when is it now
dimanche 31 mai 2009
the decision is made for four days, three days ago, even better, two days ago, more than a day and end it, talking little but ideas do not move until then, provided d accept the rule that requires the silence in that I am not sure to gather all the votes, it is not very serious, I have other points of interest that I relate a lot of consideration on I look at the surface, below the depths of my being hidden in the burning bush, it burns all sides, but I do not feel anything yet, it promises to be unpleasant but I just want to be forgiven if I go directly without going through the beginning, I am therefore very comfortable to lie to others, the truth is the end, when I see the tunnel of light, I ask forgiveness, I am told it is too late, what we know,
la décision est prise depuis quatre jours, il y a trois jours, c'était encore mieux, il y a deux jours, plus qu'un jour et c'est fin, parlons peu mais n'avançons pas les idées jusque là, à condition d'accepter la règle commune qui impose le silence dans la mesure où je ne suis pas certain de rassembler tous les suffrages, ce n'est pas très grave, j'ai d'autres centres d'intérêts qui me rapportent beaucoup de considération, on me regarde à la surface présente, plus loin les profondeurs de mon être se cachent dans les buissons ardents, ça brûle de tous les côtés, mais je ne sens rien pour le moment, ça promet d'être désagréable mais il me suffit de vouloir être pardonné pour que je monte directement sans passer par la case départ, je suis donc très à l'aise pour mentir aux autres, la vérité c'est pour la fin, quand je verrai le tunnel de lumière, je demanderai pardon, on me dit que c'est trop tard, qu'est ce qu'on en sait,
hello, good evening, the chance to others who want to, I do not want to walk in the certainty of going through there and not elsewhere, this is not envy, it is an obligation of truth, when I am I can check what I am, yet I am waiting for the opportunity to go back to see progress, but I fail every time, that I miss there to see the extent of flour in a three quarters The last quarter can only end in the last five minutes we learn the name of the mice who ate all the cake appetizers, but I still have years to do, it depends only on me, then spend a soap on the body, remove the darkness of pernicious ideas, gathering efforts so that we can talk to him, this being who inspires fear and desire without any balance, we can normally see, one simple if the envy of the rest to take a gourd for the thirsty, drink endless water issue, patiently collecting the tears of suffering to give the look of love is waiting feverishly for the time I observed temperature variations of the brain that tell me that I am far from the goal, the madness is to keep my doors, how can we expect when the sea passes over the dam, another ring on his finger moving in sign of absolute necessity, the human loses time on sterile love pierce the body, this is a worthwhile activity,
bonjour, bonsoir, la chance aux autres qui en veulent, je ne veux que marcher dans la certitude de passer par là et pas ailleurs, ce n'est pas une envie, c'est une obligation de vérité, quand je serai je pourrai vérifier ce que j'avance, pour le moment j'attends l'occasion de partir en arrière pour constater l'avancée, mais j'échoue à chaque fois, que me manque-t-il pour savoir la mesure de farine dans un trois quarts, le dernier quart n'arrive qu'à la fin, dans les cinq dernières minutes on apprend le nom de la souris qui a mangé tous les gâteaux apéritifs, mais il me reste des années pour bien faire, ça ne dépend que de moi, alors passons un savon sur le corps, enlevons la noirceur des idées pernicieuses, rassemblons les efforts pour qu'enfin nous puissions lui parler, cet être qui nous inspire crainte et désir sans aucun équilibre, nous pourrons la voir normalement, un autre en simplicité même si l'envie reste de la prendre pour une gourde pour la soif, boire sans fin l'eau de délivrance, patiemment récolter les larmes de souffrance pour les donner au regard d'amour, c'est une attente fébrile, pour le moment je constate des variations de température du cerveau qui m'indiquent que je suis loin du but, la folie est aux portes de mon donjon, comment espérer quand la mer passe au-dessus de la digue, une autre bague qu'on passe au doigt en signe d'absolu nécessité, l'humain perd du temps dans des activités stériles, aimer les corps sans les transpercer, voilà une activité digne d'intérêt,
samedi 30 mai 2009
the wonderful moment that person is not, a moment of pure existence or scale is dead, more than idle justification, an abstract truth that behaves like a bicycle, harmony in the middle of the day, the game is not worth the candle over, everything is for the better, said without words, the wind is waiting in a corner so as not interfere with the procedure of accelerated exact feelings, once here and there, take the opportunity to leave without moving, a surge in the static exact area of the joy that's more fragrant for the message of peace passenger, that happens from time to time when all conditions are met, an axis of the earth, a bright moon, a seal of water, wet tears and it was not played again in point here, attention, concentration, which wants to earn his salvation, go, go, it is too late to continue, the sun is too high to walk over, find us one of these days for not doing the same thing, you understand that the solution to your problems does not exist, unless you do a bit of random path strewn with obstacles and do not count the blows, that is take it or leave it, I advise you to leave, there is only you who can leave, I can do for you and if it succeeds, you will come back alone now to the other, follow me, aujourd Today we will move to feel his body in the universe in motion, the axis itself is stable, both feet grounded on earth, eyes closed, mouth open, hands open, arms along the body, slow breathing, one two three jump skyward, thank you for tomorrow
le merveilleux instant qui ne se prolonge pas, un moment de pure existence ou la balance est morte, plus de justification oiseuse, une vérité abstraite qui se conduit comme un vélo, harmonie en plein midi, le jeu ne vaut plus la chandelle, tout est pour le mieux, annonce sans parole, le vent attend dans un coin pour ne pas gêner le déroulement de la procédure d'accélération de sentiments exacts, une fois par ci par là, assumer la possibilité de partir sans bouger, une envolée statique dans la zone exacte de la joie, que dire de plus parfumé pour passer le message de la tranquillité passagère, cela n'arrive que de temps en temps quand toutes les conditions sont réunies, un axe de la terre, une lune brillante, un sceau d'eau, des larmes humides et le tour n'est pas joué, recommencer au point ici, attention, concentration, qui veut gagner son salut, partez, revenez, il est trop tard pour continuer, le soleil est trop haut pour marcher dessus, retrouvons-nous un de ces jours pour ne pas refaire la même chose, vous comprenez que la solution à vos problèmes n'existe pas, sauf si vous faîte un bout de chemin aléatoire parsemé d'embûches et ne comptez pas les coups, c'est à prendre ou à laisser, je vous conseille de laisser, il n'y a que vous qui pouvez partir, je ne peux le faire à votre place et si ça réussit, vous reviendrez seul, maintenant pour les autres, suivez-moi, aujourd'hui nous restons sans bouger pour ressentir son corps dans l'univers en mouvement, notre axe, lui, est stable, les deux pieds ancrés sur la terre, les yeux fermés, la bouche ouverte, les mains ouvertes, les bras le long du corps, respiration lente, un deux trois, sautez vers le ciel, merci à demain
vendredi 29 mai 2009
for the first time I was able to climb up the small Sea coast, it was a great effort for me because I had rather the habit of forming wishes without substance, then everything fell to the water, I realized that the substance was important if the sea is floating to the bottom should be stable, to put your eggs, get to the top without a single break, it was a victory over myself rather than the omelet that was up there on the mountain, then we dropped heaviest amount, but that does nothing, it's now five years since I remembered that one day I have been mounted at the top, but now I clamp to tell me that I did not dream, come on, shake you, you can reach your goal, it is a question of will, how you think that others have managed to pass, they did not ask permission, you think you do not, those who are already at the top blocking the doors, then proceed to break or need to go through the top, because there are individual it's almost at the angels, you swim in the happiness is not the cup of a cloud of property located on land, they are held tight like sardines to watch each other to see if y'en n ' not one has moved the ears, except that their ears they can not hear what happens at the top, you must have the heart, a big heart open to others and you go for montes top
pour la première fois j'ai pu monter jusqu'en haut de la petite côte de la mer, ce fut un gros effort pour moi, car j'avais plutôt l'habitude de former des voeux sans fond, alors tout tombait à l'eau, j'ai compris que le fond était important, si la mer est flottante le fond lui doit être stable, pour pouvoir y mettre ses oeufs, arriver jusqu'en haut sans en casser un seul, ce fut une victoire sur moi-même plus que sur l'omelette qu'on a fait là haut sur la montagne, après on est redescendu plus lourd qu'en montant mais en ne portant plus rien, ça fait maintenant cinq ans que je me suis souvenu qu'un jour j'ai pu monté en haut, mais aujourd'hui je me pince pour me dire que je n'ai pas rêvé, allez, secoues toi, tu peux atteindre ton objectif, c'est une question de volonté, comment crois tu que les autres ont réussi à passer, ils n'ont pas demandé la permission,tu penses qu'on ne la donne pas, ceux qui sont déjà en haut bloquent les portes, alors pour passer faut défoncer ou passer par en haut, parce que là y a personne, c'est presque chez les anges, on nage dans le bonheur, c'est pas la tasse de nuage des biens placés sur terre, ils se tiennent serrés comme des sardines à se regarder les uns les autres pour savoir si y'en n'a pas un qu'a bougé les oreilles, sauf que leurs oreilles elle peuvent pas entendre ce qui se passe en haut, il faut avoir du coeur, un gros coeur ouvert sur les autres et tu montes pour aller tout en haut
in a sense I am busy, but in another I am nothing, too bad I have a reason that the new is not there yet and that the former is well established, it is always the same problem The order is well-prepared for the rush it should not go there by force, but darker in the stuffing, style turkey or Christmas on the balcony, béarnaise sauce and andouille de Vire, about the rainy season Cherbourg umbrella in case, but all that I am not, I'm on my way to go far away, so no luggage, the trunk is empty so as not to alert Customs, I left the way open convertible through the rear, but it is in caps breath smells of petrol, even when the hood is good, you feel protected at home, missing the TV and slippers, but it will not lead, it there is a place where we are at home, you need a key to access and not on a hill, life is not a song that lasts two minutes, life is first responsibilities, thoughtful choice, a balanced life as a couple, at least one child who grows too fast, it is a minimum but we are not forced to stick to the image in any way we alone, no way to escape, people we see every day, you get used to them, then the love-in, where is it in the morning all the same, always in the evening the same, in the weekends always the same, and not, love is above us, we look from above, gently, it does not, then what is it to nothing, it means everything in the human language to say everything it means, big car, big salary, vacation in the Bahamas, not much actually, but nothing, it means respect, tenderness, openness, Wow!
