when is it now
jeudi 19 novembre 2009
le dernier soir j'ai su que la meilleure façon de parler était de commencer à comprendre l'essentiel devant paraitre simple, mais ça ne me concerne pas autant que la dernière fois quand j'ai du me passer de l'eau sur la figure pour essayer de correspondre à une baisse de température des pulsations cardiaques, une pression à froid dans l'idée première qui vient débarrasser le plancher mais attention à l'accélération démentielle quand il s'agit de moi, rien à signaler pour le moment qui passe de travers, je rééquilibre comme je peux à deux doigts de la fermeture de ma braguette magique, un pas de plus et j'ouvre le robinet d'or, question de prestige ancien quand l'homme ne pouvait pas savoir grand chose de la vie organisée en heures efficaces, il ne peut être question de progrès, tout s'écrase lamentablement dans les ordures du temps, même pas question de chance, fatalité exemplaire, passage vers le bleu, immensité particulière à condition de respecter l'ordre établi dans le garage, marteau, clous, croix avec du sang séché, espérance avouée quand il en est encore temps, mais cela n'arrange pas mes affaires, que faire d'autre, attendre que ça passe mal ou bien, ça ne dépend pas de moi, de qui alors, je ne sais pas comment j'en suis arrivé là, un jour peut-être ou une nuit étoilée avec le berger qui montre ses moutons blancs avec des rayures jaunes
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire