when is it now
lundi 13 juillet 2009
parcourir l'étendue en sautant de joie de vivre un instant de pur bonheur, trahison, il était dépressif, comment pouvait-il jouer la comédie du vivre heureux ensemble, la vie passe en choix bizarres, pourtant 1 +1 =2, mais l'humain met une condition qu'on appelle x ou y selon qu'on préfère l'horizontal ou le vertical, allez comprendre quelque chose de vrai dans ce tas d'émotions cachées, à peine entrevue l'idée s'échappe dans un délire passager, ensuite la vérité s'impose, mais il a fallu du temps pour comprendre que le désir monte pour éclater comme une bulle, adieu, je ne te verrai plus que dans l'éternité et ça tombe bien, que faire d'un corps qui transpire, qui mange, qui dort, l'idéal ne peut concevoir la trivialité des rapports, je suis seul à créer mes passages, tant pis si je tourne en rond, ça permet de creuser en silence dans une direction personnelle, l'errance est solitaire, un échange verbal c'est déjà la possibilité de rupture de la tranquillité, un corps à corps c'est la fin de la sueur isolée, faut-il vraiment aller jusqu'au bout, rêvons, ça ne coûte rien, les corps sont tristes, l'envie rapide, mais après faut parler, alors avant c'est mieux, vision, stop, solitude, liberté, silence, amour préservé, vivre jusque là, ensuite on verra bien ce qui arrive
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