dans un certain sens je suis occupé, mais dans l'autre je ne suis rien, tant pis je me fais une raison que le nouveau n'est pas encore là et que l'ancien demeure bien ancré, c'est toujours le même problème, l'ordre établi est bien structuré, pour le bousculer il ne faut pas y aller par la force, mais foncer dans la farce, style dinde farcie, ou Noël au balcon, sauce béarnaise et andouille de vire, volte la saison des pluies de Cherbourg en cas de parapluie, mais tout ça m'importe peu, je suis sur ma route pour aller loin, alors pas de bagage, le coffre est vide pour ne pas alerter les douaniers, je le laisse ouvert façon décapotable par l'arrière, c'est bien mais dans les bouchons on respire les odeurs d'essence, le capot quand même c'est bien, on se sent protégé comme chez soi, manque plus que la télé et les pantoufles, mais pour conduire ça va pas, il n'y a qu'un lieu où on est comme chez soi, il faut une clé pour y accéder et ce n'est pas sur une colline, la vie c'est pas une chanson qui dure deux minutes, la vie c'est d'abord des responsabilités, des choix mûrement réfléchis, une vie de couple équilibrée, au moins un enfant qui grandit trop vite, c'est un minimum mais on n'est pas forcé de coller à l'image, de toute façon on est seul, pas moyen d'y échapper, les gens qu'on voit tous les jours, on s'habitue à eux, alors l'amour l-dedans, où est-il, dans les matins toujours les mêmes, dans les soirs toujours les mêmes, dans les week-ends toujours les mêmes, et bien non, l'amour est au-dessus de nous, il nous regarde d'en haut, gentiment, il n'intervient jamais, alors à quoi sert-il, à rien, ça veut dire tout, dans le langage humain quand on dit tout ça veut dire, grosse bagnole, gros salaire, vacances au Bahamas, pas grand chose en fait, mais rien, ça veut dire regard, tendresse, ouverture, ouah!
to meet him at least two people, that is the problem often is that one and a half, how can we communicate in these circumstances, it lacks a half failure, no connections, no need of try to repair, it takes decades to someone, and as time flies, I can stop over in relationships lost in advance, to me I am looking for real encounters, but only verbal the flesh does not interest me to exchange it is necessary to speak and listen, it's difficult art in the sense we find few people who is at the same level, I do not want to sound elitist, I do not hold the truth I'm just not on a busy road, I walk alone without despair, I do not know why I know I'm going in the right direction, it makes me happy, happiness lightweight, easily transportable, I took him everywhere I happening, even in shadow areas where anxiety and fear take over, it never lasts very long, happiness had put in my pocket while waiting for better days and again flooded the path of light, all that happens in my brain every second, joy, little anxiety, happiness, follow each other at high speed at the end of the day we do the accounts, I won the opportunity to play tomorrow night heureusement c It is a stop sign, driving is nothing to see, the dream is over,
pour se rencontrer il faut au moins deux personnes, c'est là tout le problème, souvent on est que un et demi, comment peut on communiquer dans ces conditions, il manque une moitié, échec, pas de connections, pas la peine d'essayer de réparer, ça prend des décennies pour faire quelqu'un, et comme le temps passe vite, je ne m'arrête plus dans des relations perdues d'avance, moi j'avance à la recherche de rencontres véritables, mais uniquement verbale, la chair ne m'intéresse pas, pour échanger il faut parler, et écouter, c'est art difficile dans le sens, on rencontre peu de gens qui soit au même niveau, je ne veux pas paraître élitiste, je ne détiens pas la vérité, je suis simplement sur un chemin pas fréquenté, je marche seul sans désespérer, je ne sais pas pourquoi je sais que je vais dans la bonne direction, ça me rend heureux, un bonheur léger, facilement transportable, je l'emmène partout où je passe, même dans les zones d'ombre où l'angoisse et la peur prennent le dessus, ça ne dure jamais très longtemps, le bonheur s'était mis dans ma poche en attendant des jours meilleurs et le revoilà inondant le chemin de lumière, tout ça se passe dans mon cerveau à chaque seconde, joie, peu, angoisse, bonheur, se succèdent à vive allure, à la fin de la journée on fait les comptes, j'ai gagné la possibilité de rejouer demain, heureusement la nuit c'est un stop, circulez y a rien à voir, le rêve prend le relais,
one day I will be one, yet I am 235, it means 235 so as to meet the unknown, I was much before, but experience and taste of regular advance allowed me to win points, it has taken years but I am happy to be there come at a delicate time for me, I'm trying to change the skin, not quite like a snake, but rather to inside me, a change in place of my molecules, it seems that it is normal, but when we saw him, it is surprising, is it a necessary step to go on to perfect unity, it is difficult to say living in the moment, but I want good, I will not stop now, it would be too stupid, when I look all the way through, but what would happen, I do see more is as if I were born today, I'm new, but for how long, I'll be every day or even every hour, I like this uncertainty, a change of bine before where I was wedged between my position in the past and the future, some nostalgic and then getter, has a style on life, and then again nostalgia, I was in the middle and I did not move I knew in advance that period did not last, now I know when I saw that I'm here, I do not care that I'm here tomorrow, it's now that counts, in the Emergency quiet drive towards the sky, the immensity of space hosts my excess energy, it allows me to live with others without wishing to do evil in return they are nice to me, it ' is happiness on earth
un jour je serai un, pour le moment je suis 235, ça veut dire 235 façon de répondre à l'inconnu, j'étais beaucoup plus avant, mais l'expérience et le goût de l'avance régulière m'ont permis de gagner des points, ça m'a pris des années mais je suis content d'en être arrivé là, à un moment délicat pour moi, je suis en train de changer de peau, pas tout à fait comme un serpent, c'est plutôt à l'intérieur de moi, un changement de place de mes molécules, il paraît que c'est normal, mais quand on le vit, c'est surprenant, est-ce une étape nécessaire pour aller ensuite vers l'unité parfaite, c'est difficile à dire en vivant le moment, mais je tiens bon, je ne vais pas m'arrêter maintenant, ça serait trop bête, quand je regarde tout le chemin parcouru, mais que se passe-t-il, je ne le vois plus, c'est comme si j'étais né aujourd'hui, je suis nouveau, mais pour combien de temps, vais-je être nouveau tous les jours, ou même toutes les heures, j'aime bien cette incertitude, ça change d'avant où j'étais bine calé dans ma position entre la passé et l'avenir, un coup nostalgique et puis après fonceur, style on a qu'une vie, et puis à nouveau nostalgie, j'étais au milieu et je ne bougeais pas, je savais à l'avance qu'une période ne durait pas, aujourd'hui je sais pendant que je le vis que je suis là, peu m'importe que demain je sois ici, c'est maintenant qui compte, dans l'urgence calme de la pulsion dirigée vers le ciel, l'immensité de l'espace accueille mon trop plein d'énergie, ça me permet de vivre avec les autres sans vouloir le faire du mal, en retour ils sont gentils avec moi, c'est le bonheur sur terre
the wait is long but I am ready, it does me no spend days, I did not choose to be there, or here, I do not move without my bag, as they say the case is in the bag, I do not know what case it is, but do not lose this chance to discover it, I walk by singing in my head, I do not want to be heard by the people it goes well in general, despite the urge to hang myself that I took when suddenly everything went well, from where comes this kind of thinking, I have a good life, days after another is a little However, what happens to have more freedom, and do not say that too much freedom kills freedom, I am aware of my happiness on, perhaps is the problem, the more I am in the least I live openly, I calculate the times to not take at the end of the day I'm exhausted, it is quite silly when players do not know themselves, random encounters, they try to break the carapace of the neighbor, if the chance their smiles they fall on someone and it left open for the descent into hell, the end of the party, my experience and I have to protect myself, finally when I say my experience, I'm exaggerating, I've seen in others, I fortunately I'm still in withdrawal, I never saw nothing, I expect the evening falls and the pressure as I am empty a bathtub that has not overflowed, it leaves in the morning, the water level rises again, will he reach the zone of tolerance, the destructive flood of feelings, the hours go by, nothing to horizon,
l'attente est longue mais je suis prêt, ça ne me fait rien de passer des jours, je n'ai pas choisi d'être là, ou plutôt ici, je ne me déplace jamais sans mon sac, comme on dit l'affaire est dans le sac, je ne sais pas de quelle affaire il s'agit, mais pour ne pas perdre cette chance de le découvrir, je me promène en chantant dans ma tête, je n'ai pas envie d'être entendu par les gens, ça se passe bien en général, malgré l'envie de me pendre qui me prend soudainement alors que tout allait bien, d'où me vient ce genre de pensée, j'ai une vie agréable, les jours s'enchaînent bien un peu, mais que faire pour avoir plus de liberté, et ne dit-on pas que trop de liberté tue la liberté, je suis conscient de mon bonheur relatif, c'est peut-être ça le problème, plus j'avance dans la vie moins je vis ouvertement, je calcule les coups pour ne pas en prendre, à la fin de la journée je suis épuisé, c'est un jeu idiot où les joueurs ne se connaissent pas eux-mêmes, au hasard des rencontres, ils essayent de percer la carapace du voisin, si la chance leur sourit ils tombent sur quelqu'un d'ouvert et c'est parti pour la descente aux enfers, fin de la partie, c'est mon expérience et je suis bien obligé de me protéger, enfin quand je dis mon expérience, j'exagère, je l'ai vu chez d'autres, moi heureusement je suis toujours en retrait, je ne vis jamais rien, j'attends que le soir tombe, et la pression aussi, je me vide comme une baignoire qui n'a pas débordé, le matin ça repart, le niveau de l'eau monte à nouveau, va-t-il atteindre la zone de dépassement, l'inondation des sentiments destructeurs, les heures passent, rien à l'horizon,
for love not bother to say that the subject is real action, just think that the fate of half updated corresponding to the time of justice, then the truth is a bad quarter of an hour, lie is the basis of love, lie to live together, a test that does not lack light or cross words that mean nothing except for those who do not love, that's how we recognize people who 'love, not at all because they kiss, too easy, is when we see them talk while they are couples for too many years to be drawn into the meadow of joy wet, the years have past and the soil is dry, no flowers grow, but in the distance, lost in the sad and sorry, that breathes a cross salvation, of course, this vision is not available earlier in the day, afternoon when we move from mere simplicity, the violent mystical body sink into the flesh could, at that moment, the light penetrates the wall, beyond the flesh he sees everlasting happiness, love passing the couple prepares to leap over the old couple is more it stands out for humans, because what he saw is not accessible from the outside, this is the paradox of life, this experience of children leads to salvation of the soul is reflected in the days that pass without difference, we know that Monday is Tuesday, but if we look more closely at the newspaper is unique is a piece that can not be separate, it allows to move from point A to point B,
pour aimer pas la peine de dire que le sujet est en action véritable, il suffit de penser que le sort actualisé de la moitié correspondante est à l'heure de la justice, alors la vérité passe un sale quart d'heure, mentir est à la base de l'amour, mentir pour vivre ensemble, un essai qui ne manque pas de regard de travers ou bien de mots qui ne veulent rien dire sauf pour ceux qui ne s'aiment pas, voilà à quoi on reconnaît les gens qui s'aiment, pas du tout parce qu'ils s'embrassent, trop facile, c'est quand on les voit parler alors qu'ils sont couples depuis trop d'années pour être attirés dans la prairie de la joie humide, les années ont passé et la terre est sèche, plus aucune fleur ne pousse, mais au loin, perdu dans l'espace triste et désolé, une croix qui respire le salut, évidemment cette vision n'est pas accessible plus tôt dans la journée, c'est après midi quand on passe de la simplicité simple, à la mystique violente des corps qui s'enfoncent dans la chair pourrissante, à ce moment là, le regard perce la muraille, au delà de la chair il entrevoit le bonheur éternel, l'amour qui passe dans le couple prépare au grand saut, plus le couple est ancien plus il se détache des humains, car ce qu'il vit n'est pas accessible de l'extérieur, c'est le paradoxe de la vie, cette expérience qui mène de l'enfance au salut de l'âme se concrétise en jours qui passent sans différence, on sait que lundi est avant mardi, mais si on regarde de plus près le quotidien est unique, c'est un morceau qu'on ne peut séparer, il permet d'avancer du point a au point b,
