when is it now

jeudi 25 février 2010

last one for the road, but in what way do you speak of mine who belong to me, I am alone because time is within me does not want anyone else disrupt the order primary in the sense of clockwise while moving in the same direction but we each have a specification that accompanies us to the end, then goodbye and forever, one body at a time, I take another tomorrow, this one was nice, a little sport, clear ideas for the most part, modern ways but a classical background, in fact I am a little sad to have left, then think about that tomorrow never ends, that's how it works, a boom, a fall in the street, passers-passing, and now everything is fine when things are going well, but suddenly everything changes into madness, nothing can resist the current of air that snapped his teeth, but above all do nothing that might compromise the onset of unstable equilibrium, it is believed to keep it escapes, but still hopes to find a pass time outdoors, and forget the worries that are forgettable for the most part, everything is forgettable, nothing remains of the day, the idea goes, you just stop, the words are silent envy dead
un dernier pour la route, mais de quelle route parles-tu, de la mienne qui m'appartiens, j'y suis seul car le temps qui est en moi ne veut pas que quelqu'un d'autre vienne perturber l'ordre primordial dans le sens des aiguilles d'une montre, tout avance dans le même sens mais nous avons chacun un cahier des charges qui nous accompagne jusqu'à la fin, ensuite au-revoir et à jamais, un corps à la fois, j'en prends un autre demain, celui-là était sympa, un peu de sport, des idées claires la plupart du temps, des manières modernes mais un fond classique, en fait je suis un peu triste de l'avoir quitté, alors pensons à demain qui ne finit jamais, c'est comme ça que ça marche, une envolée, une chute dans la rue, des passants qui passent, et voilà, tout est bien quand ça va bien, mais d'un coup tout bascule dans la folie, rien ne résiste au courant d'air qui fait claquer les dents, mais avant tout ne rien faire qui puisse compromettre l'arrivée de l'équilibre instable, on croit le tenir, il s'échappe, mais on espère toujours le retrouver pour passer un moment en plein air, en oubliant les soucis qui sont oubliables la plupart du temps, tout est oubliable, rien ne reste des jours, l'idée s'en va, tu viens s'arrête, les mots se taisent, l'envie est morte

mercredi 24 février 2010

it takes a lifetime to realize that time is I am time, I go along with the time we're together, what matters is being with him, even if only shortly, time knows no limit, either in time or space, but this comes after the rain, in effect to go from solid to liquid not need to take a plane, it can be done walk in dry weather, otherwise it comes immediately to be sure not to miss the beginning, careful not to forget to shorten the hem of your trousers by putting rubber bands, as it avoids the major problems, the intestines are fragile, they need protection, then we can continue without worrying about the power of occult forces, there is a special place where happiness exists, it only lasts a minute but it will be long remembered, is more economical that the jet embryo, a little story to encourage humans to take its destiny in hand and in front to avoid the shenanigans, advice to amateurs who are tempted by the experience of living, live each day as if it ' was the first, back to basics of life, which denies the block successive passages which have been enabled to acquire a stock of unsteady relationships, adulthood is smart, he knows what he feels, more details 'feeling fresh, it smells stale, the calculated
il faut une vie pour comprendre que le temps est en moi, je suis le temps, j'avance en même temps que le temps, nous sommes ensemble, ce qui compte c'est d'être avec lui, même si c'est pour peu de temps, le temps ne connait pas de limite, ni dans le temps ni dans l'espace, mais ceci vient qu'après la pluie, en effet pour passer du solide au liquide pas besoin de prendre un avion, on peut le faire à pied par temps sec, autrement on vient tout de suite pour être sûr de ne pas rater le début, attention à ne pas oublier de raccourcir le bas de vos pantalon en mettant des élastiques, comme ça on évite des gros problèmes, les intestins sont fragiles, il faut les protéger, ensuite on peut continuer sans se soucier du pouvoir des forces occultes, il y a un espace spécial où le bonheur existe, ça ne dure qu'une minute mais on s'en souvient longtemps, c'est plus économique que l'avion à réaction embryonnaire, une petite histoire pour encourager l'humain à prendre son destin en mains et par devant pour éviter les magouilles, avis aux amateurs qui seraient tentés par l'expérience du vécu, vivre chaque jour comme si c'était le premier, un retour aux sources de la vie, qui nie en bloc les passages successifs qui ont permis de se constituer un stock de relations avinées, l'âge adulte est intelligent, il sait ce qu'il ne sent plus, plus d'émotion fraîche, ça sent le rassis, le calculé
a day will come or not come, it depends on the hazardous circumstances, a bad pass, forgetting to make a surplus of undo leading ease of reaction to its lowest level since the dawn of humanity to suffering staggering uncertainty, what shall I do tomorrow, a stupid question, I do something now, this is the only reality, everything else and start from the beginning is not enough to push the analysis but not too afraid to climb too high volume of TV, but before continuing I want to draw attention to an amazing discovery that is completely unnoticed because of bad weather, in fact, to understand what was going deep, I decided to take the train passes under the sleeve, but the snow stopped my project, I had to hurriedly find another way to find a balance routed by the lack of ease in travel under the sea, but I will stop here not to suffer again, I am free now and I prefer to stay above water, very slowly forward over the waves, the wind carries my ideas hollow, I'm just a boat at sea, every moment I can sink deep pessimism and yet I'm floating, slightly laughing seeing around me gigantic hollow, what else, people who drown, I'm dry, how long will it last an hour a life
un jour viendra ou ne viendra pas, ça dépend des circonstances hasardeuses, un mauvais passage, un oubli de faire, une surplus de défaire qui entraîne la facilité de réaction à son plus bas niveau depuis l'aube de l'humanité chancelante en proie à l'incertitude, que vais-je faire demain, une question idiote, je fais maintenant quelque chose, voilà la seule réalité, tout le reste et à commencer par le commencement ne suffit pas à l'analyse poussée mais pas trop de peur de monter trop haut le volume de la télé, mais avant de poursuivre j'aimerai attirer l'attention sur une incroyable découverte qui est complètement passée inaperçue pour cause de mauvais temps, en effet pour comprendre ce qui se passait en profondeur, je décidais de prendre le train qui passe sous la manche, mais la neige stoppa mon projet, je dus précipitamment trouver un autre chemin pour retrouver un équilibre mis en déroute par le peu de facilité dans les déplacements sous la mer, mais je m'arrêterai là pour ne pas souffrir à nouveau, je suis libre maintenant et je préfère rester au dessus de l'eau, très lentement avancer au-dessus des vagues, le vent emporte mes idées creuses, je ne suis qu'une barque en pleine mer, à chaque moment je peux sombrer au plus profond pessimisme et pourtant je flotte, légèrement riant en voyant autour de moi des creux gigantesques, quoi encore, des gens qui se noient, j'en suis tout sec, combien de temps cela va-t-il durer, une heure, une vie

