils sont payé comme ceux qui font tout et parfois même plus, par ce que chez les cadres, y'en a beaucoup qu'on accroche avec de la peinture au milieu, au vert on passe, mais trois verres c'est dans le rouge, vu le vin blanc j'en prends pas le soir, ça m'excite trop, et en ce moment faudrait pas me pousser en dehors de mes limites, y' a trop de suicides, c'est pas normal, moi j'étais pas stressé au travail, je commence à l'être, je ne supporte plus qu'on me dise ce que je dois faire, de toute façon je suis seul dans mon bureau et personne ne vient me voir, j'attends le moment de partir, ce moment c'est le bonheur, toutes ces heures devant moi à rien faire, la liberté jusqu'à demain matin, on verra bien
is fortunate that name, she said, comes, but she knows I'm stuck, it does not do what you want, I must still overcome obstacles, gain weight, rounded ends meet , grow in width, giving up the desire to worm from the wilderness where the thirst becomes a quest for the absolute, but I do not leave home, I am willing to discipline in my walk corridor I try to imagine the missing, but I pass the kitchen and saw a piece of cake alone, but I missed it enough, I take in hand, I go to the full, every time its pleasures, long aimless walks, walk to feel his feet forward, I can not help it, one after another they pass by contempt, they did not know they are attending as we greet neighbors no more, no time to lose with this con, life goes so fast, how to select but certainly the person who will share the best with me, or me with it, I do not invest in payer I wish the meeting, but it can always be cheerful, everything needs nothing, so I'm obliged to say anything to anyone, it's fine, more than ever, and the goldfish He died, soon, soon, I remove the excess, unnecessary to load the mule, I am what I am and never change the other so I'm guessing, but I know less than me with that I spend all my time
c'est la chance qui m'appelle, elle me dit, vient, mais elle sait que je suis bloqué, on ne fait pas ce qu'on veut, je dois encore franchir des obstacles, prendre du poids, arrondir les fins de mois, grandir en largeur, renoncer à l'envie de partir ver l'étendue désertique où la soif se transforme en quête d'absolu, mais je n'aime pas sortir de chez moi, je veux bien à la rigueur marcher dans mon couloir, j'essaye d'imaginer le manque, mais je passe devant la cuisine et je vois un bout de gâteau isolé, j'ai manqué mais ça suffit, je me prends en main, je vais vers le plein, à chaque époque ses plaisirs, les longues promenades sans but, marcher pour sentir ses pieds avancer, je n'y peux rien, l'un après l'autre ils se croisent en se méprisant, ils ne se connaissent pas, ils se fréquentent comme des voisins qu'on salue, pas plus, pas de temps à perdre avec ce con, la vie passe tellement vite, mais comment sélectionner à coup sûr la personne qui va échanger le mieux avec moi, ou moi avec elle, je ne me place pas en donneur d'ordre, je souhaite la rencontre, mais peut-elle être toujours réjouissante, tout a besoin de rien, je m'oblige donc à dire n'importe quoi à n'importe qui, il fait beau, plus qu'hier, et le poisson rouge, il est mort, à bientôt, rapidement, j'enlève le trop plein, inutile de charger la mule, je suis ce que je suis et ne changerai jamais, les autre aussi j'imagine, mais je les connais moins bien que moi avec qui je passe tout mon temps
I have known it, how to make money, avoiding work, work is for the poor, a little money each month, but not enough to go on vacation Bahamas, even down home, but those who gather, they are afraid that they steal, then to dream that everyone is beautiful, but on earth you shit, you talk to defecate as above, but below that it happens in the cave of shadows passing by asking what time it is, what an odd idea, time is how, round, square chocolate which way to approach a muggy afternoon in sperm production, but soon the winter snug under cover, a small fire of wood and dry it again, it takes the heat, but it's not enough, we must also look, respect, tenderness, it slams into the fire but not on the buttocks, then we can talk, we're not stupid, that's where it gets stuck, it has nothing to say, as if while energy had gone into the heat of battle, the bodies are empty, boredom goes, once, twice, nothing happens, but what do they expect, they leave together, they caress already before even returning to the shelter, humans are able to say, but they are trapped in rudimentary gestures of reproduction, more or less controlled, more by men than by mothers formerly girls
