when is it now
mercredi 22 janvier 2014
sur cette question je ne sais pas quoi répondre car ce qui me dépasse je n'y pense plus, comme ça je peux continuer en me disant ça je comprends, et ça je ne comprends pas, alors tout vient ensemble, c'est le jeu du chat et de la souri, à qui découvrira le plus vite le prix du marché, un ensemble de problèmes qui peut-être un jour vont trouver leur solution, un peu comme en face de chez moi, il y a une fille qui ne prend pas de discrétion, elle n'en a peut-être pas, et quand elle se met en pyjama, je la vois se déshabiller jusqu'au moment où elle me vois, et dans un geste de folie enlève le reste et se met devant la fenêtre complètement nue, pour me dire que je suis là, c'est vrai je la regarde, mon sexe est en train de se lever, mais ce n'est pas encore l'heure, pour le moment il y a une vision, c'est de l'autre côté de la rue, je ne la connais pas, si elle se montre à moi, elle se montre aussi à d'autres dans l'immeuble, ce n'est donc pas que pour moi, c'est une relation qui commence mal, je redescend sur terre, il n'y a rien, d'ailleurs elle ferme ses rideaux, et c'est là que je me dis qu'il faut que je change de lunettes, on m'a dit que maintenant on pouvait avoir des lunettes qui font voir au travers des rideaux, et comme je suis après peu sûr que dans l'immeuble personne n'a encore acheté ce genre de lunette, je me lance dans l'aventure, et qu'est ce que je vois maintenant avec ces nouvelles lunettes, elle est en train de se mettre la main dans son sexe, je vois là que c'est une femme en manque de sexe masculin, après une longue réflexion je prends mon manteau et je descends dans la rue et je remonte jusqu'à son appartement, je ne sonne pas, la porte était ouverte, j'entre, je la vois, j'ouvre mon manteau, j'étais nu en-dessous, elle se jette sur moi et nous avons un plaisir intense pendant cinq minutes, ensuite elle retombe par terre, comme si elle était morte, je la regarde mais elle respire, ensuite elle se réveille et nous recommençons à se faire mal, ce n'est que plus tard que je revenais chez moi, un peu fatigué mais complètement abasourdi, quelques fois je me dis que ce que je vis est bizarre, je n'y trouve pas de cohésion, je ne sais pas si c'est une période de ma vie, ou bien si je vais toujours le faire jusqu'au moment où je ne pourrai plus le faire
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