mardi 23 février 2010

It was not what I meant, but a sudden force gave me the impulse to tell the truth, that I hid deep within me for years, break, alcohol kills, n ' not forget the victims who have suffered and those who escaped death to continue a life made miserable boring passages and snoring idiots, but do other than wait for the release of the body, mind only flies to eternity, his body remains trapped, motionless on the ground, he can not move, there is silence while people pass by without saying anything, even a drunk who will delude but not ladies, the gentleman died, and he greets you well if you could hear, but I will not tell you what he told me, I keep as a treasure that I will not share any the world, I will choose those who have the privilege of sharing this secret, it is not neutral to think what will happen would have happened anyway, then start at the beginning, one page, one can understand first sentence by chance, amidst a crowd, I saw her pass me and I could not remember if she had watched, had I looked, I need my drugs, where are they, I think having posed by the phone, but it has not rung since I am dead, is what everyone is dead at the same time as me, the end of the world, I was
çe n'était pas ce que je voulais dire, mais une force soudaine m'a donné l'impulsion de dire la vérité, celle que je cachais au plus profond de moi depuis des années, pause publicitaire, l'alcool tue, n'oublions pas les victimes qui n'ont pas souffert et celles qui ont échappé à la mort pour continuer une vie misérable faite de passages ennuyeux et de ronflements idiots, mais que faire d'autre que d'attendre la libération du corps, l'esprit seul s'envole vers l'éternité, le corps lui reste coincé, inerte sur le sol, il ne peut plus bouger, c'est le silence alors que des gens passent sans rien dire, encore un ivrogne qui va se bercer d'illusions mais non mesdames, ce monsieur est mort, et il vous salue bien si vous pouviez l'entendre, mais je ne vous dirai pas ce qu'il m'a dit, je le garde comme un trésor que je ne veux pas partager avec tout le monde, je choisirai celles et ceux qui auront le privilège de partager ce secret, il n'est pas neutre de penser que ce qui va arrive aurait du arriver de toute façon, alors commençons par le début, page un, on peut comprendre la première phrase par hasard, au milieu d'une foule, je la vis passer devant moi et je ne pus me souvenir si elle m'avait regardé, l'avais-je regardé, il me faut mes médicaments, où sont-ils, je crois les avoir posés près du téléphone, mais il n'a pas sonné depuis que je suis mort, est ce que tout le monde est mort en même temps que moi, la fin du monde, j'y étais