mercredi 27 mai 2009
achieve the goal, is not the oral solution in human history, one tablespoon is enough to sweeten the coffee, so why try to climb to the top of the mountain, I agree when it comes to the around the issue, we must accelerate the descent in failing to remain blocked at customs, flying on rainy days, but that's another story, what am today without me up concern, slightly open in any position, patiently outside the scope, speed is first, she spent her bac next year, since I am the father, since the first day to last, you can not choose, it's like that, love does not command as a bib at noon, love is all life, in a constant pressure, nothing to pay, but it is not free, it pays in the sense that advance magnet agree you can not choose to love but we can agree to open up large, this choice is total freedom, you can choose a quarter or half, depending on Otherwise, accept his weaknesses, renounce force that leads to the possession, watching patiently as the flower opens to the sun, love blossoms in truth, in front of oneself is not cheating, if we this momentum can live with others, then it is dead, man is not taking off the land, it digs its hole, not worth to exceed the limit, it falls into the hole in the neighbor, the days that are used 'to wear, to finish well done to stop the transition to clean, how the animals as we can imagine that one day we may be otherwise, it would mean that the brain can record an improvement, but how to access
atteindre le but, n'est ce pas la solution buvable dans l'histoire humaine, une seule cuillère suffit à sucrer le café alors pourquoi essayer de monter en haut de la montagne, je suis d'accord quand il s'agit de faire le tour de la question, encore faut-il accélérer dans la descente sous peine de rester bloqué à la douane, volante les jours de pluie, mais c'est une autre histoire, ce qui m'occupe aujourd'hui sans aller jusqu'à me préoccuper, légèrement accessible dans toutes les positions, patience en dehors du cadre, la vitesse est en première, elle passe son bac l'année prochaine, depuis je suis père, depuis le premier jour et jusqu'au dernier, on ne choisit pas, c'est comme ça, l'amour ne se commande pas comme une bavette à midi, l'amour c'est toute la vie, dans une pression constante, rien à payer, mais ce n'est pas gratuit, c'est payant dans le sens qu'on avance en aimant, d'accord on ne choisit pas d'aimer mais on peut accepter de s'ouvrir en grand, ce choix est en totale liberté, on peut choisir un quart ou la moitié, ça dépend de quoi, accepter ses faiblesses, renoncer à la force qui pousse à la possession, regarder patiemment, comme la fleur s'ouvre au soleil, l'amour s'épanouit en vérité, en face de soi-même on ne triche pas, si on peut vivre cet élan avec les autres, alors on est mort, l'humain ne décolle pas de la terre, il y creuse son trou, pas la peine de dépasser la limite, on tombe dans le trou du voisin, les jours ne servent qu'à s'user, pour finir bien cuit, étape indispensable au passage vers la pureté, comment des bêtes comme nous pouvons imaginer qu'un jour on puisse être autrement, cela voudrait dire que le cerveau peut enregistrer une évolution, mais comment y accéder
increased quarantine, all bound to end, parents are old, the child almost teenagers, and me in there I can breathe faster than twenty years, the heart races, the pressure increases, should I descend to the cave or climb to the attic, do I watch the stars without fear that they fall over me, am I able to dream out loud, hoping that the answer is not a hamburger with onions, I mix my ideas in a salad dressing, oil for the sun, vinegar for acidity and a hint of butter, which reminds me of my childhood when I did get my sandwich on the wrong side, it counts for nothing you say, but my position is exactly opposite to Neptune, it's normal position, ask the astronomers, each planet to exact position in space, one centimeter and the planets are distant as was my grandmother when I decide to be secure in place with respect to Neptune, it changes nothing in my life, just know that I am placed, I do not care that the place is distant and cold because the destiny of the human is to spend an eternity in the cold then it is better to know now that the exact location for me always, more than a few years to know what side of the planet I'm going to your house, then I will be gas and not senile, forever, more consciousness, more unconscious, a system that no longer exists, the gas that turns on itself without idea of lust or ambition to possess a body cast well and not too old, may or may not be is the question, or after, the only question after living
passée la quarantaine, tout fout le camp, les parents sont vieux, les enfant presque adolescents, et moi là dedans je respire plus vite qu'à vingt ans, c'est le coeur qui s'emballe, la pression augmente, faut-il que je descende à la cave ou monter au grenier, dois-je regarder les étoiles sans peur qu'elles me tombent dessus, suis-je capable de rêver tout haut en espérant que la réponse ne soit pas un hamburger aux oignons, je mélange mes idées dans une vinaigrette, de l'huile pour le soleil, du vinaigre pour l'acidité et une pointe de beurre qui me rappelle mon enfance quand je faisais tomber ma tartine du mauvais côté, ça compte pour du beurre me direz-vous, mais c'est exactement ma place face à Neptune, c'est normal de se positionner, demandez aux astronomes, chaque planète à une place exacte dans l'espace, au centimètre près et toute les planètes sont distantes comme l'était ma grand-mère, alors moi je décide d'être en place bien calée par rapport à Neptune, ça ne change rien dans ma vie, je sais simplement que suis placé, peu m'importe que la place est lointaine et froide car le destin de l'humain est de passer une éternité dans le froid alors mieux vaut savoir dès maintenant l'endroit précis qui m'accueille pour toujours, plus que quelques années avant de savoir sur quelle face de la planète je vais m'installer, alors je serai gazeux et pas gâteux, à jamais, plus de conscience, plus d'inconscient, un ensemble cohérent qui n'existe plus, du gaz qui tourne sur lui-même sans idée d'ambition ou de convoitise de posséder un corps bien moulé et pas trop vieux, être ou ne pas être n'est plus la question, où être après être, c'est la seule question après avoir vécu
the course is in me, miles of questions, each junction an answer in the form of an accident of life, life stops here, I begin to understand the sense of immediate vision, no thought cross central silent majority to put forward in good order, not in a vacuum, preparation of the second foot, unstable equilibrium, the urge to laugh in the cage for me in seeing me trying to get out, what more fun than seeing a man take the wax to stick his wings, Icarus since no evolution, dreamer donquichotte are also hot as blood, unable to hurt interest, the idea is great but the little man, what to do with his gut when the eyes are turned towards the moon, the stomach does no magic, it mechanically digests food that did not air, all that weighs on the vision, over the years it is increasingly heavy, the brain is full rabord he leans toward the hole, it is finished, place newborns that will be done, running in place, the human is unable to step back, it is open inside, his body is drawn towards the earth when the mind sees the sea, the original place of life long ago abandoned in favor of the feet that gave men more freedom than 'water water they said, dissatisfied with bubbling, it took two million years, and one day was a Tuesday, a fish out from under his scales hairy legs, coming from who knows where is the dark side of the monitor being who thinks his life while his brain is an important part even fish with legs and we intend to link the extremes in words, human folly
le parcours est en moi, des kilomètres de questions, à chaque carrefour une réponse, en forme d'accident de la vie, la vie s'arrête donc ici, je commence à comprendre le sens premier de la vision immédiate, aucune pensée transversale, direction centrale à majorité silencieuse, avancée en bon ordre, un pas dans le vide, préparation du deuxième pied, équilibre instable, l'envie de rire à l'intérieur de la cage me prend en me voyant essayer d'en sortir, quoi de plus drôle que de voir un humain prendre de la cire pour coller ses ailes, depuis Icare aucune évolution, les rêveur sont aussi donquichotte que sang chaud, incapables de faire du mal par intérêt personnel, l'idée est grande mais l'homme petit, que faire de ses boyaux quand les yeux sont tournés vers la lune, l'estomac ne voit rien de magique, il digère mécaniquement des aliments qui n'ont rien d'aérien, tout cela pèse sur la vision, au fil des années c'est de plus en plus lourd, le cerveau est plein à rabord, il penche vers le trou, ça y est c'est fini, place aux nouveau-nés, que vont-il faire, du sur place, l'humain est incapable de prendre du recul, il est en plein dedans, son corps l'attire vers la terre quand son esprit voit la mer, le lieu originel de la vie depuis longtemps abandonné au profit des pieds qui ont donné aux hommes une plus grande liberté, que d'eau que d'eau disaient-ils, insatisfaits de barboter, cela prit deux millions d'années, et un jour, c'était un mardi, un poisson à sorti de dessous ses écailles des pattes velues, venues d'on ne sait où, c'est la part d'ombre de l'être qui pense contrôler sa vie alors que dans son cerveau une partie importante est encore poisson avec des pattes et nous prétendons relier les extrêmes dans des mots, folie humaine
mardi 26 mai 2009
green meadow surrounded by chestnut trees, a history of listening to the birds princess, this is all that remains of my youth, all the rest to the dump, each passing day, tons of looks, emotions, gestures, accumulate and grow into the substance of the tender images of my childhood, it seems that at a certain age on the machine backwards and all that is basically coming to the surface, it's time to write memories at the risk of disconnecting from the now hard to come and go between yesterday and today, indeed the most beautiful people in the age of daily life too busy to reach out to their neck past life above all, in a present ébouriffantes hour clash in a tumult of conflicting pressures, how to put a search of quiet which has pushed 60 years ago today, a thousand fires burning, it becomes virtual, it is far from negative that developed in his bathroom, now the computer with the ambition to do as well as humans, but be able one day put on his slippers outside when the winds of the fall sweeps the dark streets, I begin to be nostalgic when I see the technical evolution towards the satisfaction of needs which we populate superficial brain like spiders tending their nets, we are the victims of the machines, are not we already trapped mobile phones, dvd players in cars and computers that connect to the Internet over the air, without interruption, at home and everywhere else, has the potential to be activated, where is the wandering nose to the wind, forgetfulness of self, anonymity in the crowd without a device that scrambles the brain
une prairie verte entourée par des troncs marrons, une histoire de princesse écoutant les oiseaux, voilà tout ce qui me reste de ma jeunesse, tout le reste à la benne, à chaque jour qui passe, des tonnes de regards, d'émotions, de gestes, s'accumulent et poussent vers le fond les tendres images de mon enfance, il paraît qu'à un certain âge on renverse la machine et tout ce qui est au fond arrive à la surface, c'est le moment d'écrire ses mémoires au risque de se déconnecter du présent, difficile de faire le va et viens entre hier et aujourd'hui, d'ailleurs les gens du plus bel âge de la vie ont un quotidien trop occupé pour tendre la cou vers leur passé, la vie avant tout, dans un présent ébouriffant les heures s'entrechoquent dans un tumulte de pressions contradictoires, comment caser une recherche tranquille de ce qui a bousculé 60 ans auparavant, aujourd'hui brûle de mille feux, ça devient même virtuel, on est loin des négatifs qu'on développait dans sa salle de bain, aujourd'hui l'ordinateur à l'ambition de faire aussi bien que l'humain, mais pourra-t-il un jour chausser ses pantoufles quand dehors le vent de l'automne balaye les rues sombres, je commence à être nostalgique quand je vois l'évolution technique tournée vers la satisfaction de besoins superficiels qui nous encombrent le cerveau comme des araignées tendant leurs filets, seront nous les victimes des machines, ne sommes nous pas déjà pris au piège des téléphones portables, des lecteurs dvd dans les voitures et des ordinateurs qui se connectent sur internet par les ondes, sans interruption, chez soi et partout ailleurs, on a la possibilité d'être activé, où est l'errance le nez au vent, l'oubli de soi, l'anonymat dans la foule sans appareil qui brouille le cerveau