j'aurais pu savoir ça, comment gagner de l'argent, en évitant de travailler, le travail c'est pour les pauvres, un peu de monnaie chaque mois, mais pas de quoi partir en vacances aux Bahamas, même pas en bas de chez soi, mais ceux qui amassent, ils ont peur qu'on leur vole, alors faut rêver que tout le monde il est beau, mais sur la terre on chie, on défèque pour parler comme en haut, mais c'est en bas que ça se passe, dans la cave des ombres qui passent en demandant l'heure qu'il est, quelle drôle d'idée, l'heure est comment, ronde, carrée façon chocolat qui font à l'approche d'une chaleur moite des après midi en production de spermatozoïdes, mais c'est bientôt l'hiver bien au chaud sous la couverture, un petit feu de bois sec et ça recommence, il faut de la chaleur, mais ça ne suffit pas, il faut aussi du regard, du respect, de la tendresse, ça claque dans le feu mais pas sur les fesses, ensuite on peut parler, on n'est pas des bêtes, c'est là que ça coince, on n'a rien à se dire, comme si tout l'énergie était partie dans le feu de l'action, les corps sont vides, l'ennui passe, une fois, deux fois, rien ne bouge, mais qu'attendent-ils, ils repartent ensembles, ils se caressent déjà avant même de rentrer à l'abri, les humains sont capables de se dire, mais ils sont bloqués dans des gestes frustres de reproduction, maîtrisée plus ou moins, plus par les hommes que par les mères anciennement jeunes filles
should not say never but always, always crap, transit is good, it passes through Strasbourg, so scoop bronze straps dragging on the ground, it's relaxing after a hard day of gas in all types , farts, trucks Sausage's time to eat, it twists the guts, the ugly early liquid that perfumes the shirt, but the intimacy, it is well known that the body can more details 'be washed, it needs to feel his presence, like it was Robert who came to see us, we prefer the summer when he comes, he then said not too hot when he sweats in his coat of winter, do not open your mouth, it goes like that, do not take offense but must respect the distance, they speak more than the flu but a good smell of urine and sour with sweat and it's sick , filthy pigeons which sink into the possibility of a place that normally would have the power to be free to travel without travel leading to the droppings of dogs, I have nothing against animals but could they not realize the inconvenience that causes lack of consideration for the release in public place, we pay attention to his gestures, we only advance even if other dogs are present, even if they are pigs, but not not know them, then we do not move their ears, it feels nostrils deployed y'en which was not clear, big bellies with striped cloth,
il ne faut pas dire jamais mais toujours, toujours de la merde, le transit se fait bien, il passe par Strasbourg, façon quenelle en bronze, les bretelles traînent au sol, c'est la détente après une durée journée de gaz en tous genres, des pets, des camions de saucisses à l'heure de manger, ça tord les boyaux, vilain le début liquide, ça parfume la chemise, mais c'est l'intimité, on sait bien que le corps n'en peut plus d'être lavé, il a besoin de sentir sa présence, tiens c'est Robert qui vient nous voir, nous on préfère l'été quand il vient, on lui dit alors pas trop chaud, alors qu'il sue dans son manteau d'hiver, n'ouvrez pas la bouche, ça ira comme ça, faut pas se formaliser mais faut respecter les distances, on ne parle plus que de la grippe mais une bonne odeur d'urine avec transpiration aigre et c'est l'arrêt maladie, saleté de pigeons qui s'enfoncent dans la possibilité de prendre une place qui normalement aurait du rester libre pour pouvoir s'y déplacer sans faire de déplacements qui mènent aux crottes de chiens, je n'ai rien contre les animaux mais ne pourraient-ils pas se rendre compte de la gêne que provoque leur manque de considération pour la sortie en lieu public, on fait attention à ses gestes, on avance seul même si d'autres chiens sont présents, mêmes si ce sont des porcs, mais on ne les connait pas, alors on ne bouge pas les oreilles, on sent à narines déployées, y'en a qui sont pas clair, des gros ventres avec des tissus rayés,
fall after climbing to the top of tomorrow, but tomorrow it never does not exist, it pushes on the street, no need to live, wait, but what remain motionless before the thaw, lack of luck with warming of the planet, there is freezing, it is no longer the freeze, by cons you can tell me that the heater, especially since I heard this kind of ancient promise of acknowledge that young people will not listen, it happens that I am neither young nor old, god forbid, I'm in between, that's my problem, because since I know that life n advance not for anything, it requires great energy, I avoid at all costs, not much because I am poor, fall in wear every day promises not necessarily great, but the dose yes, a good dipped in the soup of molecules, all these tiny parts of me are forced to understand me, must say that I decide I am the leader even if not my molecules, I am nothing, but instead, we know, it goes well, but they should not make me cancer or something like that here, anyway they know me, never sick, the revolver in the mouth or the heart I have not decided yet what made more movies, because then I feel an actor, now, no, life is too busy to play comedy, but when he died, what a sight, forced to triumph end
