when is it now
lundi 23 mai 2011
si j'ai bien compris tu veux que j'aille bien, mais comment pouvoir associer ce que je suis et ce que je ne veux pas, il se trouve que dans une passion normale il n'est pas possible de conduire lentement, il faut prendre des risques qui ne sont pas quand même gênants, juste une petite pente qui ne glisse pas, on saute par-dessus, mais en-dessous ça reste coincé, c'est toujours la même chose, on voudrait aller ensemble, mais finalement on est séparé, les envies ne sont pas communes, on est seul dans sa tête, c'est à moi de comprendre, aucune aide, patiemment éteindre l'incendie, ce feu qui nous entraîne dans des délires joyeux, mais la vie est eau, d'un seul coup c'est la nuit, le froid trempe les os, la chair grelotte, irons nous jusqu'au matin, lentement on avance dans les rêves, le heures passent dans l'inconscient, je suis, je suis, je suis, je suis, réveil brutal, je suis encore vivant, une pensée bondit hors du lit, je la suis de peur de me perdre jusqu'à la salle de bain, j'étais bien, où vais-je, aller là, ça me parait bien, mais qu'en dira-t-elle, que faire, tout de suite au risque de lui déplaire ou attendre, toujours attendre, ça fait partie du pack, un litre de lait, des bulles de champagne, le matin blême, un vomis qui sent un vomis, et on recommence car je ne sais pas quoi faire, c'est elle qui décide, l'aventure commence par le début, on en peut pas plus, tout ça est facile, il pourrait quand même être plus accessible, mais ce n'est pas grave, le poids monte, il monte naturellement, pour inverser la tendance ça prend des années, il faut s'accrocher, l'envie peut repartir, possible satisfaction, mais c'est quand même ce que je disais avant de me rendre compte qu'il ne peut pas toujours aller dans le même sens
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