Tomorrow I agree, it does not cost me to say that since I talk to myself, I might as well tell me what I want and I promise wonderful things, because they agree not nothing, in agreement with what first be agreement on a rope, that's difficult, it is often the side in a vacuum, the impression is vital, but the pig hanged, then for me to relax I passes to the mill of the riddle, who am I, where am I going when this is why this short, I do the tour that I'm not incorporating bits of sausage, the result is brilliant I'm surprised the first, but the second is hard of hearing, I must repeat several times before they go to the public, it is a great emotion for me, but passers them spend their way, it allows but to be free to do what you want, you can not sing, walk by lifting the arms, to kiss a pretty girl, hug a traffic light, saying, goes green, I do not like oranges, at the end of the day I'm tired and I must admit that the urge to go to bed is big enough to give him permission to spend the night with me, but in fact I am alone in my bed, I have not yet found an opportunity with the option to end the day next to me in bed, I did not quite understand, do I also have the option to take a romantic stroll by the lake, because me the afternoon I go to the library, so it will not be possible to do everything, so I prefer to stay alone, anyway I'm tired of talk time
demain je suis d'accord, ça ne me coûte pas de dire ça puisque je me parle à moi-même, je peux bien me dire ce que je veux et me promettre des choses merveilleuses, car être d'accord ce n'est pas rien, d'accord avec quoi d'abord, être en accord, sur une corde, ça c'est difficile, on est souvent à côté dans le vide, l'impression est vitale mais le cochon pendu, alors pour me détendre je me passe à la moulinette de la devinette, qui suis-je, où vais-je, quand est-ce, pourquoi ça, bref je fais le tour de ce que je ne suis pas en y incorporant des bouts de saucisses, le résultat est brillant, j'en suis étonné le premier, mais le deuxième est plus dur d'oreille, je dois répéter plusieurs fois avant de passer devant le public, c'est une grande émotion pour moi, mais les passants eux passent leur chemin, ça permet d'être libre mais de faire ce qu'on veut, on ne peut pas chanter, marcher en levant les bras, embrasser une jolie fille, enlacer un feu tricolore en lui disant, passe au vert, je n'aime pas les oranges, à la fin de la journée je suis fatigué et je dois reconnaître que l'envie de me coucher est assez grande pour lui donner l'autorisation de passer la nuit chez moi, mais en fait je suis seul dans mon lit, je n'ai pas encore trouvé l'occasion avec l'option fin de journée à côté de moi dans le lit, je n'ai pas très bien compris, faut-il que je prenne aussi l'option balade en amoureux au bord du lac, parce que moi l'après midi je vais à la bibliothèque, alors ça va pas être possible de tout faire, alors je préfère rester seul, de toute façon ça me fatigue de parler longtemps
in anticipation of age I am young in body and spirit, but in fact, is there a specific day from youth to old age, I have the impression to remain, but perhaps that it is the others who see me at the bend in a corner who can say, want a man who tries to look young, or what age can it be, it is no longer young, but something released him without age, but this information we did not, there are at most in the view of his mother or wife, you have grown a little, right? and images of family gatherings do not say much more, I see a drink in hand, the figure distorted by a smile for a picture made, it is not my real personality, that I win every passing day, that's why I will not be aging, I seek constantly the idea that I would be happy to pounce, like a child can do it, but for me that went beyond half of the Life expectancy is different, I built my desire to hold standing unless I continue in life with strength and tenacity I spend time to develop this technique accompanying pleasure, when the want appears, I give him a reality which does not disappoint because it is safe to say that desires are rarely followed up, envy of ice at the North Pole, about a beautiful blonde as I am married with my system I wish the situation in a state of hypnosis, it only takes a few seconds, but the impression of going after his dream and wakes up when it is not surprising to find there where we were before, because in the eyes fleet still image of a reality without
dans l'attente de vieillir je suis jeune de corps et d'esprit, mais au fait, y a-t-il un jour précis pour passer de la jeunesse à la vieillesse, j'ai l'impression de rester au niveau mais peut-être que ce sont les autres qui me voient au détour d'un angle de rue qui peuvent dire, tiens un monsieur qui essaie de paraître jeune, ou alors, quel âge peut-il avoir, il n'est plus tout jeune mais quelque chose en lui le fait paraître sans âge, mais cette information on ne l'a pas, on dispose tout au plus de l'avis de sa mère ou de sa femme, tu as un peu grossi, non? et les images des fêtes de famille ne disent pas grand chose de plus, on me voit un verre à la main, la figure déformée par un sourire fabriqué pour la photo, ce n'est pas ma vraie personnalité, celle que je gagne à chaque jour qui passe, c'est pour ça que je ne vieillis pas, je cherche en permanence l'idée qui me fera bondir de plaisir, comme un enfant peut le faire, mais pour moi qui suis passé au delà de la moitié de l'espérance de vie, c'est différent, je construit mon envie pour qu'elle tienne debout sans que je la maintienne en vie, avec force et ténacité je passe du temps à mettre au point cette technique d'accompagnement du plaisir, quand l'envie apparaît, je lui donne une réalité qui ne déçoit pas, car on peut dire sans se tromper que les envies sont rarement suivies d'effet, envie d'une glace au pôle nord, envie d'une belle blonde alors que je suis marié, avec mon système je rêve la situation dans un état d'hypnose, ça ne dure que quelques secondes, mais on l'impression d'aller au bout de son rêve et quand on se réveille on ne s'étonne pas de se retrouver là où on était juste avant, car dans les yeux flotte encore l'image d'une réalité sans contrainte
without known birth is impossible, we must live to know that happiness comes in small quantities, the turning of a thought, I'm happy, it does not last but it allows you to cope when anxiety about the terrace light to move, no, we must remain in the meantime, if you forget it is, nothing exists, is screwed on, the body still breathing, then a step to the other humans continues to without believing in advance, but the weight of habit is monstrous, it crushes the dreams in its wake, the god who says we did yesterday, we'll do it tomorrow, without knowing why, but n is not lost, not just the lost, just before taking the train, a new destination, the train is more routine, the process of life, prior to the unknown, Where am I going, I can not see the rails towards the first corner, then on file in the west, towards the mother who gives birth, the vast liquid swallows boats and tourists in the Maldives, water furious that humans can not be a drop that would be the sea without the drops, which make billions a mass, but man, he is alone he can not do with other body, not the same milieu, they feel bad, man has a mother, sharing not possible as the drops that make the Mediterranean Sea, which are the Pacific Ocean, a single mother for billions of drops, then I am alone count the drops that fall from the sky, one father for all these drops, the sea and sky come together to make holiday and the storm
connaître sans naître est impossible, il faut vivre pour savoir que le bonheur existe en petite quantité, au détour d'une pensée, je suis heureux, ça ne dure pas mais ça permet de tenir le coup quand l'angoisse terrasse l'envie légère de passer, non, il faut rester dans l'attente, on oublie si c'est bien, plus rien n'existe, on est foutu, le corps respire quand même, alors un pas devant l'autre l'humain continue d'avancer sans y croire, mais le poids de l'habitude est monstrueux, il écrase les rêves sur son passage, c'est le dieu qui dit, nous l'avons fait hier, nous le ferons demain, sans savoir pourquoi, mais tout n'est pas perdu, justement les pas perdus, c'est juste avant de prendre le train, une nouvelle destination, ce n'est plus le train train quotidien, c'est le train de la vie, en avant vers l'inconnu, où vais-je, je ne peux voir les rails que vers le premier virage, ensuite on file à l'ouest, vers la mère qui enfante, l'immensité liquide qui engloutit les bateaux, les touristes aux Maldives, de l'eau furieuse de voir l'humain incapable d'être une goutte, que serait la mer sans les gouttes, des milliards qui font une masse, mais l'humain, lui, est seul, il ne peut pas faire corps avec les autres, pas du même milieu, ils sentent mauvais, l'humain n'a qu'une mère, pas partage possible comme les gouttes qui font la mer méditerranée, celles qui font l'océan pacifique, une seule mère pour des milliards de gouttes, alors je suis seul à compter les gouttes qui tombent du ciel, un seul père pour toutes ces gouttes, la mer et le ciel sont unis pour faire des vacances ou de la tempête
dimanche 24 mai 2009
it is astounding to see that youth is not what it was, because I am no longer that I was, my youth is party elsewhere, as opposed to my eyes fixed on the future time to realize this problem, I could not arrange the time, so fatal, I do not call, the curve of hope crashed in the desert, my thirst for knowledge becomes a gaping hole of human stupidity, I'm trapped in stupid relationships on the altar of good mine in all circumstances, I am going to fine-tooth comb to find the reasons for this failure is made, self-analysis is limited , whole of my personality are hidden from my sight, I can not turn my gaze on me as a foreigner can do it, someone I meet on the street knows more about me than I am that I live for forty years , a so-called light-related accident pierces me in the depths of my being, no defense can stop it, but it does not stop, it goes to a dirt left corner of the street by a dog a hours earlier, the immediate reflection of light, those dogs, masters, modern, before a dog in the city was possible, today is the war-dogs to poop in short, for me, who believed to be Contact an extra sensory communion, I do, despite that, the simple and vulgar manifestation of self-interest for something views and no interest other than the lowest level of society, I see I think I forget, I spoke in another company because I was suddenly struck by talking about a dog that had bitten, and then dog poop
c'est renversant de voir que la jeunesse n'est plus ce qu'elle était, car je ne suis plus celui que j'étais, ma jeunesse est partie voir ailleurs, à l'opposé de mon regard fixé sur l'avenir, le temps de m'apercevoir de ce problème, je ne pouvais plus arranger le coup, fatal pour ainsi dire, je ne m'en remets pas, la courbe de l'espérance s'écrase en plein désert, ma soif de connaissance devient un trou béant de bêtise humaine, je suis pris au piège de relations stupides sur l'autel de la bonne mine en toutes circonstances, je me passe au peigne fin pour trouver les raisons de cet échec, mis voilà, l'auto-analyse est limitée, des pans entiers de ma personnalité sont cachés à ma vue, je ne peux tourner mon regard sur moi comme un étranger peut le faire, quelqu'un que je croise dans la rue en connaît plus sur moi que moi qui me vit depuis quarante ans, un regard soit disant lié au hasard me transperce au plus profond de mon être, aucune défense ne peut l'arrêter, mais il ne s'arrête pas, il va jusqu'à une crotte laissée au coin de la rue par un chien une heure plus tôt, réflexion immédiate du regard, ces chiens, ces maîtres, modernité, avant un chien en ville c'était possible, aujourd'hui, c'est la guerre aux caca-chiens, bref, pour moi, qui croyait être au contact d'une communion extra sensorielle, je n'assistais, dépité, qu'à la manifestation simple et vulgaire de l'intérêt égoïste pour des choses vues et sans intérêt autre que le plus bas niveau de la vie en société, je vois, je pense, j'oublie, j'en parle en société parce qu'un autre m'a soudainement percuté en parlant d'un chien qui l'avait mordu, et les caca chiens alors
