sans pouvoir le dire je reste conscient du manque, il faudrait des années pour arriver à le tuer, mais je ne suis pas sûr d'attendre dix ans, ce que je souhaite n'existe pas, ça existera peut-être un jour, mais on n'en est pas certain, tout arrive un jour, mais pas n'import lequel, le tournant est là, on ne le voit pas arriver, il tombe dessus comme des soldats arrivant du ciel pour couper la faim d'un terroriste, couic, plus le faim le salaud, si tous les salauds pouvaient craindre pour leur vie, on pourrait faire la fête toute la vie, mais que dire de Bashar el Assad, fils de son père, salaud de génération en génération, qu'attend-t-on pour envoyer un hélicoptère au-dessus de sa maison et de faire descendre des boys, en plus c'est facile on sait où il vit, c'était différent avec oussaman, en français ça veut dire, où il est l'homme, dix ans de recherche pour s'apercevoir qu'il vivait comme un petit bourgeois dans la banlieue d'Islamabad, islam est bad, oups, ne mélangeons pas l'Islam tolérant et le terrorisme religieux qui depuis longtemps a servi dans toutes les religions des intérêts personnels de carrière financière