when is it now
lundi 27 janvier 2014
sans vouloir
sans vouloir plus je suis allé pour me perdre mais j'ai dû renoncer car j'aime trop me faire peur, pour oublier qui je suis, un numéro dans la liste incapable de prendre ce qui est à moi, je laisse tout dans la caisse pour que tout soit dans la même situation pour ne pas faire ce que depuis la même époque je continue à faire car dans la chance qui me vient tout à coup je suis au courant du problème principal qui n'est pas tout des suite accessible car maintenant je ne sais plus quoi faire, je fais ce que je peux, c'est quand même quelque chose, mais je ne sais pas pourquoi, la maison est vide, il ne reste rien d'avant et moi, que faire d'autre, prendre le chemin, croire que c'est le bon, comment en être, comment avoir la précision d'être, mais depuis que je suis ce que je fais, je ne me fais plus de soucis, car dans la question est-il question de quelque chose que je connais, je suis sûr de pouvoir ne rien faire car dans ma tête il y a trop de vide, je ne suis pas sûr de pouvoir vous dire ce que vous attendez car je crois qu'on attend rien, il n'y a rien à espérer, le vide est au-dessus il ne faut pas se croire capable mais seulement le faire pour que tout soit réglé, avant, pendant, après, tout est pris pour que tout soit dans la même chemise, un peu large, mais dans cinq ans je serai plus gros, alors je sais pourquoi je vis, c'est une erreur technique, quand j'avais eu le moment de voir ce que je fais, je sais que je peux continuer, qu'est ce qui m'en empêcherait, je suis libre de faire ce que je fais car je crois qu'il est possible de faire autre chose, un peu à la manière d'une manière, quand j'étais jeune je ne faisais rien, tout arrivait sans que je le veuille, ce n'était pas un rêve, simplement j'aimais vivre et pour la chance je ne voyais rien, ça ne me faisais rien, je n'étais rien, pour que ça continue, j'aurais dû faire autre chose, mais je l'ai rencontré, nous nous sommes mariés et depuis je vis à l'envers de ma vie et j'aime bien ça mais je sens qu'il faut ne pas se placer au milieu, ça devient insupportable, alors je vais au bord au risque de tomber mais quelque chose m'en empêche, ça devrait aller jusqu'à la prochaine étape, je ne suis pas inquiet, je vais juste dans la chambre, je reviens dans le salon, je tourne, je fais exprès, j'attends que ça passe, je suis dans un passage précis, au centimètre près, ça passe par là et depuis une seconde je vais ici, comme ça c'est l'équilibre, ça me va, c'est encore facile je suis toujours dans la balance, un coup après l'autre, dans une sorte de nuage blanc, sans avoir de moment incertain, tout est bon, ça peut le faire, d'un seul coup je comprends, ça fait ça quand je suis près de la vérité, un peu dans le sens, beaucoup ailleurs pour ne pas trop me mettre de pression tout est étudié de près, que se passe-t-il, je suis dans un meilleur jour, la chance n'est pas là pour rien, ça me fait sursauter, il faudrait que je sois encore plus près mais j'ai peur d'aller trop vite, car je sais que je pourrais me brûler les ailes alors je reste dans la cave, ça ne sent pas très bon mais je m'habitue, ça me fait du bien d'être en chemin, car dans la vie comment ne pas essayer de partir
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