when is it now

mercredi 1 juin 2011

si jamais toujours alors ça va mais si toujours encore, que faire d'autre, je me perds dans un verre de mazout, c'est gluant et ça pue, comment pourrais-je être frais, splendide, beau, riche, con, limite insupportable, mais je ne suis rien, j'avance sans me dire qu'il faut, ça dépend des moments, je sens que maintenant ça pue, pourquoi, parce que je perds pied, j'essaye de passer mais ça bloque au niveau de la compréhension, on ne partage rien, il va falloir des années avant de réussir à se mettre en accord, pour le moment c'est la cacophonie, tout le monde parler en même temps, chacun veut exister au lieu d'écouter et d'applaudir, ça viendra, il faut y croire autrement c'est pas la peine de passer du temps à la pêche au gros, il est plus facile de rester petit dans son coin en attendant le dernier jour, moi je voudrai des premier jours tous les jours, des renouvellements de passions, des actualisations incessantes, rapidement conclu, pas d'attente, tout va vite, on enchaîne les moments pour ne laisser aucun vide entre deux incertitudes, les passages sont hauts, il faut faire attention, on peut tomber, et plus c'est haut plus c'est haut New-York USA, ensuite on peut aller là, ça dépend de chacun dans son histoire et dans ses attentes, si on veut on peut ce qu'on peut, c'est à dire que arrive là où on aurait du arriver si on n'avait pas vu le panneau, ce panneau d'interdiction de rêver car l'humain ne supporte pas que quelqu'un passe en douce pour doubler les plus intelligents qui ont la richesse et le pouvoir, avant du temps des rois, il y avait le fou du roi, qui pouvait insulter les nobles, aujourd'hui il y a le mur de l'argent, on se tait, les cons ont la parole

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