quand ça se passe je suis content, je le suis souvent, j'aime quand je peux entreprendre une action, c'est bien fait, je n'ai rien à faire, ça peut très bien gentiment descendre mais moi je suis au niveau un, des considérations vertes, pour aller jaune, dans une dimension aléatoire, depuis ce temps, le gris est au premier plan, c'est en janvier, un jour de pleine lune, le soleil avait rendez-vous avec une femme, le soir venu je fus averti qu'un monsieur venait me voir pour me proposer une assurance pour ma voiture, je fis rapidement le tour des restaurants pour savoir si je pouvais aller dans une solitude qui amènerait une satisfaction, j'ai peur de me retrouver dans un plaisir facile qui ne correspond à rien, c'est tellement haut que j'ai du mal à le voir, il faut que je sois plus grand, mais comment arriver à concilier le pour et la montre, le temps passe, heureusement j'ai prévu le coup, je me suis inscrit au pot au beurre, pour la façon de chanter les cochons, les bêtes à cornes, les loups dans les bergeries, et l'aventure au cinéma, car dans des coins mal ficelés on peut trouver des trous qui descendent jusqu'au centre de la terre un volcan qui pourrait un jour monter à la surface et détruire toute la race humaine, des légendes des grecs antiques nous parlent de poissons énormes sortant de l'eau pour manger les femmes et les enfants, les hommes sont épargnés mais la race humaine disparaît car les hommes seuls ne peuvent avoir d'enfant, alors il faut vite trouver un moyen pour avoir plein de bébé, si je pouvais rencontrer quelqu'un qui accepte de m'en faire rencontrer d'autre pour que je puisse toujours être dans la capacité de croire en dieu, mais maintenant je suis trop occupé, le matin, l'après midi, le soir, le matin, j'attends un message, pourrai-je encore essayer de passer, puis-je faire un tour, ça me demande du temps, mais je suis sûr que je peux aller toujours plus loin, pour la simple raison que je suis né un jour