when is it now
dimanche 1 novembre 2009
malheur aux incroyants, ils errent dans l'inconscience qui mène au désastre astronomique, mais la comédie de la vie efface tout, il ne reste que des lambeaux de chair accrochés à la porte de l'inconnu, ça se lance comme un javelot, on retient sa respiration et on promet le maximum, même si ce n'est pas vrai, ça laisse du temps pour récupérer ses esprits qui gambadaient dans la nature, c'est une expérience intéressante de passe de la solution à la source, en fonction du beau temps ça tourne au vinaigre par huile interposée, choucroute pour le dessert et vin pour l'inutile, un moyen de tourner au ridicule pour comprendre que le sens se moque de l'entente cordiale entre les uns et Attila, un petit problème qui ne se résout qu'à la tombée de la jupe, alors on entrevoit le paradis sur terre pour la future mère qui boit de l'eau par ce qu'elle n'est pas sûre de conduire sa famille jusqu'à la rédemption totale, c'est une impression vague qui se caractérise par un manque total d'indignation, la neutralité indifférente permet de naviguer à l'aise dans tous les bancs de poissons, un jour suffit sa peine, les bottes sont pleines, inutile de les vider, demain on recommence très tôt, ce sera du temps de gagner contre l'adversité, en avant vers la réussite de l'entreprise communément acceptée, chacun connaît son rôle, ça permet de ne pas se couper dans le sens de la longueur, c'est embêtant pour la peau, mais qui pourrait le savoir
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