lundi 22 février 2010

I live in doubt, nothing is true, just ahead of fear of getting trapped to explain, so I think I can start my real life, a day butterfly that would lead me to the end where I fall A moment of magic that saves the storm, the easy irony that does not take off from land, endless stories, without beginning, without middle of butter beans, hope sliced, c ' is more convenient, and then blows, good, bad, of the rectitude to replace the desire, but sometimes I will not be available to the monkey, I need silence, a moment to feel the interior in search of a clue where I'm going down there, and how will I be able to continue to live slightly, I move through the starry night, far away my future shines, it shines so strong that I do not see I hardly the mark of my feet on the floor, but bored quickly, the ride is hollow, not women to cross that my legs did not say hello each being headed by a different hemisphere, c ' is the struggle which does not fall, or we advance on the knees with special shoes, but perhaps less quickly than on foot
dans le doute j'habite, rien n'est vrai, tout avance de peur de rester bloqué pour s'expliquer, alors je pense que je peux commencer ma vraie vie, une journée de papillon qui me conduirait jusqu'au bout ou je tombe, une féerie de l'instant qui sauve de la tempête, l'ironie facile qui ne décolle pas du sol, des histoires sans fin, sans début, sans milieu, du beurre dans les haricots, de l'espérance en tranche, c'est plus pratique, et puis des coups, des bons, des mauvais, de le droiture pour remplacer l'envie, mais des fois je ne serai pas disponible pour faire le singe, j'ai besoin de silence, un moment pour tâter l'intérieur à la recherche d'un indice, où vais je jusque là, et comment vais je pouvoir continuer à vivre légèrement, j'avance dans la nuit étoilée, au loin brille mon futur, il brille tellement fort que je ne le vois pas, je distingue à peine la marque de mes pieds sur le sol, mais je m'ennuie rapidement, la balade est creuse, pas de femmes à croiser, que mes jambes qui ne se disent pas bonjour étant dirigée chacune par un hémisphère différent, c'est la lutte qui permet de ne pas tomber, ou alors on avance sur les genoux avec des chaussures spéciales, mais on avance moins vite que sur les pieds
there was no reason to be wrong, but something happened before I could respond, an event that I forget the name unless it returns the first flight, but ad strikes during the holidays, you bastard of angry employees facing the departure of family vacations to go on strike, but is also essential, as always in life is expected in the wrong place, he had to turn left before you lie, the temptation was the stronger, the pain of leaving, everything is dead, it is where we are, without wanting anything but be good to do nothing extraordinary passages in the empty body restricting the mind to a secondary activity, a little more for a grand less, empty-handed, flat feet, drive the body without build or destroy, the advantage remains outside the single is I'm that I am a quiet breathing which is not seeking passage to a momentary stillness, nothing lasts in life, we must wait for death to a true fixed, life is moving without ever stopping, even night activity is sawtooth, nothing, then nightmare, then nothing, as in the day, nothing, then nightmare, then nothing, hops that scratch that life expectancy, by dint of s 'Shake the body gets tired
il n'y avait pas de raison d'avoir tort, mais quelque chose s'est produit avant que je ne puisse intervenir, un évènement dont j'ai oublier le nom à moins qu'il ne revienne par le premier vol, mais on annonce des grèves pendant les vacances, salaud de salariés en colère qui attendent les départ des familles en vacances pour se mettre en grève, mais l'essentiel est ailleurs, comme toujours dans la vie on attend pas au bon endroit, il fallait tourner à gauche avant de mentir, la tentation fut la plus forte, plus la peine de partir, tout est mort, on est bien là où on est, sans vouloir autre chose qu'être bien à ne rien faire, des passages extraordinaires dans le vide du corps limitant l'esprit à une activité secondaire, un petit plus pour un grand moins, les mains vides, les pieds plats, les corps sans pulsion de construire ou de détruire, l'avantage reste dehors, le simple est en moi, je ne suis que ce que je suis, une respiration calme qui ne cherche pas un passage vers, une immobilité momentanée, rien ne dure dans la vie, il faut attendre la mort pour une vraie fixité, le vivant est en mouvement sans jamais s'arrêter, même la nuit l'activité est en dent de scie, rien, puis cauchemar, puis rien, comme dans la journée, rien, puis cauchemar, puis rien, des sauts de puces qui ne grattent que l'espérance de vie, à force de s'agiter le corps se fatigue

dimanche 21 février 2010

when I start I know I finished, but between the two, that happens there, I have not yet discovered who I am, but the fact of thinking allows me to see what can intervene in 'development of clear conditions for all, I start to dwell on the few moments that count for anything, there are many, a glance, a gesture, a hesitant, am I that this pile of failing organs I'm not going to complain but my body does not answer me, I lived for years, but the longer it goes the less I can understand his aggressive attitude when I try to take the good side of life, at times j I even feel that I plant a black flag on the mind moaning, sad life that ends badly, but now is the winner, I am now able to understand the smallest of tricks of the mirage of the hope, nothing left over after the loss of joy, songs of conscience, and piles of dirty plates in front without turning over the city shameful, sharp campaign, clean air and people cramped in the middle of nature generous, but for now I prefer to live in town in the middle of the population and pollution, for my body to pay what he has to pay a little knowledge without meaning any harm, but it still counts, a little is already much
In a sense I will first go to meet the other side provided the necessary elements together in developing the final plan must still know the importance of loving considerations do not resemble the first pulse, this requires to start from scratch all pleased to design a new impetus to always worms, but to what, who can answer this simple question, where am I, I'm going to work, I sleep, I'll sing In the shower, these are moments that pass, but that does not is death, why die when you can still drink a beer, quietly located in the bar instead, but there no time to die, as there is no time to live, you live all at the same time, no order, no first, second, everything happens without warning, the storm, emotions, organs that work, those who are down, visions uninteresting, the what, the how, and whatever comes next, but it only takes a second to do the right thing, as that it all goes wrong, there is no draft, yet I have the idea of doing a thing in my life, one that gives me the idea to have an idea, without beating around the bush by going straight without ever stopping for fear of not being able to begin to count to three by taking the first immediate solution
dans un certain sens je vais d'abord partir pour rencontrer l'autre côté à condition de réunir les éléments nécessaires à l'élaboration du plan définitif, encore faut-il savoir que l'importance des considérations affectueuses ne ressemblent pas aux impulsions premières, il faut pour cela reprendre à zéro l'ensemble des satisfaction pour concevoir un nouvel élan vers, toujours vers, mais vers quoi, qui peut répondre à cette question simple, où vais-je, je vais travailler, je vais dormir, je vais chanter sous la doucher, ce sont des moments qui passent, mais ce qui ne passe pas, c'est la mort, pourquoi mourir, alors qu'on peut encore boire une bière, tranquillement installé au bar de la place, mais il n'y a pas d'heure pour mourir, comme il n'y a pas d'heure pour vivre, on vit tout en même temps, pas d'ordre, pas de premier, de deuxième, tout arrive sans prévenir, à l'assaut, les émotions, les organes qui fonctionnent, ceux qui sont en panne, les visions inintéressantes, les quoi, les comment, et tout ce qui vient après, mais ça ne dure qu'une seconde, pour bien faire les chose, c'est comme ça que tout va de travers, il n'y a pas de projet, j'ai pourtant l'idée de faire une chose dans ma vie, une seule qui me donne l'idée d'avoir une idée, sans tourner autour du pot, en allant tout droit sans jamais s'arrêter par peur de ne pouvoir commence à compter jusqu'à trois en prenant la première solution immédiate

