when is it now

vendredi 31 janvier 2014

chaque temps à son histoire

chaque temps a son histoire, ses gens, ses boire, ses manger, ses dormir et puis arrive ce qui devait arriver un jour comme un autre une annonce de la fin, dans la croyance une sensation nouvelle et si c'était possible, je me mets à rêver, la vie avant la mort, la sauce avant la viande, le mercredi, le jeudi, le vendredi, incroyable, ce moment est fort, ça permet d'aller plus loin comment aurais-je pu faire autrement tout est pris, vite il faut que je sois prêt, mais quand il faut être je tombe, je dois trouver le juste milieu, il doit bien exister et vers ce toit qui me cache le soleil, j'aurais du apporter une échelle, mais comment prévoir ce qui n'est pas prévu, alors je fais autre chose, je me déplace, je marche pour me positionner en dehors des problèmes, sont-ils nombreux, je n'en vois qu'un mais peut-être n'est ce qu'une impression et si je me noyais dans les soucis, mais il faut que je sois responsable, ce n'est pas mon envie mais je dois le faire, c'est une obligation morale que je m'impose, pour être sûr de garder la tête hors de l'eau, ça m'évite de faire le grand tour, quand je suis tout près d'arriver je commence à sauter car la nervosité me gagne suis-je enfin arrivé, je vois, j'entends, je perds ce que je ne gagne pas, comme ça suis-je plus attentif à l'action qui me plante, c'est un cas unique, dans chaque partie une sorte de ressort qui donne à celui qui sait pourquoi il fait ça, l'occasion de faire un bond, ensuite ça dépend du jour si c'est lundi c'est fatigant, si c'est mardi c'est ravioli, si c'est mercredi c'est dans une chambre, si c'est jeudi c'est encore pire, si c'est vendredi on approche la limite, c'est fini le samedi on met les compteurs à zéro, c'est un passage au mois de février, rions tant qu'il est encore le temps de sortir sans avoir la sensation de perdre son temps et plus c'est fermé plus je sais comment ouvrir la bouche

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