retomber après avoir monté tout en haut de demain, mais demain c'est jamais, ça n'existe pas, ça refoule sur la rue, plus besoin de vivre, attendre, mais quoi, rester sans bouger avant le dégel, manque de chance avec le réchauffement de la planète, il n'y a plus de gel, on se les gèle n'existe plus, par contre on peut dire ça me les chauffe, surtout depuis que j'ai entendu cette espèce d'ancien qui promettait d'avouer ce que les jeunes ne veulent pas entendre, il se trouve que je ne suis ni jeune, ni vieux, dieu m'en garde, je suis entre les deux, c'est mon problème, car depuis que je sais que la vie n'avance pas pour rien, elle demande beaucoup d'énergie, j'évite à tout prix, pas grand chose car je suis pauvre, de tomber dans l'usure, chaque jour s'annonce pas forcément grandiose, mais la dose oui, une bonne trempe dans la soupe de molécules, toutes ces minuscules parties de moi sont obligées de me comprendre, faut dire que c'est moi qui décide, je suis le chef même si sans mes molécules, je ne suis rien, mais elle non plus, on le sait, ça se passe bien, mais faudrait pas qu'elles me fassent un cancer ou un truc de ce genre là, de toute façon elles le savent, moi malade jamais, c'est le revolver dans la bouche ou dans le cœur, j'ai pas encore décidé ce qui faisait plus cinéma, parce que là je me sentirai acteur, maintenant, non, la vie c'est trop prenant pour jouer la comédie, mais au moment de mourir, quel spectacle, triomphe obligé à la fin
9002, 2009, one day, one hour, one man one woman, long since forever, but today that it has, it may a little, he acknowledges, he realizes, but it's too late, just password without saying goodbye, never more or perhaps 9002, reincarnated as ingrown toenail or flute skinny, nothing happens, the ears are down, your chin comes to tremble, but now it starts in the morning At just sleep the brave, drooling as piss through the forfeiture before the chance to songs, the eternal smile when alive continue to sweat for a pittance, most of which send itself in the air because the air is expensive, time is flesh, flesh is the verb, the envy of endive, broth snails smell rising waters unless it is the deluge of repressed desire, the magic potion is no longer effective human sculpture stands in frail gesture and it is safe but collapsed before he could trying to save his childhood dreams, but the child is far a faded landscape, farm forgotten walls that speak volumes, but nothing to this, gaps, stories, animals, nothing more to say, short of breath, the slope is deadly, down it goes in the direction as in a schoolyard, but there are bits of bodies that are not cat perched, but tempered vomit fatal destiny which starts laughing,
9002, 2009, un jour, une heure, un homme une femme, depuis longtemps, pour toujours, mais ce jour que doit-il, il peut un peu, il reconnaît, il se rend compte mais c'est trop tard, tout passe sans se dire au revoir, jamais plus ou peut-être en 9002, réincarnation comme ongle incarné ou flûte décharnée, plus rien ne passe, les oreilles sont en panne, le menton arrive à trembler, mais aujourd'hui ça commence, le matin, l'heure juste, le sommeil du brave, la bave comme on pisse de travers, la déchéance avant la chance aux chansons, le rire éternel quand les vivants continuent à suer pour un salaire de misère, plus de quoi s'envoyer en l'air car l'air est cher, l'heure est chair, le verbe est chair, l'envie d'une endive, un bouillon d'escargots, ça sent la montée des eaux à moins que ce soit le déluge de désir refoulé, la potion magique ne fait plus d'effet l'humain se dresse en sculpture fragile, un geste et il est sauf mais tout s'écroule avant qu'il ait pu vouloir sauver ses rêves d'enfant, mais l'enfance est loin, un paysage fané, une ferme oubliée, des murs qui en disent long, mais plus rien au présent, des manques, des histoires bêtes, plus rien à dire, le souffle court, la pente est mortelle, en bas ça court dans tous les sens, comme dans une cour d'école, mais là ce sont des morceaux de cadavres qui jouent à chat pas perché, mais trempé de vomis, funeste destinée qui commence en riant,
dimanche 18 octobre 2009
release your comrades, there is nothing, I alone am responsible, I could have done differently but I do not know how I slipped into the meal, these beans that offered a sense of fun, I fell inside to avoid spinning out, how it another way that humans can not doubt miss most when a sudden he is given the power to grow, he cracked the top so as not to initiate the bitterness that comes complaining from middle age, I was young and could not see the destiny digging in my shadow, the years have passed without leaving their address, can not be reached for that both ends meet, it is torn down to the last sigh, at that point everything becomes nothing and Mickey Rokit, death has no teeth, but what a pretty smile, that's how I see things with the intravenous dose in order not to obey, freedom in the face for happiness to see happen packet discarded at sea, I was in the water at the beginning of the freshwater that takes the mother enough to supply the first dream, that it's over, no regrets, I'd rather be dry,