mercredi 17 février 2010

to take without depending to ashes, they go, go after you, I do nothing or very little, I am what I can not claim anything other than what I am where I am today, it's not my fault, I did not ask, dessert, perhaps, but not this big piece of meat that serves as my body, I dragged myself on the ground that I am doing nothing, but after a while I must move the left foot, then I breathe a little after trying to satisfy a desire, that's how I understand the sun's path, he ascends and descends, I also goes down and I buy bread, it made my year especially when I ask a friend to pick up the bread, it costs me more to ask than to go buy bread, but above turn I am below the urge to go down, I drag the day trying to persuade me to go down, I count to three, but I can only two, I'm exhausted by this intellectual effort, count to two is a lot, it is modern, before it does not matter, we mourned the dead youth, now before you die, then be very busy, I was two when my friend came to bring me bread, tomorrow, thank you, that's it, that evening, I must think to go to bed, sometimes I forget and I wake in the morning, ready to rebuild the same day yesterday, not quite the same, I have aged a day
pour se prendre sans dépendre jusqu'aux cendres, ils se rendent, rendez-vous, après-vous, je n'en fais rien ou si peu, je suis ce que je peux, sans prétendre à autre chose que ce que je suis, si je suis aujourd'hui, ce n'est pas de ma faute, je n'avais rien demandé, un dessert peut-être, mais pas ce gros bout de viande qui me sert de corps, je me traîne sur la terre, que je suis bien à ne rien faire, mais au bout d'un moment il faut je bouge le pied gauche, ensuite je souffle un peu après avoir essayé de satisfaire une envie, c'est comme ça que je comprends la course du soleil, il monte et il descend, moi aussi je monte et je descend pour acheter du pain, ça fait mon exercice surtout quand je demande à une amie de passer prendre le pain, ça me coute plus de lui demander que d'aller chercher le pain, mais au-dessus de tour je suis en dessous de l'envie de descendre, je traîne la journée en essayant de me décider à descendre, je compte jusqu'à trois, mais je n'arrive qu'à deux, je suis épuisé par cet effort intellectuel, compter jusqu'à deux, c'est beaucoup, c'est moderne, avant on ne comptait pas, on pleurait les morts jeunes, maintenant on meurt tard, alors faut bien s'occuper, j'en étais à deux quand mon amie est venue m'apporter le pain, à demain, merci, ça y est, c'est le soir, il faut que je pense à aller me coucher, des fois j'oublie et je me réveille le matin, prêt à refaire la même journée qu'hier, pas tout à fait quand même, j'ai vieilli d'un jour
He had long since I thought that something could happen without knowing what when I suddenly realized that the body was not made to last, steak please, I need to chew my brain thinking of something else that human destiny, I am sitting here watching the people passing the empty head, but I am not only what I am I can also do better, do nothing, to do too much, bored, leave, return, where to start already, ha! yes, but of course the end of the episode, too bad anyway I'm not interested in others in general and in particular I do not expect anything else, still searching, but what direction, I am not a program, I try just to see what can be seen by normal eyes, mine, I only have two, one must concentrate to understand something simple, if I am, I'm finished, why not not be two, balance, wisdom, eyes that cross, go up three, dance crazy, betrayal, flight, but one is good, I 'm alone in my body but my brain is full of stories that I do not understand, noises, doors slamming, a green sun, diet pills, joy in bundles of boundless love, the days go by without saying anything,
il y avait longtemps que je me disais que quelque chose pouvait arriver sans savoir quoi quand tout à coup je compris que le corps n'était pas fait pour durer, un steak s'il vous plait, j'ai besoin de mastiquer pour que mon cerveau pense à autre chose qu'au destin humain, je suis bien ici assis à regarder les gens qui passent la tête vide, mais je ne suis pas seulement ce que je suis je peux aussi faire mieux, ne rien faire, en faire trop, m'ennuyer, partir, revenir, commencer par où déjà, ha! oui, mais c'est bien sûr la fin de l'épisode, tant pis de toute façon je ne m'intéresse pas aux autres en général et en particulier je n'aime pas attendre, quoi d'autre, encore chercher, mais dans quelle direction, je ne suis pas une programme, j'essaye simplement de voir ce qui peut être vu par des yeux normaux, les miens, je n'en ai que deux, il faut se concentrer pour comprendre quelque chose de simple, si je suis un, je suis fini, pourquoi pas ne pas être deux, l'équilibre, la sagesse, les regards qui se croisent, allons jusqu'à trois, la danse folle, la trahison, l'envol, mais un tient bon, je suis seul dans mon corps, mais mon cerveau est plein d'histoires que je ne comprends pas, des bruits, des portes qui claquent, un soleil vert, des pilules pour maigrir, de la joie en paquet, de l'amour sans limite, des jours qui passent sans rien dire,