in the national currency, the monkey is high, in May I'm not like to spend my pay objects, it is better to breathe clean air, so we can enjoy a spring satisfaction olfactory noncondensing exaggerated this is how I manage to stay worthy of my trust with restraint on my immediate life, but it does not bother me, I am convinced that this is the last chance to resolve his daily mood a serene afternoon hours before the idiot to do nothing else, it's crazy time wasted to seek what I'll do, but is it really missing time to achieve the main objectives without go to the moon, but moving around the world of certainty without doubt, a four-leaf clover, or a highway without air rest, doubt there is an irreducible small dose, but high dose, it remains an unknown, what am I able to resolve the immediate seconds, nothing, it has already passed, I remained there with the seconds that followed the movement, was it with the first violins, not the drum in my head, the big blows to the décorner cocus, turn the flesh to the mill of fidelity, not orange, the strange is everywhere, a traffic light, a colander with holes, where did I the head is Wednesday today, yesterday was Tuesday, it makes me a good leg, the other I cache, it happens this Thursday, not bother to hurry, love is eternal, for always, forever, forever, forever, always current, my body is thirsty, all these bodies are close to me, will they at once through me,
dans la monnaie nationale, le singe est fort, mai moi je ne suis pas du style à dépenser pour me payer des objets, il vaut mieux respirer de l'air pur, alors on peut savourer un satisfaction immédiate à ressort olfactif sans condensation exagérée, c'est comme ça que j'arrive à rester digne de ma confiance avec retenue immédiate sur mon espérance de vie, mais ça ne me dérange pas, je suis convaincu que le présent est l'ultime chance de régler son quotidien sur l'ambiance sereine d'une après-midi avant l'heure idiote de ne rien faire d'autre, c'est fou le temps perdu à chercher ce que je vais faire, mais est-ce vraiment du temps manquant à la réalisation des objectifs principaux sans aller sur la lune, mais en faisant le tour du monde de la certitude sans aucun doute, un trèfle à quatre feuille, ou une autoroute sans air de repos, le doute existe, c'est un fait incompressible à petite dose, mais à grande dose, il reste une inconnue, que suis-je capable de résoudre à la seconde immédiate, rien, elle est déjà passée, moi je reste là en compagnie des secondes qui ont suivi le mouvement, était-ce le premier avec les violons, non le tambour dans ma tête, des grands coups à décorner les cocus, passons la chair à la moulinette de la fidélité, pas de quartier d'orange, l'étrange est partout, un feu tricolore, une passoire à trous, où avais-je la tête, c'est mercredi aujourd'hui, hier c'était mardi, ça me fait une belle jambe, l'autre je la cache, elle arrive ce jeudi, pas la peine de se presser, l'amour est éternel, pour toujours, à jamais, à toujours, pour jamais, cours toujours, mon corps à soif, tous ces corps qui me frôlent, vont-ils d'un seul coup me traverser,
jeudi 21 mai 2009
sometimes it goes into the background, loss of values, irony superb holiday in Normandy, and I am a box, it is ugly but it's still a woman, then I close my eyes to breathe the air of the sea, is a renaissance in water belly I fed, no bread buttered, the vomit digested well, many years after I learned to love transit downwards, in water blue leads to the collector of waste water, which was in me was dirty, so that the distance as in the penal colony of Cayenne, in my body is disgusting, yet I try to be clean to outside, although the eye is dirty too, I see the other side by the small, the slight contempt, me first, the other in a pack of ten, in box billion package of flesh, but flesh attractive individually, it takes shape in the privacy of brutal body stuck in rush hour, the sweat accumulated since the morning takes me by the throat, it's summer, the bare shoulders are a call to the prey the hunter, but because the monitor carefully the flesh is sad, desire falls rapidly in the knowledge, it was light it gets ugly, the pleasure took off, not that the idea remains attached to the light, oh you I had loved, who you knew, but the rush to get out, fresh air, cooler entering my brain, I was lost, I am able to love, respect others so we love, love, good love, I see you as someone they can love, in truth, then us, it was a light that I want to forget, I am capable of love, know it, I suggest, it's true
parfois ça va, dans le décor, perte des valeurs, ironie superbe, vacances en Normandie, et j'avance d'une case, elle est moche mais c'est quand même une femme, alors je ferme les yeux pour respirer l'air de la mer, c'est une renaissance, dans l'eau du ventre je me nourris, pas de tartine beurrée, du vomis bien digéré, bien des années après j'ai appris à aimer le transit vers le bas, dans l'eau bleue qui mène au collecteur d'eau usée, ce qui était en moi, était sale, pour qu'on l'éloigne comme au bagne de Cayenne, dans mon corps c'est dégueulasse, pourtant j'essaye d'être propre à l'extérieur, quoique le regard est sale aussi, je vois les autres par le petit côté, celui du mépris léger, moi d'abord, les autres en paquet de dix, en boîte de milliard, des paquets de chair, mais une chair attirante, individuellement, elle prend forme dans l'intimité brutale des corps collés à l'heure de pointe, la sueur accumulée depuis le matin me prend à la gorge, c'est l'été, les épaules dénudées sont un appel de la proie vers le chasseur, mais la raison surveille, attention la chair est triste, le désir tombe rapidement dans la connaissance approfondie, c'était léger ça devient sordide, le plaisir s'est envolé, ne reste que l'idée attachée au regard, ô toi que j'eusse aimé, toi qui le savais, mais c'est la ruée pour sortir, de l'air frais, plus frais qui entre dans mon cerveau, j'étais disparaît, je suis capable d'aimer, respecter l'autre à tel point qu'on aime, amour, bel amour, je te vois comme quelqu'un qu'on peut aimer, en vérité, alors entre nous, ce ne fut qu'un regard que je veux oublier, je suis capable d'aimer, sachez le, je le prétends, c'est vrai
in the valley surrounded by mountains I stagnating in the certainty of sound, it is a matter of time, forty years ago I was not aware of the problem, to appear, here and there, be by, you come out not turn round, I turn right, forward to a meter, I'm still the same, control subjects in an upright position, breathing on, I am, when the next time, impossible to say, the variables d environment are too far removed from the reactor core to learn about the intrinsic value of wet perspiration average, so I have to myself alone, I still have a compass that tells me the north, where my fate leads me the eternal cold, or return to the heat inhuman, or rather out human, outside of consciousness concerned, panic on board, anxieties are parties, the blood flows in the veins, while walking in the right direction, to live is there, but why the land that welcomes the dead, why the sky does not fall on your head, why me and not another, I do not play with dice, lucky bounces sometimes where I am, it explodes in my head light of full certainty, to look at here is the door of the individual, alone with the empty, waiting to tank, I'm not worried, I have a small car, a small vehicle calmly takes me from top to bottom and vice versa, looking for balance, it takes years, the time lost innocence, reality invades the circle, it becomes square, any reason, just ask who am I, to the bottom shelf, to be or not to be, that is the question, I'd say well, you poses the question,
dans la vallée entourée de montagne je stagne dans la certitude de paraître, c'est une question de temps, il y a quarante ans je n'avais pas conscience de connaître le problème, paraître, par ci par là, être par, on en sort pas, on tourne en rond, je tourne à droite, en avant pour un mètre, suis-je toujours le même, contrôle subjectif en position verticale, respiration activée, je suis, à quand la prochaine fois, impossible à dire, les variables d'environnement sont trop éloignées du coeur du réacteur pour pouvoir renseigner sur la valeur intrinsèque humide de la transpiration moyenne, je dois donc me débrouiller seul, je dispose quand même d'une boussole qui m'indique le nord, là où mon sort me mène, le froid éternel, ou le retour dans la chaleur inhumaine, ou plutôt out humaine, en dehors de la conscience intéressée, panique à bord, les angoisses sont parties, le sang coule dans les veines, tout marche dans le bon sens, vivre est là, mais pourquoi savoir que la terre accueille les cadavres, pourquoi le ciel ne tombe pas sur la tête, pourquoi moi et pas un autre, je ne joue pas aux dés, la chance rebondit parfois où je suis, ça éclate dans ma tête de lumière pleine de certitudes, passons par ici, c'est la porte de l'individu, seul face au vide, dans l'attente de faire le plein, je ne suis pas inquiet, j'ai une petite voiture, un petit véhicule qui m'emmène calmement de haut en bas et inversement, recherche d'équilibre, ça prend des années, le temps de perdre l'innocence, la réalité envahit le cercle, ça devient carré, tout s'explique, il suffit de poser la question, qui suis-je, étagère au fond, être ou ne pas être, that is the question, je l'avais bien dis, tu poses la question,
I come to find out if there really is gained, in the sense that nothing can pass a limit set by decree mysterious, the day is finally available, I remain at my post for biological control the acceleration of the flawed vision of consciousness human, another con which has allowed to intervene, I could never reach the point p, too bad I will try to reach the income r, it will give me freedom limited to less money envy to return to a framework, it is a reality beyond the divine sanction today is not a condition for use in a footnote, it is a coherent package for the passion to exist in a way, breathing is the basis of the process, the food next door to me, open when everything is closed, it is more expensive but it is vital to spend a burn, look to pee , the body falls into the facility to be good, it was good, when everything is wrong, except the body breathe faster or slower depending on the amount of alcohol in the drift cells, the feeling is ready to anything, the brain is involved, it works for hope, this is not always like that in my case I had to cradle a gift, it is now that I realize count on me, a current account that works, good account that makes good friends, I count on me, great, hope is the focus, the limits are there, waiting for the moment I want good, but every day is a test, the body is positioned at one end
je viens pour savoir si l'existence est véritablement acquise, dans le sens où rien ne peut franchir une limite fixée par décret mystérieux, le jour est enfin accessible, je reste à mon poste biologique pour contrôler l'accélération de la vision entachée de conscience humaine, encore un con qui s'est permis d'intervenir, je n'arriverais jamais à atteindre le point p, tant pis je vais essayer de rejoindre le revenu r, ça me donnera la liberté limitée à l'argent moins l'envie de rentrer dans un cadre, c'est une réalité qui dépasse la sanction divine, aujourd'hui n'est pas une condition d'utilisation en bas de page, c'est un ensemble cohérent pour la passion dévorante d'exister, dans un certain sens, la respiration est à la base du processus, c'est l'alimentation à côté de chez moi, ouverte quand tout est fermé, c'est plus cher mais c'est vital, une brûlure pour passer, une allure pour pisser, le corps tombe dans la facilité d'être bien, c'était bien, quand tout est faux, sauf les corps qui respirent plus ou moins vite en fonction de la quantité d'alcool dérivant dans les cellules, le sentiment est prêt à faire n'importe quoi, le cerveau intervient, il travaille pour l'espérance, ce n'est pas toujours comme ça, dans mon cas j'ai eu au berceau un cadeau, c'est aujourd'hui que je m'en rends compte, compter sur moi, un compte courant qui marche, le bon compte qui fait les bons amis, je compte sur moi, énorme, l'espérance est au centre, les limites sont là, elles attendent, pour le moment je tiens bon, mais chaque jour est une épreuve, le corps se positionne à une extrémité
mardi 19 mai 2009
