when is it now

mardi 17 février 2009

le temps de vivre est une histoire sans fin de recevoir, un cul de jatte à qui il manque un oeil pour marcher droit, tous vient de la situation hasardeuse de la santé mentale, comment rester le même quand la terre tourne, les ombres grandissent mais moi je bois une bière, alors quoi de neuf docteur pour la cause humanitaire quand les hommes ne jurent que par la conception mort née de la véritable unité du serpent à sonnette, dring, c'est le facteur qui ne sonne qu'une fois parce que Marlon Brando il n'est plus celui qui va chanter sous les ponts, bref l'eau coule et on fait trop de bruits pour l'entendre, l'humain ignore qu'autour de lui vivent des possibilités nombreuses de partir à zéro, on fait comme si de rien n'était, mais tout est là à portée de pied dans la merde, ça peut venir d'un coup sur la tête par un salaud en cavale ou d'une banane qui traîne dans la vertu vieillotte de la satisfaction immédiate, aujourd'hui on sait quoi faire, c'est à dire rien d'évident, il faut compliquer pour paraître spécialiste alors que le bon sens est souvent celui qui passe le mieux, vivre heureux par exemple, c'est respirer ce qui vient en se disant, super, quoi d'autre encore

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