mardi 16 février 2010

It only took the time it takes when you must, but this is not that and the converse is not true, it depends on the weather, in the month of August there is fine, but this does not mean it's raining, it rained a lot last night, but he did not like tomorrow when he will make his mistakes, a beast that had never harmed anyone, they kill for eat, this is no way to catch flies, he must open his mouth to that temptation becomes strong enough to mount on the nose, watch the march, Grandma, we do not want to see you fall to reach inheritance, there are things that are done, we could wish in silence, thinking of all these useless things but need to impress others that will be able to buy one day he will not be too late the pleasure is there, but let us be young and carefree, enjoy life without thinking, young bodies are working well, needless to revise them, it works by itself, is really great, but time passes, we range of ideas in the cellar and you pay to eat, to sleep, it's over time to laugh for nothing, now we must have everything, respect, the sir, madam, how are you today it is less beautiful than yesterday and the bread is not good, but I'm off, I gotta go eat cold, it's to save money when the wind came on, singing all summer and ant n is not lending
il n'aurait fallu que le temps qu'il faut quand on doit le faire, mais ceci n'étant pas cela et la réciproque n'est pas vraie, ça dépend du temps qu'il fait, en plein mois d'aout il fait beau, mais cela ne veut pas dire qu'il pleut, il a plu beaucoup hier soir, mais il a déplu demain, quand il va faire ses bêtises, un bête qui n'avait fait de mal à personne, on la tue pour la manger, ce n'est pas comme ça qu'on attrape les mouches, il faut ouvrir la bouche pour que la tentation devienne assez forte pour monter au nez, attention à la marche, mamie, nous ne voulons pas vous voir tomber pour toucher l'héritage, il y a des choses qui ne se font, on peut le souhaiter en silence en pensant à toutes ces choses inutiles mais nécessaire pour en imposer autres qu'on va pouvoir s'acheter un jour, il ne sera pas trop tard, le plaisir sera là, mais en attendant soyons jeunes et insouciants, profitons de la vie sans y penser, les corps jeunes fonctionnent bien, inutiles de les faire réviser, ça marche tout seul, c'est vraiment génial, mais le temps passe, on range les idées dans la cave et on paye pour manger, pour dormir, c'est fini le temps de la rigolade pour rien, aujourd'hui il faut tout avoir, du respect, du monsieur, du madame, comment allez vous aujourd'hui, il fait moins beau qu'hier et le pain n'est pas bon, mais je file, je dois aller manger froid, c'est pour faire des économies, quand la bise fut venue, chanter tout l'été et la fourmi n'est pas préteuse
I have stayed quiet for years, but suddenly everything flickers, the body gives an ad, first before last I was to think of nothing, now it is time to think medication in the morning, not to be confused with that evening, but I never asked to exist, I arrived by chance in an unknown world that I can go for decades to find that the barrel is empty expectancy has fallen into it when she was little, and occasionally it rises to the surface to drive the point home that could have hurt me, I'm not afraid to say that I am the only one to be alone because the notion of solitude is not particularly accessible group, everything becomes half when I go through all of my impressions when I think last night I tell myself that tonight is longer, that's why I do not trust my thoughts that I suggest to abandon the dream to reality, but the world is ugly, as I am, I am one by accident but I am forced to take leave and not start right away my Capital ham flavored with herbs, is the secret to the grave, a facility without moisture, nothing in the whole, but first see what offers life, countless days and nights short of repulsive impulses is not Always festive, boredom with tons of flavors and colors of silk, my roof
j'ai pu rester tranquille pendant des années, mais d'un seul coup tout vacille, le corps donne une annonce, une première avant la dernière, j'étais bien à ne penser à rien, maintenant il est l'heure de penser au médicament du matin, à ne pas confondre avec celui du soir, mais je n'ai jamais demandé d'exister, je suis arrivé par hasard dans un monde inconnu que j'ai du parcourir des décennies pour m'apercevoir que le tonneau est vide, l'espérance est tombée dedans quand elle était petite, et de temps en temps ça remonte à la surface pour enfoncer le clou qui aurait pu me blesser, je n'ai pas peur de dire que je suis le seul à pouvoir être seul, car la notion de solitude n'est pas particulièrement accessible en groupe, tout devient à moitié quand je traverse la totalité de mes impressions, quand je pense à hier soir je me dis que ce soir est plus long, voilà pourquoi je ne me fie pas à mes pensées qui me suggèrent d'abandonner le rêve pour la réalité, mais le monde est moche, autant que moi, j'en fais partie par hasard mais je suis bien obligé de prendre et de laisser pour ne pas entamer tout de suite mon capital de jambon parfumé aux herbes, voilà le secret de la tombe, une facilité sans humidité, plus rien dans le tout, mais avant voyons ce que propose la vie, des jours innombrables, des nuits courtes, des pulsions repoussantes, c'est pas toujours la fête, de l'ennui par tonnes, des goûts et des couleurs, de la soie, du moi, un toit