libérez vos camarades, il n'y sont pour rien, je suis seul responsable, j'aurais pu faire autrement mais je ne sais pas comment j'ai dérapé dans la semoule, tous ces grains qui offraient une sensation de plaisir, je suis tombé dedans pour éviter de partir en vrille, comment dire autrement que l'humain ne peut se douter de manquer de l'essentiel, quand d'un seul coup on lui donne le pouvoir de grandir, il craque par le haut de façon à ne pas entamer l'amertume qui vient se plaindre à partir de l'âge mûr, j'étais jeune et capable de ne pas voir le destin se creuser dans mon ombre, les années ont passées sans laisser leur adresse, impossible de les joindre pour que les deux bouts se touchent, on est écartelé jusqu'au dernier soupir, à ce moment là tout devient rien et Mickey rit jaune, la mort n'a plus de dent, mais quel joli sourire, c'est comme ça que je vois les choses, avec la dose en intraveineuse sans injonction d'obéir, la liberté en pleine face pour bien voir le bonheur arriver par paquets rejetés à la mer, j'étais dans l'eau au début, de l'eau douce qui prend de la mère de quoi alimenter les premiers rêves, voilà, c'est fini, pas de regret, je préfère être au sec,
In a sense I am not sure what direction do I go from here or here, but I do not recognize certain to cross the boundary to take people for idiots because I am not the style I take for I am not, that's why I come back often for more events that could lead me to reconsider my position over the razor and the consuming passion of life, why could not I claim to want the impossible, I'm French, though I did not choose it happened to me on a Monday, I was still in the womb of my mother when suddenly without warning I am thrown into the twelfth district, and the twentieth century, twelve times twelve hundred and forty-four, and so on and best, I only remember that my life is unfolding like a big snake that does not know where and when it broke, j ' have evolved on Wednesday, there was sun and I looked out the window, once I broke, I had enough to pass for a resizable copy, I exist as a single mold could hatch a destiny, I'm told someone whose name I forget, my father may be, he died without being able to tell me who I was, but I am, that changes everything, life awaits me, she will, too, they're not alone, we could make friends, two bodies together, we can talk, touch, until then, he must first know
dans un certain sens je ne suis pas sûr de la direction, dois-je aller par là ou par ici, mais je ne reconnais pas la certitude de franchir la limite de prendre les gens pour des cons car je ne suis pas du style me prendre pour ce que je ne suis pas, c'est pour ça que je viens souvent pour reprendre la suite des évènements qui pourraient me conduire à reconsidérer ma situation au fil du rasoir et à la passion dévorante de la vie, pourquoi ne pourrais-je pas prétendre à vouloir l'impossible, je suis français, même si je ne l'ai pas choisi c'est tombé sur moi un lundi, j'étais encore dans le ventre de ma mère quand tout à coup sans prévenir me voilà projeté dans le douzième arrondissement, et au vingtième siècle, douze fois douze cent quarante quatre, et j'en passe et des meilleures, je ne retiens que ma vie qui se déroule comme un grand serpent qui ne sait plus ou et quand il a mué, j'ai mué mercredi, il y avait du soleil et je regardais par la fenêtre, d'un seul coup j'ai mué, j'en avais assez de passer pour un exemplaire redimensionnable, j'existe comme un seul moule pouvait éclore une destinée, je serai a dit quelqu'un dont j'ai oublié le nom, mon père peut-être, il est mort sans avoir pu me dire qui j'étais, mais je serai, ça change tout, la vie m'attend, elle y va, moi aussi, ça tombe bien, on pourrait lier connaissance, deux corps ensembles, on peut parler, se toucher, jusque là, il faut d'abord se connaître
it took me to be with me to realize that the past was not the cause of my anguish, it all comes from my future, I am able to pass the time is past but will I be able build tomorrow a wall where I could write my story, everything stops when it can no longer move, I can not predict the future, it will go worse and worse, but there is nothing to so, the current flows in one direction and never come back upstream, my time is here, now and forever, I breathe the air that pushes me to dream, too much air crazy, I avoid passing beyond the line, it allows me to face without seeing anything but a face, my eyes are neutral, not mocked, he has no regrets, he saw that it could resemble a clown, but the impression is trivial, it glides on the bottom and splashes back into the light, nothing remains of the abyss because we have not dug to find out, we just brushed the feeling off in doubt but thanksgiving we had ascended to the highest consciousness, I am therefore I exist, so I can move without thinking that humans are doomed to failure, during his life he may try to take a share, not steal the whole cake, how to get there, just follow the line, it requires the knowledge of evil, and bounces when she can in the period that corresponds most to the eventual arrival of happiness
