when is it now
dimanche 18 octobre 2009
libérez vos camarades, il n'y sont pour rien, je suis seul responsable, j'aurais pu faire autrement mais je ne sais pas comment j'ai dérapé dans la semoule, tous ces grains qui offraient une sensation de plaisir, je suis tombé dedans pour éviter de partir en vrille, comment dire autrement que l'humain ne peut se douter de manquer de l'essentiel, quand d'un seul coup on lui donne le pouvoir de grandir, il craque par le haut de façon à ne pas entamer l'amertume qui vient se plaindre à partir de l'âge mûr, j'étais jeune et capable de ne pas voir le destin se creuser dans mon ombre, les années ont passées sans laisser leur adresse, impossible de les joindre pour que les deux bouts se touchent, on est écartelé jusqu'au dernier soupir, à ce moment là tout devient rien et Mickey rit jaune, la mort n'a plus de dent, mais quel joli sourire, c'est comme ça que je vois les choses, avec la dose en intraveineuse sans injonction d'obéir, la liberté en pleine face pour bien voir le bonheur arriver par paquets rejetés à la mer, j'étais dans l'eau au début, de l'eau douce qui prend de la mère de quoi alimenter les premiers rêves, voilà, c'est fini, pas de regret, je préfère être au sec,
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