when is it now

mardi 6 octobre 2009

il me faut plus de temps mais moins de mémoire, je sais des choses inutiles qui paralysent mon angoisse pour la rendre opérationnelle, c'est dans l'inaction que se trame le drame de la persécution quotidienne, à bas les hauts à moins que ce ne soit plus, faut-il comprendre les choses comme elles viennent ou bien faut-il analyser à tout bout de champs du voisin qui ne veut pas me le vendre, histoire de voisinage du cerveau qui se prend pour le chef, mais les émotions, monsieur, ça vient du coeur, il chauffe Marcel pour passer de l'a sensation à la certitude du mouvement aléatoire, mais jamais après le dîner, la digestion est reine, elle transforme le divin en caca, une histoire humaine pleine de rebondissement dans le coton de l'âme en fonction depuis des millénaires à compter du premier janvier de quelle année déjà, voilà que je perds la mémoire, je suis quelqu'un, voilà une certitude, mais la mer monte sans que je le demande, ça veut dire quoi, ça veut rien dire mais ça parle quand même et ça dit n'importe quoi, malédiction, je suis découvert et il pleut sans remonter jusqu'en haut, au raz du sol ça fait des flaques, je n'ai rien contre, je serais même plutôt pour, à condition de reconnaître le rôle essentiel de mes parents sans qui je ne pourrai pas actuellement passer de tout à rien et inversement proportionné en partant de la droite, on ferme la porte en sortant de sa poche un livre de prières, c'est comme ça que je vois la vie, assez rapidement pour ne pas gêner la concentration, un grand bol d'air

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