when is it now
lundi 23 février 2015
une histoire qui finit bien
une histoire qui finit bien mais dans la salle de bain commence l'eau et là on s'arrête une seconde sur le temps qui passe par la fenêtre, où va-t-il, que veut-il voudrait-on arriver sans partir, à moins que ça continue dans le même sens, ça dépend de tellement de chose, peut-on tout maîtriser, ou bien dans le bien se spécialiser bon cœur, mais pour ça faut commencer haut car on descend assez vite dans l'erreur d'appréciation qui ne néglige aucun détail des fleurs à tous les étages sans avoir eu au préalable des tentations inquiétantes et pourquoi le fer devrait-il s'allier au cobalt pour aider à bronzer vite j'hésite, je crois pouvoir faire autre chose, c'est un champ inexploré pour la simple raison qu'il faut soulever le rideau et ne pas avoir peur de prendre une lumière pour quelque chose qui ne s'éteint pas car une seule chose à la fois un première situation qui ne se teint pas les cheveux et comme ça n'est pas suffisant je fais une exception pour être dans les faveurs de la recette et coup bas ou pas des épées dans le placard et aussitôt une nouvelle version pour doper les ventes, ce qui fait huit, ou neuf je ne me rappelle jamais pourquoi je suis arrivé là, j'étais pourtant bien parti, mais voilà je me suis trompé de chemin et je me traîne depuis des années dans la médiocrité, mais ce qui ne se fait pas c'est d'avoir encore de la volonté, quand on est si loin du but c'est d'avoir faim une sorte de solution pour que ça change dans un couloir blanc quand c'est mercredi mais pour ça il faut mieux demander son chemin à quelqu'un qui répond, c'est mieux d'être direct on ne perd pas de temps en considérations hasardeuses pour se rapprocher trop prêt d'une chose qui bouge, et bien vous, vous et vous comment faire, avoir de la chance, un morceau de sucre, des intention vaseuses et pour que ça monte tout droit une hésitation, une simple déclaration vous êtes et moi aussi comme ça on peut peut-être faire ce qu'on veut, mais rapidement ça coule, et forcément c'est mieux que si en glissant on se trouve couché l'un sur l'autre dans l'incapacité de bouger, ce qui me fait dire qu'il vaut mieux rester vertical et avoir peur de faire une erreur, ça au moins c'est bien, et pour l'essentiel tout est bien alors quand je valide le choix, il n'y a rien qui en vaille la peine, tout et pris depuis longtemps, il faut juste faire un tour sans avoir de sensations variées et pour que la chaîne ne casse pas je double les rations de pain, et attention aux hasard, prenez garde, ça arrive plus vite qu'on croit surtout en période de chasse quand les oiseaux reviennent d'Afrique et une croix en fer plantée dans le sol qui ne passe pas par le chemin le plus fréquenté car aujourd'hui on imagine toutes sortes d'objets qui sont censés apporter le bonheur, alors que depuis des millénaire, l'humain a trouvé la solution, être heureux c'est avoir devant soi un corps qui veuille bien qu'on soit ensemble, et après des années de rêverie qui se voit toujours au début pour tendre le moins du monde dans un endroit secret qui se transforme en geste inattendu, vous alors quand vous faites ça, j'ai peur de moi, si faible, si mercantile, si en ce moment, seulement pour ça et pour d'autres choses en sachet ou en bombe pour peindre plus vite et sans pinceau, quel bonheur, pour tout être et que ça passe doucement de la chance au tremplin acoustique d'un coup de baguette magique je me vois en prince qui pince une partie molle qu'on voit en été sur les plages et pour que ça dure je mets la musique plus fort pour me faire prendre un nouvel ressort dans la croyance verbal qui se fait chair
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