lundi 15 février 2010

when it was like I knew that was not there, it just cross the space of a moment to be projected beyond the inability to love, but as always it depends on leading daily here, now, when years have passed, leaving only debris wonderful, it comes when he can, but it's enough to hope the rest of the time, the love is there, but my head is elsewhere in the garage habits, not just ringing, there's someone for years, until the day I leave, never to return, because it just bullshit, a time for fun, another for I do not know what yet,
quand il s'agissait d'aimer j'ai su que le pas était là, il a suffit de franchir l'espace d'un instant pour être projeté au delà de l'impossibilité d'aimer, mais comme toujours ça passe par le quotidien qui mène ici, maintenant, alors les années ont passées, il ne reste que des débris merveilleux, il vient quand il peut, mais ça suffit à espérer le reste du temps, l'amour est là, mais j'ai la tête ailleurs, dans le garage des habitudes, pas la peine de sonner, y'a personne pendant des années, jusqu'au jour ou je pars pour ne plus revenir, parce que ça suffit les conneries, une temps pour la rigolade, une autre pour je ne sais pas quoi encore,

mercredi 10 février 2010

for or against, have or sell the skin of the bear but by killing him I might take me for a hunter, that's something I denied, I am a human being who works in an office, it is far from the time of flushing water leaking, progress is moving fast, a day without a night, not a plane without wings and now it returns to the wrong direction, we must warn the driver, there is no 's is a ghost train or a joke that makes me my brain is quite capable of making me travel without paying, it does not go where it wants, it changes every second, but overall it means, that is mad slow, it speaks in tongues, the language of the first men when there were only sounds, far, gur, sor, ber, and then a hundred thousand years pass quickly, and children attend the school and more time passes more lessons are long, but the desire remains the same, I am hungry all the days I eat without envy, he must eat, but that's not why I am committed to post, let me say that I am free to think, I believe in the freedom of coming and going, everything will be OK, one more night and you'll feel better, do not worry, the end it ended badly, but until just before it goes well,
pour ou contre, avoir ou vendre la peau de l'ours mais en le tuant je risque de me prendre pour une chasseur, voilà une idée que je refuse, je suis un être humain qui travaille dans un bureau, il est loin le temps des chasses d'eau qui fuit, le progrès avance vite, pas un jour sans une nuit, pas un avion sans ailes et voilà que ça repart dans la mauvaise direction, il faut avertir le chauffeur, il n'y en a pas, c'est un train fantôme ou bien une farce que me fait mon cerveau, il est bien capable de me faire voyager sans payer, on ne va pas où on veut, chaque seconde ça change, mais dans l'ensemble c'est moyen, c'est fou et lent, ça parle dans des langues inconnues, la langue des premiers hommes quand il n'y avait que des sons, far, gur, sor, ber, et puis cent mille ans passent rapidement, et les enfants vont à l'école et plus le temps passe plus les leçons sont longues, mais l'envie reste la même, j'ai faim, tous le jours je mange sans envie, il faut manger, mais ce n'est pas pour ça que je suis attaché au poteau, je tiens à dire que je suis libre de penser, je veux croire à la liberté d'aller et de venir, tout va bien se passer, encore une nuit et ça ira mieux, il ne faut pas s'inquiéter, à la fin ça finit mal, mais avant, juste avant ça va bien,
to understand I need to know, but I am not sure to start early so I stopped to look more closely at what might give me the space shortage in my analysis, I usually take my time before it is too late, envy progressing without me speaking, it follows its own conduct, may be one day can we meet is the pleasure of living, have the freedom to take and leave, no requirement is made here without saying that all this does not correspond to the idea that drags one knows where I wanted but that's another good idea that secondary took me by storm, I jumped for nothing, as so often in my life I expect to happiness, but nothing can ruffle the surface of my monotony, I was and I'm like I'll be a pleasure to live easy and light, it consumes and nothing can go far, far, I do not know, I am not a soothsayer, I just know that I'm here, how am I, not bad for a Monday, enough to spend an hour to tell me that life is beautiful when nothing happens, everything slips into silence, it is like a pen next to a tiger, no fear, no joy, no feeling, the happiness of a potato waiting to be peeled, wander without asking me what I am doing, that's all I am, so do not let the troubles you walled in sadness, see before you with certainty that all is well
pour comprendre je dois savoir, mais je ne suis pas sûr de commencer par le début alors je m'arrête pour voir de plus près ce qui pourrait me donner l'espace qui manque à mon analyse, j'ai pour habitude de prendre mon temps avant qu'il soit trop tard, l'envie progresse sans me parler, elle suit sa propre conduite, peut-être un jour pourrons-nous nous rencontrer, c'est le plaisir de vivre, avoir la liberté de prendre et de laisser, aucune obligation, on fait ici sans se dire que tout ça ne correspond pas à l'idée qui traine on ne sait où, je la tenais mais voilà qu'une autre idée bien que secondaire m'a pris d'assaut, j'ai fait un bond pour rien, comme souvent dans ma vie je m'attends au bonheur, mais rien ne vient rider la surface de ma monotonie, j'étais et je suis comme je serai, un plaisir de vivre facile et léger, il ne consomme rien et permet d'aller loin, jusqu'où, je n'en sais rien, je ne suis pas devin, je sais tout simplement que je suis là, comment suis-je, pas mal pour un lundi, assez pour passer une heure à me dire, que la vie est belle quand rien ne se passe, tout glisse dans le silence, on est comme une plume à côté d'un tigre, aucune peur, aucune joie, aucun sentiment, le bonheur d'une pomme de terre attendant d'être épluchée, j'erre sans me demander ce que je fais là, j'y suis c'est tout, alors ne permettez pas aux ennuis de vous emmurer dans la tristesse, voyez devant vous avec la certitude que tout est bien

