when is it now
mardi 5 mai 2009
fatalement solide dans la durée et friable ici, quand la ruine n'est pas en mesure de recueillir la peine, alors faut bien renoncer, mais par où se réunir dans de meilleures conditions, la venue de la peur est cependant en combinaison spatiale, à condition de se passer de bouton sur la peau, oui, c'est vrai, et pas complètement faux dans la conception démesurée en altitude passée par là, dans un tunnel sans lumière australe, des pingouins font une chaîne humanitaire, sauver les harengs, et les enfants d'abord, face à la mer c'est comme une belle vue, à condition de bien se tenir à la barre de chocolat, avec des pépites à croquer sans plaisir, par ici le fond énorme de la vie, vitesse astronomique en suspension buvable, il doit être cinq heures, où est passé le capitaine, je l'ai vu en bas, mais du haut la vue est différente, c'est assez bon comme si ça venait du froid, mais c'est vraiment sensationnel, une idée qui bondit sans retomber à plat, mince j'ai raté le début, tant pis je me passerai de l'eau sur la figure en rentrant chez moi, car chez toi il ne fait pas assez chaud pour enlever ses chaussettes, je suis assez douillet en général, mais alors quand je viens chez toi, je suis dans l'obligation de faire passer à chaud, ça refroidit tellement vite, ne m'en veut pas, je ne peux pas faire autrement, les conditions ne sont pas réunies pour grandir dans l'unité dévastatrice, réellement en faveur de la condition parfaitement structurée, résolution prétentieuse, je ne sais pas tenir sur la longueur, faut-il ralentir ou au contraire accélérer, tourner tous les vingt mètres, petit à petit avancer, mais un mouvement brusque me fait chavirer à droite, passion destructrice, impossible de franchir la ligne blanche, la nuit remplit le cercle, mieux vaut fermer les yeux, la vérité brûle, attention à la perte des identifiants, la tête doit rester sur les épaules, faiblesse humaine incapable de résister à l'envie de passer, toujours plus loin, sans penser à la station immobile,
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