Avenue was lit only by headlights of passing cars one at a time at the beginning of each hour, it was time to move in the first warning light to the top of the transition intensity of the car, then immediately after the night surrounded us and we stopped, blocked by the thick darkness which disappeared once lit, it was magic, even turning a blind eye, it felt very get far because the car around the body, we feel a tremor of movement, I can move a finger, the car is one kilometer, prepare us to lay before us to advance as possible is the engine, the upper body is reached, the light on, for fifteen seconds is crazy, up to ten meters of progression, and the night comes we take, fortunately, we have developed a patient, the return of light is a source of joy, it is synonymous with freedom, a few seconds without us enough that we would complete hours of freedom, no project, boredom, waiting for the hours pass, but one night something weird happened as usual waiting for the light on when you feel the earth tremble before us a shower of fire rose into the night illumination of red and gold, at night, terrified, went leaving that 'a mist of doubt, this is it! we are free, we can move, jump, but soon we had very hot and in a short time we were not frozen by the night but by the heat, the difference is that we could see it changed everything in the group, piercing eyes have conquered hearts, but as this was the first time we did not know how to release, response in five minutes, it is time, no car in sight, but a thunderbolt, followed by a big rain, big drops of water cool the body, they emit, but instead of rushing forward, we all went to embrace those we had look at this was intense joy, soaked to the bones, we are shaking in their arms, their bodies stuck to the body, mouth to mouth, but the rain falling, I feel drawn back to my original place, goodbye my love, the group whole moves, and when the last drop of water falls, fire releases heat, which we freeze, but now we know that every time we start we embrace
l'avenue n'était éclairée que par des phares de voitures qui passaient une à une à chaque début d'heure, c'était le moment d'avancer dans la lumière d'abord lointaine jusqu'au sommet d'intensité au passage de la voiture, puis tout de suite après la nuit nous entourait et nous nous arrêtions, bloqués par l'épaisseur de l'obscurité qui ne disparaissait qu'une fois éclairée, c'était magique, même en fermant les yeux, on sentait de très loin arriver la voiture car autour du corps, on sentait un frémissement de déplacement, je peux bouger un doigt, la voiture est à un kilomètre, préparons nous pour nous jeter devant nous pour avancer le plus possible, on entend le moteur, le haut du corps est dégagé, lumière activée, pendant quinze secondes c'est la course folle, jusqu'à dix mètres de progression, et la nuit revient nous prendre, heureusement que nous avons développé un caractère patient, le retour de la lumière est même une source de joie, elle est synonyme de liberté, quelques secondes sans contrainte nous suffisent, que ferions nous d'heures complètes de liberté, pas de projet, l'ennui, attendre que l'heure passe, mais une nuit quelque chose de bizarre se passa, comme d'habitude on attendait la lumière quand on sentit la terre trembler, devant nous une gerbe de feu s'éleva dans la nuit l'éclairant de rouge et d'or, la nuit, terrifiée, s'en alla ne laissant qu'une brume incertaine, ça y est! nous sommes libres, nous pouvons bouger, sauter, mais très vite nous eûmes très chaud et en peu de temps nous nous sommes retrouvés figés non plus par la nuit mais par la chaleur, la différence c'est qu'on pouvait se voir, ça a tout changé dans le groupe, des regards perçants ont conquis des coeurs, mais comme c'était la première fois, on ne savait pas comment se libérer, réponse dans cinq minutes, il est l'heure, pas de voiture en vue, mais un coup de tonnerre, suivi d'une grosse pluie, les grosse gouttes d'eau rafraîchissent le corps, elles le dégagent, mais au lieu de se précipiter en avant, on est tous allé embrasser celles et ceux qu'on avait regarder, ce fut une joie intense, trempés jusqu'au os, nous serrant dans les bras, les corps collés aux corps, les bouches aux bouches, mais la pluie diminue, je me sens attiré en arrière à ma place initiale, adieu mon amour, le groupe en entier se déplace, et quand la dernière goutte d'eau tombe, le feu dégage la chaleur qui nous fige, mais maintenant nous savons qu'à chaque début d'heure nous nous embrasserons
lundi 18 mai 2009
for now it will, but in a minute I cry, happiness I'm crying, so I prefer to get bored, and strength we love to do nothing and watch the others, it becomes fun, provided really to participate in these moments so sympathetic friendliness, you speak, it is overwriting the other, no sympathy, you know I went to New York is really beautiful, huh, then I do here say nothing, for who this guy is caught, months I never went further than the Normandy, but I will not say it will take me for a draw, instead of sharing joyful memories different, when well understood the uselessness of these moments garden party, we stay at home without moving, save for his movements, I want to live as much time as possible, because ultimately I like the position in front of the window to watch the cars and passers pressent precedence when it rains, couples s'engueulent, children late for school, and Sunday there's person, then my eyes wandered up and down and from left to right, this is how last Sunday, my wandering settled on one point, the time to focus, I m'aperçut that on the other side of the avenue, a window right in front of mine, two eyes looked at me, embarrassed, I looked deep down, then back to the window, his eyes were still there, I saw also the face, a woman my age, we watched five minutes seemed to me an hour, but at once she pulled her white curtain, I was stuck here in this picture, not daring to venture an explanation, chance, I'd never seen before, I can certainly see him again, but if she came back tomorrow, I could not sit without thinking like a robot, looking without looking, what confusion in my head, it heats, how to think about something else, but it moves me in, it is idiot nothing happened, we just exchanged a glance, but it is said that eyes are the mirror of the soul, ouh la la, I unchoked completely, which I thought to be left alone in my loneliness, I Bond as a tiger on its prey, finally, it is time to sleep, but just before a last glance at the window, always the white curtain, but you can see it lit the light, would I did switch to a silhouette, it stops, suddenly the curtain opens, I am amazed, she sits upright looking at me, but suddenly she looks quickly and fell while at the bottom of the building, I'm petrified, in a burst of civic duty, I go out of my torpor to call the fire and immediately rush for me in the street like a madman I m'élance to her, oh divine surprise, I found sitting like a queen on her throne, on a pile of garbage bags, it has nothing at the same time firefighters arrived, they ensure that it can walk and stand on one foot to check the balance, this is done, I escorted her home and to be completely sure that will not, I offered him to become acquainted with me, as said, we retraversons Avenue, it is we are installed in my lounge to talk until the morning,
pour l'instant ça va, mais dans une minute je pleure, le bonheur ça me fait pleurer, alors je préfère m'ennuyer, et à force on aime ne rien faire et regarder les autres, ça devient amusant, à condition de vraiment plus vouloir participer à ces moments tellement sympathiques de convivialités, tu parles, c'est à qui écrasera l'autre, aucune sympathie, tu sais je suis allé à New-York, c'est vraiment une belle ville, hein, alors là je ne dis plus rien, pour qui il se prend ce mec, mois je suis jamais allé plus loin que la Normandie, mais je vais pas lui dire, il va me prendre pour un nul, au lieu de partager joyeusement des souvenirs différents, quand on bien compris l'inutilité de ces moments garden partie, on reste chez soi sans bouger, pour économiser ses mouvements, moi je veux vivre le plus de temps possible, parce que finalement j'aime bien la position en face de la fenêtre à voir passer les voitures et les passants qui pressent le pas quand il pleut, des couples qui s'engueulent, des enfants en retard pour l'école, et le dimanche y'a personne, alors mon regard erre de haut en bas et de gauche à droite, c'est comme ça que dimanche dernier, mon errance se fixa sur un point, le temps de faire la mise au point, je m'aperçut que de l'autre côté de l'avenue, une fenêtre juste en face de la mienne, deux yeux me regardaient, gêné, je regardait vivement en bas, puis de nouveau vers la fenêtre, les yeux étaient toujours là, je vis aussi le visage, une femme de mon âge, nous nous sommes regardés cinq minutes qui me parurent une heure, mais d'un seul coup elle tira son rideau blanc, je restais là bloqué sur cette image, n'osant m'aventurer dans une explication, le hasard, je ne l'avais jamais vue avant, je ne le reverrais sûrement plus, mais si elle revenait demain, je ne pourrais plus m'asseoir sans y penser comme un automate, regarder sans regarder, quelle confusion dans ma tête, ça chauffe, comment penser à autre chose, mais ça me remue à l'intérieur, c'est idiot il ne s'est rien passé, on a juste échangé un regard, mais ne dit-on pas que le regard est le miroir de l'âme, ouh la la, je débloque complètement, moi qui pensais être tranquille dans ma solitude, je bondis comme un tigre sur sa proie, enfin, il est l'heure de dormir, mais avant juste un dernier coup d'oeil à la fenêtre, toujours le rideau blanc, mais on peut voir qu'elle a allumé la lumière, tiens, je l'ai vue passer en ombre chinoise, elle s'arrête, tout à coup le rideau s'ouvre, je suis ébahi, elle se tient bien droite en me regardant, mais d'un coup elle se penche rapidement et tombe tout en bas de l'immeuble, je suis pétrifié, dans un sursaut de civisme, je sors de ma torpeur pour appeler les pompiers et aussitôt après pour me précipiter dans la rue, comme un fou je m'élance vers elle, oh divine surprise, je la retrouve assise telle une reine sur son trône, sur un tas de sacs poubelle, elle n'a rien, en même temps les pompiers arrivent, ils s'assurent qu'elle peut marcher et se tenir sur un pied pour vérifier l'équilibre, voilà qui est fait, je la raccompagne chez elle et pour être bien sûr qu'elle ne recommence pas, je lui propose de faire connaissance chez moi, aussitôt dit, nous retraversons l'avenue, ça y est nous voilà installés dans mon salon pour parler jusqu'au matin,
is a way of life unbearable but common to all mankind, it has always lived as if the priority was to get up in the morning and go to bed at night, between the filling as you can not say , lugubre thought that the purpose of life is to finish one day, as we began, one day, the earth rotates, so why worry, yes, but imagine that the fate is played ahead, all our actions are calculated to be in the right program, it is necessary that all living things play a symphony, we as musicians of the orchestra, except that the chief god, they has not given the partition, then there is a sense of play in each corner, the smart guy, he thought not that one day someone discovers the deceit, and that someone is me, this morning I shaved, but obviously, I paf cutting, jumping red blood on my white shirt, a sign that I made to arm the body to kiss her, eureka, my bathtub is empty and I do not dead, as what you believe certain things that are not true, while others are, but do not panic, everything arranged, provided live his dreams, not dreaming her life short, I began now live in the right direction, that of money or love, I do not know the emotion is too strong, I need a back that goes down quickly in the basement of my troubles, not this time I will stay at zero, zero for some, but I believe in me, it will go this time, a lost decade of lost
c'est une façon de vivre insupportable mais commune à l'humanité entière, on vit depuis toujours comme si l'urgence était de se lever le matin et de se coucher le soir, entre les deux on remplit comme on peut, sans se dire, pensée lugubre, que le but de la vie c'est de la finir un jour, comme on l'a commencé, un jour, la terre tourne, alors pourquoi s'en faire, oui, mais sans imaginer que le sort est joué d'avance, tous nos gestes sont calculés pour qu'ils soient dans le bon programme, il faut que l'ensemble des êtres vivants jouent une symphonie, on est comme des musiciens de l'orchestre, sauf que le chef dieu, ils nous a pas donné la partition, alors on a l'impression de jouer chacun dans son coin, futé le mec, il pensait pas qu'un jour quelqu'un découvre la supercherie, et ce quelqu'un c'est moi, ce matin en me rasant , mais c'est bien sûr, paf je me coupe, le sang rouge saute sur ma chemise blanche, un signe que j'ai pris à bras le corps pour l'embrasser, eurêka, ma baignoire est vide et je ne suis pas mort, comme quoi on croit certaines choses qui ne sont pas vraies, alors que d'autres le sont, mais pas de panique, tout s'arrange, à condition de vivre ses rêves, et pas de rêver sa vie, bref je commence maintenant à vivre dans le bon sens, celui de l'argent ou de l'amour, je ne sais plus, l'émotion est trop forte, j'ai besoin d'un remontant qui descend vite à la cave de mes ennuis, non cette fois ci je resterai au niveau zéro, nul pour certains, mais moi je crois en moi, allez ça ira pour cette fois, une de perdue dix de perdues