mardi 9 février 2010

luck is back, I was still an unpleasant thought, when suddenly, that's how I like them, it takes some know-how not to look like someone else, I do know that someone they know without actually carry something heavy, something light that does not deform the pockets of my pants, I'm bored, I find no alternative to the heaviness of life, how can I jump without losing balance, but the body is afraid of falling, and the more it goes the less one is light, lots of stories in the head, the excess pounds, her belly swells and it ' is not waiting for a happy event, just the day goes by without stopping, it's not very polite, but nowadays politeness disappears, nothing remains of the speed when you stop , no memory, a vacuum, but life can resume again if the cake to politely ask the lady, hello to you and then we'll go see a show that is not at all like I thought before it is seen, but eventually after seeing I am not dissatisfied with my idea out to break the monotony of daily life, before I did not think I lived without saying that he had do something to avoid taking foot in the carpet
la chance est de retour, j'étais encore dans une pensée désagréable quand tout à coup, c'est comme ça que je les aime, il faut un certain savoir-faire pour ne pas ressembler à quelqu'un d'autre, je ne sais pas qui, quelqu'un qu'on connait sans vraiment y porter quelque chose de lourd, quelque chose de léger qui ne déforme pas les poches de mon pantalon, je suis embêté, je ne trouve aucune alternative à la lourdeur de la vie, comment pourrais-je sauter sans perdre l'équilibre, mais le corps a peur de tomber, et plus ça va moins on est léger, des tas d'histoires dans la tête, des kilos superflus, le ventre s'arrondit et ce n'est pas dans l'attente d'une heureux évènement, juste le quotidien qui passe sans s'arrêter, ce n'est pas très poli, mais de nos jours la politesse disparait, il ne reste rien de la vitesse quand on s'arrête, aucun souvenir, le vide absolu, mais la vie permet de reprendre une autre fois du gâteau à condition de demander poliment à la dame, bonjour chez vous et ensuite nous irons voir un spectacle qui n'est pas du tout comme j'aurais cru qu'il soit avant de le voir, mais finalement après l'avoir vu je ne suis pas mécontent de mon idée de sortir pour briser la monotonie du quotidien, avant je n'y pensais pas, je vivais sans me dire qu'il fallait faire quelque chose pour éviter de se prendre les pieds dans le tapis
for all the famous order, although it must have something somewhere that resembles what is possible to do in getting the size of all I think I know where the exit is, in a few seconds while s 'true, not worth chasing, but this comes after the real end, you should walk straight ahead to find a water source, we can discuss after drinking alcohol, it is important to know what happens when the highway leading somewhere, I'm going in the direction of knitting needles from my grandmother, but I stop when I turn right, safety first, I continue to go further, I do not know if I would reach the maximum, some claim to have known him, but I am cautious when it comes to know that this is not something else that's going well, time and space are sets soon, when everything is ok, we go to the bottom and it falls down, where you live all the time, delusions, loss of balance, advanced risky, malicious people, there is no point run, we must start now, not in ten years, that's why it goes in front and nothing is left behind, no fault, no error, hopefully, maximum relaxation, happiness update , push hard, it will be born in an hour, bravo, years of galley, but how do otherwise, everything comes when it can
pour l'ensemble de l'ordre fameux, il doit bien avoir quelque part quelque chose qui ressemble à ce qui est possible de faire, pour bien réaliser la dimension de l'ensemble je pense savoir où est la sortie, en quelques secondes tout s'en va, pas la peine de courir après, mais ceci vient après la vraie fin, il faut marcher tout droit pour trouver une source d'eau, après nous pourrons discuter en buvant de l'alcool, il est important de bien savoir ce qui se passe, quand l'autoroute mène quelque part, je vais dans le sens des aiguilles à tricoter de ma grand-mère, mais j'arrête quand je tourne à droite, la sécurité avant tout, je continue pour aller plus loin, je ne sais pas encore si j'atteindrais le maximum, certains prétendent l'avoir connu, mais je reste prudent quand il s'agit de savoir ça, ce n'est pas autre chose, c'est ça qui va bien, le temps et l'espace sont ensembles peu de temps, quand tout est ok, on y va à fond et on retombe en bas, là où on vit tout le temps, illusions, pertes d'équilibre, avancées hasardeuses, gens malveillants, rien ne sert de courir, il faut partir maintenant, pas dans dix ans, c'est pour ça que ça passe, en avant et rien d'autre ne reste derrière, pas de faute, pas d'erreur, tout va bien, détente maximale, bonheur actualisé, poussez fort, il va naître dans une heure, bravo, des années de galère, mais comment faire autrement, tout vient quand ça peut

