when is it now
jeudi 12 février 2015
rien mettre rien décevoir
rien mettre rien décevoir une tringle à rideau des courts des longs et puis le silence qui fait du bruit pour ne pas avouer que tout ça c'est trouvé par hasard, car dans le monde il y a un endroit où je suis bien ce monde qui monte et qui descend dans la plénitude du chien qui danse et pour ce qui est là un doigt dans la pluie et tout le monde aux fenêtre pour ne pas être toujours dans la purée mais aussi dans un champ de betterave assaisonnée au plus fort de l'été quand on est prêt de l'amour mais pas assez pour la toucher, car c'est interdit, il faut d'abord s'asseoir, faire un peu de riz pour avoir faim et quand la lune est blanche je prends un morceau de pain et je le mange comme si j'avais peu de dents, mais ça c'est une coïncidence car au même moment j'avoue simplement que ça chante, mais à l'intérieur pour ne pas être gêné par l'envie qui voudrait que tout de suite on saute en l'air, mais moi je préfère attendre comme ça au moins je ne suis pas inquiet, je crois ce que je vois et je prends mon aise comme si un pic pouvait casser de la glace mais à cet endroit on croit encore voir ce qu'on y faisait pour un assaut définitif mais que ça mettait du temps à s'ouvrir car le dernier n'est pas le premier et comme ça on sait se positionner au plus près de la scène, mais où est passé le champ qu'hier encore j'admirai depuis le balcon de l'hôtel, à moins qu'hier est demain et que tout transpire quand il fait chaud, un canne à pêche des mesures dans le vide, de la joie en beurre tartine, main tendue, poire pour la soif, gens de loin, et pour l'ensemble un creux qui annonce le mot de la chance, un peu partout dans les endroits précis car on ne plaisante pas avec le temps car ce mois c'est encore ce qu'on fait de mieux, mais pour le reste pardon mais je pousse les meubles, ça fait plus grand quand on y met du plat, à moins qu'en remontant à l'envers on obtienne un résultat si proche de la mer que ça me rend malade toute cette eau pour rien , ou à peine une tonne de poissons, mais quand ça mord c'est le signal de la tempête, alors je cours comme un fou vers une destination fatale, car ce qui m'attend un jour c'est toi noir de suie, pour que contre, et manque ta peau, car pour ce fruit je peux toujours courir ce qui fait le compte en même temps que la baleine mange son pion je fais le tour de la piste
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