une tranche de pain

une tranche de pain, et comme ça je sais où est le sens de la vie, il est au-dessus parce que ça joue au fou mais ça ne peut pas devenir un gentil marchand, alors pour racheter un morceau de verre cassé il titube jusqu'au centre et arrose tout le monde avec un arrosoir en plastique, et tout ça pour être en photo dans le journal, ce n'est pas ça qui est le plus incroyable, ce qui est le plus tendre c'est le champ bien labouré, en ligne droite pour être pris en première place dans l'histoire subitement étroite, car au point de vue de la chambre, il y a une erreur, des moyens sommaires, des ardoises en position de faire mal, et pour que ça continue de voir un temple pas trop démoli par le temps car le moment est mal choisi on aurait du voir ce qui se passe mais au lieu de ça on regarde ailleurs ce qui fait que le temps manque et que tout ce qu'on aurait pu faire est hors d'atteinte, on n'a plus le temps de tout faire tranquillement, ce qui est obscure prend toute la place et la descente est courte, on n'a pas de temps, tout est pourri à l'intérieur, tout est pour ça et pour autre chose, dans la situation inverse à la beauté, ce qui montre le plus ardemment le choix qui n'est pas disponible, ce qui est le plus atteint c'est le poids qui lance une chance en l'air, tout autour c'est l'incompréhension, on ne risque pas sa maison sur un moment d'égarement, ce qui pousse ailleurs c'est le trottoir d'en face, en question seule, une chose évidente pour moi qui suis dans l'action, mais vers cet instant je respire pour ne pas avoir à recommencer la même chose, c'est le plus ennuyant dans la vie c'est de ne pas pouvoir tout de suite avoir faim, il faut d'abord avoir soif, ensuite il faut attendre des années que ça veuille bien comprendre le bien fondé de la demande ne y mettant les formes et ça ne va pas se passer facilement, tout est bloqué pour que passe la troupe d'éléphants, on est devant un trou, on ne peut pas passer au-dessus, il faut attendre que le gentil homme puisse avec un outil adapté, remplir, le trou, le tasser et mettre une couche de problèmes évités de justesse pour que je lance un objet certain dans la direction de la pluie, le résultat est énorme de toutes parts on vient me dire que c'est le moment que tout le monde attend depuis longtemps mais qu'on n'avait pas voulu espérer de peur de se tromper de chance mais que là sans pouvoir y résister on a l'opportunité de voir ce qui est vrai, alors dans la chambre bleue je me mets à rêver, ce qui est là est là, et ailleurs qu'est ce qui se passe, que faut-il en déduire, dois-je m'attendre au feu ou à l'eau, est-ce une raison de partir sans un bruit, j'ai l'habitude de faire ce que j'attends dans la forme qui n'est pas encore déterminée mais pour la suite c'est important car tout ce que je peux faire je le fais sans ordre et sans préparation, je veux dire simplement tout ce que je sais