there was a time when ignorance was high, it is strong today, and tomorrow will it be different, although it has not changed ever since, can we say for example that the man of Cromagnon was unaware that we, as the chain that connects us to the past has never been broken, I might as well tell me that the human being is an accumulation of possibilities it uses or not, freedom is left to do what he wants, except earn millions, but you can pick up a small pebble in the street, you can sit on a bench as you can give up and continue the path of a not resolved and the patient, not bother to go fast, what, time provides the answer, it is noon, the birds sing, the sun shines, I open my ears, I fixed my gaze on a leaf that the wind raised slightly, calm breathing, my whole being is in ecstasy moderate, I have not forgotten that I have to cook my meals, the time is here, I see, I am with him without feeling lose the time, nor to win, we are at the same time and place, what happiness to know it, I would be upset if I almost did not age as I and the disappointment I have accumulated since my childhood, it is far time of innocence where there is no back amazed negative thought, emotion now I grown to know where she is when I need it I ' calls, as it is nice but it just can not give what she had when she was wild, coming by surprise, I like a full wave bubbling which left me in the foam,
il fut un temps où l'ignorance était forte, aujourd'hui elle est forte, et demain sera-t-elle différente, alors qu'elle n'a pas changé depuis toujours, peut-on dire par exemple que l'homme de cromagnon était plus ignorant que nous, étant donné que la chaîne qui nous relie au passé n'a jamais été cassée, je peux bien me dire que l'être humain n'est qu'une accumulation de possibilités qu'il utilise ou non, la liberté est laissée à tous de faire ce qu'il veut, sauf gagner des millions, mais on peut ramasser un petit caillou dans la rue, on peut s'asseoir sur un banc comme on peut y renoncer et continuer le chemin d'un pas résolu et patient, pas la peine d'aller vite, vers quoi, le temps apporte la réponse, il est midi, les oiseaux chantent, le soleil brille, j'ouvre les oreilles, je fixe mon regard sur une feuille que le vent soulève légèrement, respiration calme, tout mon être est en extase modérée, je n'ai pas oublié que j'ai mis à cuire mon repas, le temps est là, je le perçois, j'avance avec lui sans avoir l'impression de la perdre, le temps, ni de le gagner, nous sommes en même temps au même endroit, quel bonheur de savoir ça, j'en serais presque ému si je n'avais pas l'âge que j'ai et toute la déception que j'ai accumulée depuis mon enfance, il est bien loin le temps de l'innocence où on est émerveillé sans arrière pensée négative, maintenant l'émotion je la cultive, pour savoir où elle est, quand j'en ai besoin je l'appelle, comme elle est gentille elle vient mais elle ne peut pas donner ce qu'elle avait quand elle était sauvage, venant par surprise, me débordant telle une vague bouillonnante qui me laissait dans l'écume,
there is no alternative, clothes have been worn twice, you should make a third time, then we will see, but your password tray first, then you can choose a profession for a well paid you can buy all the clothes you want, but perhaps when you're adult, you realize that money does not buy happiness and you can accumulate many items we still own, the only happiness is the exchange, take the risk of being wrong about someone, you also be able to love, you know you can not say that a computer is used up 'the day when it breaks at this time we see if you have money to buy another, it is far from the human relationship with another person you can be confident, it's huge it is the feeling, and I know nothing more beautiful than the feeling that brings together two people, hatred is so great that I feel looks like an island in the middle of the ocean of destructive passion, indifference reign, the exchange is almost dead, it is replaced by the sending and receiving messages virtual games meaningless, but life is always the strongest, it destroys the selfish behavior in making a clean sweep, the barbarians destroy all the comfort, ease of living that leads to indifference, it is nice to spend the time to accept what is acceptable, laughing kindly, they are at our doors, they will break the vacuum by means of nonsense violent, more wandering, each running in circles and find the desire to share,
il n'y a pas d'autre solution, les vêtements ont été portés deux fois, tu dois les mettre une troisième fois, ensuite on verra, mais passe ton bac d'abord, ensuite tu pourras choisir des études pour un métier bien payé, tu pourras acheter tous les vêtements que tu veux, mais peut-être quand tu seras adulte, tu te rendras compte que l'argent n'apporte pas le bonheur et on peut bien accumuler les objets on reste quand même seul, le seul bonheur c'est l'échange, prendre le risque de se tromper sur quelqu'un, c'est aussi se donner la possibilité d'aimer, tu vois qu'on ne peut pas dire ça d'un ordinateur, on l'utilise jusqu'au jour où il se casse, à ce moment là on regarde si on a de l'argent pour en acheter un autre, on est très loin de la relation humaine, avec une autre personne on peut être en confiance, c'est énorme, ça s'appelle le sentiment, et je ne connais rien de plus beau que le sentiment qui réunit deux personnes, la haine est tellement grande que je regarde le sentiment comme une île au milieu de l'océan de passion destructrice, l'indifférence règne, l'échange est presque mort, il est remplacé par l'envoi et la réception de messages virtuels, des jeux vides de sens, mais la vie est toujours la plus forte, elle détruit les comportements égoïstes en faisant table rase, les barbares détruisent tout le confort, la facilité de vivre qui pousse à l'indifférence, c'est bien gentil de passer le temps à accepter l'acceptable, en riant aimablement, ils sont à nos portes, ils vont casser le vide à coup de bêtises violentes, plus d'errance, chacun tourne en rond et retrouve le goût de partager,
slower cruising speed, stopping at the port, final destination, exhausted resources, nothing to do for once is good, but it was transferred last week, I do not speak of it, but the occurrence of the first phase of disillusionment, when it is acquired, nothing else to hope, joy is now before us, not human happiness, something different, but how to describe it in c rit 'is everything, waiting on the other that can match the way to believe in the advent of history, one that relates to children, and we tell when we are adults, rosaries d' nonsense that go from the brain to bistro, to pee gallons of jealousy, hatred everyday stories, not just for boredom, all these times when nothing happens, what if it is say evil, generations after generations, it's the same story goes for toddlers and even Pepes, and turn the crank of dirty tricks, the franchise écorchée, lies, truth awaits us after death, then we all we know could have done and then after all we should not do, but as there was no notice, not even in Chinese, no choice, everything is possible, we can be consistent in many directions, how to choose the right, which was transferred last week
ralentissement de la vitesse de croisière, arrêt au port, destination finale, ressources épuisées, plus rien à faire, pour une fois c'est la bonne, mais non on l'a virée la semaine dernière, je ne parle pas d'elle, mais de la survenue de la première phase de désenchantement, quand tout est acquis, plus rien d'autre à espérer, la joie est devant nous désormais, pas la joie humaine, quelque chose de différent, mais comment la décrire, on en rit c'est tout, qu'attendre d'autre qui puisse correspondre à la manière de croire dans la venue de l'histoire, celle qu'on raconte aux enfants, et celles qu'on se racontent quand on est adulte, des chapelets d'idioties qui vont du cerveau au bistro, des litres pour pisser de la jalousie, de la haine au quotidien, des histoires, juste pour ne pas s'ennuyer, toutes ces heures où il ne se passe rien, que faire si ce n'est dire du mal, générations après générations, c'est la même histoire qui passe des bambins aux pépés et mémés, et on tourne la manivelle des coups tordus, de la franchise écorchée, du mensonge, la vérité nous attend après la mort, là on saura tout ce qu'on aurait pu faire et puis après tout ce qu'on aurait dû ne pas faire, mais comme y avait pas de notice, même pas en chinois, pas de choix à faire, tout est possible, on peut être cohérent dans bien des directions, alors comment choisir la bonne, qu'on a virée la semaine dernière
I noticed in a shop window, what a surprise to see me as someone else, a stranger that I meet, and no, it was me, I believe that random, surprise passed, I started thinking, what anyone with that, then I thought of something else, this is how it works, one thought follows another, we can not focus on the essential, non-stop interruptions meeting upset the established program, which is expected is forgotten, but a rainy day, when the boredom becomes an art, a vision appears, it was good, it is not too long, but it's saying long on experience neuro apéro well watered evenings, once the account established, you can check the status of the liver, they call it the experience of a man, man, the true, drinks, and stomach rounded, without birth, or a mouse, so to speak without an accent, but I forgot the most part, the utility passes everything else, so the vain, the bottle is empty, but we are full of men who prefer not to fall, the more we advance in life is balancing on the one hand the hope of another depression, the challenge is to stay on the rope, too much hope grows to depression, and too much depression pushed to suicide, in the middle I have a bit of both, each turn will y'en everyone, those empty hours that resonate in a hole, the minutes of full sun light obvious, just after it crashed into the joy, yes, I exist and I am no one, the ego takes a blow, but a little is good, it is better that a big shock,
je me suis aperçu dans la vitrine d'un magasin, quelle surprise de me voir comme quelqu'un d'autre, un inconnu que je croise, et non, c'était moi que je croisais par hasard, la surprise passée, je me mis à réfléchir, qui que quoi dont où, après quoi je pensai à autre chose, c'est comme ça que ça fonctionne, une pensée chasse l'autre, on ne peut pas se concentrer sur l'essentiel, sans arrêt des interruptions de séance bousculent le programme établi, ce qui est prévu est oublié, mais un jour de pluie, quand l'ennui devient un art, une vision apparaît, c'était bien, ça va ce n'est pas trop long, mais ça en dis long sur l'expérience neuro apéro des soirées bien arrosées, une fois le compte établi, on peut consulter l'état du foie, on appelle ça l'expérience d'un homme, l'homme, le vrai, boit, et le ventre s'arrondit, sans pouvoir accoucher, ou alors d'une souris, façon de parler sans accent, mais j'oubliais l'essentiel, l'utilité passe devant tout le reste, pour ainsi dire le vain, la bouteille est vide, mais nous on est plein d'hommes qui penchent pour ne pas tomber, plus on avance dans la vie plus on est équilibriste, d'un côté l'espérance, de l'autre la dépression, l'enjeu est de rester sur la corde, trop d'espérance pousse à la dépression, et trop de de dépression pousse au suicide, au milieu j'ai un peu des deux, chacun son tour, y'en aura pour tout le monde, ces heures vident qui résonnent dans un trou, ces minutes de soleil pleines de lumière évidente, juste après on s'écrase dans la joie, oui, j'existe et je suis nul, l'ego en prend un coup, mais un petit coup c'est agréable, ça vaut mieux qu'un grand choc,
