when is it now
mercredi 7 octobre 2009
sans avoir le pouvoir de comprendre je n'essaye pas de savoir pourquoi me bas n'est pas en haut et comment je fais pour atteindre la lune sans essuyer une larme de crocodile, mais la question la plus importante c'est de passer de l'Autriche à la Bavière sans prendre une ride car la bière n'est pas réputée pour creuser la peau, c'est le temps qui attaque la jeunesse, il faut bien se rendre compte que le destin n'est pas un fromage qu'on partage en fonction du nombre d'invités, il n'y a qu'une part pour ceux qui veulent se lever de table avant la fin, ce n'est pas très convenable mais quand on a une idée derrière la tête ce n'est pas pour la montrer devant, mais voilà que le rayon de soleil éclaire la maison, tous les rêves s'envolent, il ne reste que le passage du vent pour raconter le moment idéal, l'humain s'endort, il ne peut regarder le monde qui s'effondre, il dort pendant que la mort rôde, mais on ne peut tout surveiller, il faut lâcher pour fermer les yeux et perdre la conscience, on n'est plus rien, un corps étendue qui ne bouge plus, capitaine, boulanger, athlète, on ne reconnaît plus personne, c'est la vraie égalité, on dort tous égaux, mais au réveil, on reprend sa casquette, ses titres, sa position, la terre tourne mais l'humain est fixe, il cherche à ralentir le temps en soumettant d'autres personnes, mais il ne s'agit que d'un instant, bientôt les corps se déchirent et vont finir leur destinée sous la terre, alors pourquoi ne pas tout de suite se pardonner et avancer sans craindre la venue
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