il a fallu que je sois avec moi pour me rendre compte que le passé n'était pas à l'origine de mon angoisse, tout ça vient de mon futur, je suis capable de passer le temps qui est passé mais serai-je en mesure de construire demain un mur sur lequel je pourrais écrire mon histoire, tout s'arrête quand il ne peut plus avancer, je ne veux pas prédire l'avenir, il va aller de plus en plus mal, mais il n'y aura rien à faire, le courant passe dans un sens et ne reviens jamais en amont, mon temps est là, maintenant et pour l'éternité, je respire l'air qui me pousse à rêver, trop d'air rend fou, j'évite de passer au delà de la ligne, ça me permet de me regarder en face sans voir autre chose qu'un visage, mon regard est neutre, il ne se moque pas, il ne regrette pas, il a vu qu'un on pouvait ressembler à un clown, mais l'impression est futile, elle glisse sur le fond et rejaillit en pleine lumière, il ne reste rien de l'abîme, car on a pas creusé pour trouver la sortie, on a juste effleuré la sensation de partir dans le doute, mais une action de grâce nous a fait remonté au plus haut de la conscience, je suis donc j'existe, donc je peux avancer sans penser que l'humain est voué à l'échec, pendant sa vie il peut essayer de prendre une part sans voler tout le gâteau, comment y arriver, il suffit de suivre la ligne, elle passe par la connaissance du mal, et rebondit quand elle peut dans la période qui correspond le plus à l'éventuelle arrivée du bonheur
vendredi 16 octobre 2009
He did not come today, he takes a risk that I will not take if I were in his place, but I'm not, what can we say stupid things, we do not know much about many things, almost all since it is almost nothing from above, seen from below is better, but it's not glorious, drives slobbering on the edges dirty, not cleaning scheduled before three days, the weather does not help the situation, however, the longer it goes the less it will, the character becomes shrill, whistling voice, the body becomes dry to the core, it is far time the cute baby, life is spent there, the smell of decay begins to emerge from the closets, opens more windows for fear of drafts, television serves as a window on the world and indirectly on the neighbors can do more than this old fart who is the sound of his TV in depth, there's more to wait for him to leave the hospital, no one can not argue with the old, they are cooked by the 'habit of not changing their minds, they no longer have one, spend the day, then the ideas of others, it passes over their pleasure to live together, each home even if it's wrong isolated, we are told, live old is progress, but how to stay young, open, smiling, while the body fatigue, pain, depression, were not yet invented the happy pill, once in the morning have a nice day with others, and one in the evening for a good night which will allow to pass a good day tomorrow
il n'aurait pas du venir aujourd'hui, il prend un risque que moi je ne prendrai pas si j'étais à sa place, mais je n'y suis pas, qu'est ce qu'on peut dire de bêtises, on ne connait pas grand chose à beaucoup de chose, à presque tout puisque on est presque rien vu d'en haut, vu d'en bas c'est déjà mieux mais c'est pas glorieux, des pulsions baveuses sur les bords sales, pas de nettoyage prévu avant trois jours, le temps n'arrange pas la situation, au contraire, plus ça va moins ça va, les caractère devient aigre, la voix siffle, le corps s'assèche jusqu'au trognon, il est loin le temps du mignon bébé, une vie est passée par là, l'odeur de la pourriture commence à sortir des placards, on ouvre plus les fenêtres de peur des courants d'air, la télévision sert de fenêtre sur le monde et indirectement sur les voisins qui n'en peuvent plus de ce vieux con qui met le son de sa télé à fond, y'a plus qu'à attendre qu'il parte pour l'hôpital, on n peut pas discuter avec des vieux, ils sont cuits par l'habitude de ne pas changer d'idée, ils n'en ont plus qu'une, passer la journée, alors les idées des autres, ça leur passe au dessus du plaisir de vivre ensemble, chacun chez soi même si c'est mal isolé, on nous dit, vivez vieux, c'est le progrès, mais comment rester jeune, ouvert, souriant, alors que le corps fatigue, souffre, déprime, on n'a pas encore inventé la pilule du bonheur, une le matin pour passer une bonne journée avec les autres, et une le soir pour passer une bonne nuit qui va permettre de passer une bonne journée demain
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