when is it now
lundi 16 novembre 2009
il fut un temps heureux qui passa aussi vite qu'une pensée dans le vague de l'ironie facilement applicable dans toute l'étendue du rire à moitié révélé, rêvé le sentiment de partir pour de bon, attendre que le moment se présente à condition de rebondir rapidement dans la zone d'activation des neurones encore allumés pour correspondre à l'envie principale, c'est une vérification essentielle, le sang transporte l'humeur, au passage il est l'heure de prendre, mais attention à l'essai qui manque le but, risque de perte de la joie, fragilité humaine qui descend plus vite qu'elle ne monte, le cerveau bouillonne plus vite que l'eau sur le feu, et refroidit dans le sens du vent d'hiver, il est bien loin l'été, promesse non tenue de la légèreté d'habillement, il faut se couvrir en sortant de chez soi, pas la peine de continuer dans ce sens, je cherche l'endroit qui convient, par ici, c'est peut-être mieux, mais comment savoir avec certitude que le vrai est là, on se ment pour de multiples raisons, on ne veut pas d'embêtement, celui qui cherche risque gros, un poisson énorme qui fait chavirer le bateau, les petites sardines sont belles, rapidement évacué, chaque instant se suffit à lui-même, aucun projet sur le long terme, la vie en morceaux qu'on jette aux chiens, tous ces restes qui auraient pu faire un ensemble d'une grande beauté, mais la haine vient détruire le fragile équilibre
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