when is it now

mardi 6 octobre 2009

pour savoir pourquoi je veux il faut aller je ne sais où à l'intérieur des possibilités démentielles associées à la raison la plus pure, ensuite secouer jusqu'à l'obtention d'un accord de principe le temps de s'apercevoir que la fuite venait d'un tuyau percé, retour à l'obstacle en forme de saison, l'été, il fait chaud, l'hiver il fait froid, mais c'est en automne que les feuilles tombent, j'en conclus que la dose nécessaire de satisfaction est proportionnelle à l'envie de restaurer un minimum de bonheur, c'est une étape essentielle dans la course à l'investiture démocrate, c'est le peuple qui décide, moi je ne fais que proposer une idée, c'est le partage qui domine, tout en haut de la pyramide des âges, l'humain donne la main, c'est le pied, les vieux partent en poussière, c'est le temps des réjouissances, l'héritage ça fait du bien au porte monnaie, ça dégage aussi le tableau, on devient maître de sa vie, plus de visite le dimanche, plus de Noël, mais un gros chèque, pour acheter un maison de campagne, les vieux disparaissent, les prix montent, ce qu'il faudrait c'est une bonne grippe A, pour passer à B, comme bonheur, l'économie repart vers le haut, c'est à nouveau l'insouciance, on consomme, voiture, vacances, les gens d'âge moyen ont de l'argent, celui de leurs parents décédés à 70 ans, pourquoi vivre plus longtemps, on devient grabataire et on empêche les suivants à être heureux, et viva zapata, les pommes de terre aux lardons et le beurre fondu dans la poêle,

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