Un jour tout s'allume

Un jour tout s'allume du fond de la cour jusqu'au ciel de ma vie, car au milieu du doute surgit l'envie de vaincre, cette douce réalité qui ne s'enfonce pas dans l'envie de perdre, c'est comme ça que je rêve la nuit, le jour je m'incline devant le manque de service à une chance de mériter sont adresse, ce qui plait à toute une série de commantateurs herbeux, silence dans la salle, on attend l'arrivée d'un pardon, tout ce qui touche à l'ultime même si ce n'est pas encore fini, une fois à la fois, et tout le reste et parce que tout est ici, dans le champ des possibles, mais dès qu'on aborde le moment tout est lancé dans une vitesse impressionnante ce qui me fait penser à d'autres moment moins glorieux mais qui ont préparé cet instant fragile et tendre, tiens donc et comment on fait grâce ici, je me demande bien comment vous arrivez à joindre le point et la virgule, là-dessus je comprends que je suis allé trop loin et dans un geste de largesse modérée je fais allusion à l'espace qui sépare deux mots, tout de suite c'est plus facile, car on est tous d'accord que pour faire sens il faut séparer les mots pour que chacun y trouve sa place, c'est l'ensemble qui rigole, mais le particulier angoisse de ne pas savoir ce qu'il va faire après, c'est toujours le maillon faible qui fait capoter l'idée géniale, car dans l'air il y a des poisons, c'est sûr que ça gène l'approche principale, tout ce que ça fait ensuite c'est une choix simple, un avancée bien pesée pour être placée juste au bon endroit entre deux corps qui dansent dans la lumière du soir, et pour en savoir plus je m'approche doucement et je fais comme si je pouvais traverser l'espace sans un regard pour mon corps mais avec tout le plaisir de voir ce qui existe en dehors de toute attente de rendez-vous autre que ceux qui s'imposent au plus ardent défenseur de club de football pris dans la tourmente d'une minute dramatique quand on a su qu'un ami d'un ami d'un policier à pris une gourde pour y mettre du jus d'orange, ensuite ça a pris une heure pour savoir que c'est la peine de continuer d'espérer vaincre un jour, mais ce n'est pas encore tout à fait terminé, car depuis des années je passe et je repasse sans chaleur, ce qui fait que tout est mou, une fois que j'aurai compris la dureté, je pourrai enfoncer la tension et atteindre le chignon ensuite pour faire une alerte sans saucisse je crois que je suis capable de faire un nœud pour que ça tienne deux fois plus longtemps, et avant de mettre l'eau à bouillir je fais un rêve que je veux être prémonitoire, mais ce n'est pas l'urgence, tout ce que je sais est mis dans un endroit précis que je garde au cœur de ma vie, tout de suite en direct de poids le plus léger, je cherche un présent acceptable, ce qui se passe est énorme, des toits sont rouges, des murs sont blancs, et surtout au milieu de la place une fontaine lance en l'air de l'eau qui retombe ensuit dans une grande vasque étanche et ça continue pendant des heures, je regarde mais au bout d'un moment me vient une idée et si j'allais voir ce qui se passe ailleurs, alors pour ne pas gêner la circulation des voitures je reste sur le trottoir et quand je passe devant quelqu'un je ne le regarde pas, comme ça je m'évite de penser à ce qui peut se passer quand on croise le regard de quelqu'un pour y voir ce qu'il cache au plus profond, ça prend trop de temps et je suis déjà en retard, car mon destin se passe dans une heure, et je n'ai que le temps d'y aller, pour être sûr de ne pas rater ma vie à ce moment là, on ne sait jamais ce qui peut se passer, un ennui mécanique, une méchante femme qui ne veut pas avoir le plaisir en face d'elle et pour ce qui est parti par le dernier bateau dans une autre direction je n'ai aucune nouvelle, sont-ils tous morts dans un accident nucléaire, ou alors sont-il tout partis au partant ce qui manque évidemment au mieux de présider une séance à moins que dans un dialogue de sourds on entend une mouche voler où va-t-elle, que pense-t-elle de la situation internationale, quand les obus vont tomber pour arracher des bras ou des jambes, où est la paix pour vivre ensemble dans l'harmonie, faut-il craindre de perdre sa vie pour aimer voir grandir l'espérance, ce qui n'est pas encore fait, c'est une petite erreur de programme, ça engendre un bruit d'eau qui coule verticalement, et quand ça arrive au fond ça prend plus de place, ce qui se passe c'est un changement complet de circulation, on part de l'évident pour arriver au caché, ce qui est le plus visible c'est l'action humaine, ce qui n'est pas souhaité c'est de mettre un chat dans le four, mais ce qui est le plus simple c'est de marcher dans la rue et d'atteindre un point sur la carte, ce qui est fait rapidement car je ne m'impose pas de marcher pendant deux mois pour aller voir la mer ce que je fais d'habitude c'est un petit parcours en sens inverse car dans la chance il y a toujours un banc pour se reposer, ce qui m'arrange car au point de vue de la santé mentale je n'ai aucun projet pour aller mieux, donc pour savoir ce qui se passe quand tout est découvert c'est le retour sur investissement, car quand on a bien compris que tout est lié comme une botte de paille, et tout ça en hiver mais ce n'est pas ça