ce qui large

ce qui large c'est la venue au monde, ça correspond au désir de prolonger l'espèce, en espérant que l'enfant à son tour ira jusqu'à faire un enfant, c'est le coup qui tombe, dans une mer agitée pour faire attention au chien mais quand je fais un rêve je suis endormi heureusement que je peux me réveiller et faire quelque chose, ça me plait, mais est-ce assez pour être content de moi, je vois des miroirs, des gens pressés, des doses trop, des morts par asphyxie, et moi qui reste là pour la première fois, je n'avais pas compris pourquoi je devais faire ça, mais maintenant je fais toujours un peu plus pour être sûr que tout est possible, dans un certain sens je saisis ce qui se passe, pas seulement pour faire exprès, mais dans un couloir mal éclairé, je perçois une ombre qui ne doit pas toujours faire ce qu'on lui dit, car maintenant je suis sûr de vouloir faire ce qui me plait, j'ai mis longtemps à savoir ce que je voulais faire, mais dès l'instant où je suis allé au milieu des chances, je me suis aperçu des étendues du possible, tout est dans le choix, il n'y a rien à l'extérieur, car pour savoir ce qui se passe il faut être bien pris dans le champ celui qui ne peut pas plaire car tout est mis de côté, pour la mer et pour la terre, dans un sens comme dans l'autre, et pour finir un pas compris sans retenue, car la liberté se paye cher, il n'y a pas de demi-mesures, soit tout est, soit rien n'est car dans la chambre il y a un lit dans ce lit il y a une femme qui dort, tout à l'heure j'irai dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner, et quand je pense que tout est parmi nous, dans le moment de l'accès à la surface supérieure, mais dans le temps prévu que faire qui soit mieux que ça, car dans chaque partie le prix est inférieur à la prévision, dans le soir, il pleut, mais dedans on est servi à table, ce qui se montre satisfait est dans la dynamique de rebond, quand c'est utile ça fait plaisir, mais à tout propos je fais ce que je peux, mais ça c'est encore ce que je peux être, c'est une limite à l'ouest de la position quand je finirai le jour et que dans toute la science c'est le plus qu'on agite pour la bonne raison que l'humain n'avance pas, ce sont les objets qu'il crée qui sont signes de modernité, mais l'humain est le même qu'il y a cent mille ans, aussi stupide, âpre au gain, prêt à tout jusqu'à l'assassinat pour imposer ses vues, il n'y a pas d'écoute, pas d'harmonie, tout s'en va n'importe où, mais dès le temps présent tout s'ouvre dans l'amour