you're lucky, it's an opportunity on both sides, in front you can see, but behind it changes everything, history is causing the problem, stay here if you want it depends on the beginning, or you accept the minimum, or you reject the water with the imagination that allows liquid to surf reality, we must start small, as in life, you can not walk at one month, to take the lead and it was after six hours of driving hours, short, we know the song by heart, that pump until the last day, never breaks, it moves unabated while the human is always ready to give up, boredom, fatigue, anger, life prevail in a void that extends into the future, years of absence, ten years go by quickly, one day you wake up, it turns Nothing to see, the days are crammed with indifference, but it's not too late, it is still possible to wake up, you need to sleep at night, the morning the sun came back, I rise , I open the window, the air caress my face, I am alive, ready to engage in a new day, it's not like yesterday, I write on the blackboard, day, program, look ahead itself, see outside, go in his body, leaving a bit of hope, not take everything at once, we must keep to the end and as we do not know the second date, the first c ' is the birth, some say the design, but again this is not safe, where is it, we do not know, I know by against the day of my birth, my parents are witnesses that I launched Today is my first cry of human being, the cry of hunger, yet the end
vous avez de la chance, c'est une occasion à saisir des deux côtés, en face vous pouvez bien la voir, mais de derrière ça change tout, l'histoire est à l'origine du problème, restez ici si vous voulez, ça dépend du début, soit vous accepter l'offre minimum, soit vous rejeter l'eau avec l'imagination liquide qui permet de surfer sur la réalité, il faut commencer petit, comme dans la vie, vous ne pouvez pas marcher à un mois, pour prendre l'autoroute et conduire six heures c'est après des heures de conduite, bref, on connaît la chanson par coeur, ça pompe jusqu'au dernier jour, jamais de pause, il avance sans fléchir, alors que l'humain est toujours prêt de renoncer, l'ennui, la fatigue, la colère, emportent la vie dans un vide qui se prolonge dans l'avenir, des années d'absence, dix ans ça passe vite, un jour on se réveille, on se retourne, rien à voir, des jours qui s'entassent dans l'indifférence, mais il n'est pas trop tard, il est toujours possible de se réveiller, il faut dormir la nuit, le matin, le soleil est revenu, je me lève, j'ouvre la fenêtre, l'air caresse mon visage, je suis vivant, prêt à m'engager dans une nouvelle journée, elle n'est pas comme hier, je l'inscris au tableau, nouvelle journée, programme, regarder devant soi, voir dehors, aller dans son corps, en sortir un peu d'espérance, impossible de tout prendre en une seule fois, il faut en garder jusqu'à la fin et comme on ne connaît pas la deuxième date, la première c'est la naissance, certains disent la conception, mais là encore ce n'est pas sûr, d'où vient-on, on ne sait pas, par contre je connais le jour de ma naissance, mes parents sont témoins que j'ai lancé ce jour là mon premier cri d'être humain, le cri de la faim, pas encore de la fin
why leave, still remain a bit of tranquility, I am in the moment without losing a crumb, in a stable position, a slight wind sweeps the ground, the moisture of the body is in harmony with that of air It is a pleasure instant it occurs at a rate of seconds, it can be stopped immediately, an anxiety that comes, and again into the unknown, the journey begins again, perhaps vais_je find a moment of peace an other day, also older, but it does not count, I have the same relationship with my body, we have long known but, as in a romantic relationship, we see through a filter that makes it beautiful, reality does not exist, the eyes do not see it build a landscape acceptable, otherwise it's suicide, the extremes are too far apart to make ends meet, to stay in the middle of the opportunities, we must breathe and watch the sky, quietly observing the tops of trees that touch the clouds below, the evolution of white on blue, to enlarge the vision itself, peace be with you, I am in position to be in life and not later, as in any business you must train, who wants to move forward should take the time to pass, pass through the acceptance, rejection of noise, simply stand facing the mystery,
pourquoi partir, restons encore un peu dans la tranquillité d'être, je suis dans le moment sans en perdre une miette, en position stable, un léger vent balaye le sol, l'humidité du corps est en harmonie avec celle de l'air, c'est un plaisir instantané, il se déroule au rythme des secondes, il peut s'arrêter immédiatement, une angoisse qui vient, et on repart vers l'inconnu, le voyage recommence, peu-être vais_je retrouver un moment de paix un autre jour, ailleurs, plus vieux, mais ça ne compte pas, j'ai toujours la même relation avec mon corps, nous nous connaissons depuis longtemps mais comme dans une relation amoureuse, nous nous voyons au travers d'un filtre qui rend beau, la réalité n'existe pas, les yeux ne voient pas, il construisent un paysage acceptable, autrement c'est le suicide, les extrêmes sont trop éloignées pour joindre les deux bouts, pour rester au milieu des possibilités, il faut respirer et regarder le ciel, calmement observer le haut des arbres qui touchent les nuages les plus bas, constater l'évolution du blanc sur le bleu, agrandir la vision jusqu'à soi, que la paix soit avec vous, je suis en position, être dans la vie et pas à côté, comme dans toute activité il faut s'entraîner, qui veut avancer doit prendre le temps de passer, passage dans l'acceptation, renoncement au bruit, simplement se tenir face au mystère,
vendredi 15 mai 2009
damn can not lie, but what is it blood, common sense, good sense, absent for the day, and that are cent, they are many, how to recognize the first of these, that truly consent, he said yes to what is happening is rare these days, young people, for example, they say not all the time, the tip 1, tip 2, standing up, in there , it's time to wake up, it is not the time of military service, when it still existed, it would leave his family for a long time, we came back ready to become someone, in short, I am someone, I'm a great leg, so to speak, I do not have beautiful legs, but I have beautiful feet, I use to walk, this is especially useful when time is the beautiful and the ride depending on the mood required, otherwise when it rains I take the car, a means of transportation that pollute more than walking, is the story that takes place in my back, I see it but I can not touch it, so I dream to spend the winter in warm, far from agitation, being persuaded otherwise, I have no doubt it is possible to give up my share of inheritance but anyway, you go on the importance of the decision, not the reactions that may arise, I prefer to reserve the time for me tomorrow, it is a matter of principle, beyond this limit, I take the first right and it is rushing ahead,
bon sang ne saurait mentir, mais de quel sang s'agit-il, du bon sens, du sent bon, absent pour la journée, et un qui font cent, ils sont donc plusieurs, comment reconnaître le premier d'entre eux, celui qui vraiment consent, il dit oui à ce qui lui arrive, c'est rare de nos jours, les jeunes par exemple, ils disent non à tout bout de champs, le bout 1, le bout 2, jusqu'à debout, là dedans, c'est l'heure de se réveiller, elle est loin cette époque du service militaire, quand ça existait encore, ça permettait de quitter sa famille pour un temps assez long, on en revenait prêt à devenir quelqu'un, bref, je suis quelqu'un, ça me fait une belle jambe, façon de parler, je n'ai pas de belles jambes, mais j'ai des beaux pieds, je m'en sers pour marcher, c'est surtout utile quand le temps est au beau et que la balade au gré de l'humeur s'impose, autrement quand il pleut je prends la voiture, un moyen de transport qui pollue plus que la marche à pied, voilà l'histoire qui se déroule dans mon dos, je la vois mais je ne peux pas la toucher, alors je rêve de passer l'hiver au chaud, loin de l'agitation, en étant persuadé du contraire, je ne doute pas qu'il soit possible de renoncer à ma part d'héritage, mais quand même, vous rendez vous compte de l'importance de la décision, sans compter les réactions qui pourraient en découler, je préfère pour le moment me réserver pour demain, c'est une question de principe, au delà de cette limite, je prends la première à droite et c'est la fuite en avant,
jeudi 14 mai 2009
attention it happens, the time to see, I go, I was on when I'm in 2009 and 2408, dust in the wind or star that shines, not human experience, a brain that analysis through, full of flesh, driving in a state of drive, speed of light, how long must chew, digest the information, it's like this and not otherwise the system is operational, it is not develop a plan, but to leap out of the cage looking for raffle ticket, the chance is there, it's happiness, life goes on the side of anything, everything is guaranteed to be 100%, here is limited to fifty, understand me well, I'm not here to shorten the hope, the addition of salt in the soup used to salivate more, consume in moderation, especially when the age indicates heart soup, stirring to avoid heavily numbness members of direct action, it announced the fall, weather at the bottom, the coffin at the beginning, we did not 20 000, it gives them to be buried dignity, not in transit, no name, no date, a skeleton unknown, without flame on top, it does not rain from below, a skeleton is not expensive, but perhaps one day we will see skeletons auction, the latest chic decor, bones in the living room, a cave man who left the rotting dead beside him, modern man it accelerates the process, dust immediately, more laborious rot spread in fifty years, dust scattered on the tomatoes pépé gardener at times lost seasoned salad
attention il arrive, le temps de voir, je vais, portant j'étais, quand je suis, en 2009, et en 2408, poussière dans le vent ou étoile qui brille, rien d'humain, expérience limitée, un cerveau qui analyse de travers, plein de chair, conduite en état de pulsion, vitesse de la lumière, combien de temps il faut mâcher, digérer l'information, c'est comme cela et pas autrement que le système est opérationnel, l'important n'est pas de concevoir un plan, mais de bondir hors de la cage en quête de billet de tombola, la chance est au rendez-vous, c'est le bonheur, la vie passe du côté de rien, tout est là, assurance d'être à 100%, ici c'est limité à cinquante, comprenez moi bien, je ne suis pas ici pour raccourcir l'espérance, l'ajout de sel dans la soupe permet de saliver d'avantage, à consommer avec modération surtout quand l'âge indique potage cardiaque, remuer fortement pour éviter l'engourdissement des membres d'action directe, c'est la chute annoncée, prévision météo tout en bas, cercueil au départ, on ne touche pas 20 000 francs, on les donne pour pouvoir être enterré dignement, pas dans le transport en commun, sans nom, sans date, un squelette inconnu, sans flamme par-dessus, il ne pleut pas par-dessous, un squelette c'est pas cher, mais peut-être un jour, on verra des squelettes aux enchères, le dernier chic en décoration, des os dans le salon, façon homme des cavernes qui laissait pourrir le mort à côté de lui, l'homme moderne lui accélère le processus, poussière immédiate, plus de pourrissement laborieux s'étalant sur cinquante ans, c'est en poussière dispersée sur les tomates que pépé jardinier à ses heures perdues assaisonne la salade
necessary, the internal oversight is the feverish expectation of the action that decides what I get, I'm tired of waiting for what I am, my shadow above me but not in the grave, then would it possible to know now, here, no doubt, with certainty, a word, just one, and everything is in the light, really, thought at a time that does not hide in the folds of old uncertainties, it was when I was not careful, it's different now, I am listening, my body is no longer a thing, I'm in my organs, a friend of my liver, molecules patience, love of my heart , skip happy, it flies continuously, so I spent a wet morning, while rocking when I ring the twelve strokes of noon, the sun is awake, it warms my carcass, I sue, my face is red, hop it is four hours, the wind prevents me slightly as the evening approached, the half, it's time snack, I have no age, just the idea that floats away from my stomach, rather of nostalgia powder, hair that stands out plate at the bottom of the deserts of my life early, I was before, but now takes the place, I do more than I am, I am a small square which is useless around the square there are round, impossible to agree, then I pass between the circles without saying anything, trying to understand the universal language that does not by mouth but by the belly and precisely through the navel, the first mouth is shut at birth, it is the center of the body, turn around, it's a sun
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