lundi 8 février 2010

rise in the precise spot is the envy of anguish from a wrong direction, it must pass by, but I had a bad feeling, I saw rocks falling down, I could have avoided the biggest, but I could not understand that the truth was too small, how can we admit that the principal is always looking in the gutter, the water flows into silence, she knows everything but said nothing human is the opposite They talk about what they do not know to properly present, but the gap is coarse, we do nothing, does nothing, he waits, but nothing happens, it's all been there, nothing remains not any pet, just a stream going down a mountain, not to miss any of what follows, I am equipped with a new antenna ventral me communicate in real time all I can already know what, I should have forgotten what I was looking for, maybe the happiness I seek a long time and I feel find now, immediately, immediately, it is too late gone, I continued in what direction, for it is the mountain, where we have to go climb the mountain to see the other side, what about the other side, the other side, that's all, no, it's not all the small thing is I who looked the other hand,
dans la montée précise de l'envie se place l'angoisse de partir dans une mauvaise direction, il fallait passe par là, mais j'ai eu un mauvais pressentiment, j'ai vu des rochers tomber par terre, j'aurais pu éviter le plus gros mais je ne pus comprendre que le vrai était aussi petit, comment admettre que le principal soit toujours à chercher dans le caniveau, l'eau coule en silence, elle sait tout mais ne dit rien, les humains c'est le contraire, ils parlent de ce qu'ils ne connaissent pas pour bien présenter, mais le vide est grossier, il ne cherche rien, ne veut rien, il attend, mais il ne se passe rien, tout est passé par là, il ne reste rien, pas le moindre animal de compagnie, juste un ruisseau qui descend d'une montagne, pour ne rien rater de tout ce qui va suivre, je me suis équipé d'une nouvelle antenne ventrale qui me communique en temps réel tout ce que je peux savoir de quoi déjà, j'au oublié ce que je cherchais, peut-être le bonheur, je le cherche depuis longtemps et j'ai l'impression de le trouver maintenant, tout de suite, sans attendre, il est trop tard il est parti, je continue dans quelle direction, par c'est la montagne, c'est par là qu'il faut aller, escalader la montagne pour aller voir de l'autre côté, qu'y a-t-il de l'autre côté, l'autre côté, c'est tout, non, ce n'est pas tout, le petit rien c'est moi qui regarde de l'autre côté,
my thoughts fly to where I was yesterday, but I do not recognize the place because it was upside down, or was I not close enough to me to realize that time does not see through life, everything is dark in my body, the stomach is full of shit, the brain does that to think there is no green space or you can walk, everything is organized to live a Working full time, while the leisure I do not think the movement begins on the first beat of the heart in the womb of the woman who will become a mother, it all starts now, it takes many years to say, we must consider , spending time doing nothing, repeat often to check that the road is always the same because I'm heading in watching the building, then I know where I am, I recognize that window, but the curtain was red it is blue now, but I think soon the time is right to continue, I want, I am, I can, I'll finally I'm going, but I meet, what will happen, yet a second, is this the last or first, I ask myself between the two to match with eternity, just a second of happiness, I am me, I just listen to me, an ocean of happiness frozen as ice vanilla in winter as in summer it melts, the main problem of the enhancement, it should be changed often so you do not want to stay glued to the bottom of the back pocket of my pants
ma pensée vole jusque là où j'étais hier, mais je ne reconnais pas l'endroit car il était à l'envers, où bien n'étais je pas assez près de moi pour me rendre compte que le temps ne permet pas de voir au travers de la vie, tout est sombre dans mon corps, l'estomac est plein de merde, le cerveau ne fonctionne que pour réfléchir, il n'y a aucun espace vert ou on peut se promener, tout est organisé pour vivre, un travail à plein temps, alors le loisir je n'y pense pas, le mouvement commence au premier battement du cœur dans le ventre de la femme qui va devenir mère, tout commence maintenant, il faut bien des années pour le dire, il faut réfléchir, passer du temps à ne rien faire, recommencer souvent pour vérifier que la route est bien toujours la même car je ne me dirige qu'en regardant les immeuble, là je sais où je suis, je reconnais cette fenêtre, mais le rideau était rouge, il est bleu maintenant, mais je pense rapidement que le moment est bien choisi pour continuer, je veux, je suis, je peux, je vais, enfin je vais, mais j'approche, que va-t-il se passer, encore une seconde, est-ce la dernière, ou la première, je me pose entre les deux pour correspondre avec l'éternité, juste une seconde de bonheur, je suis moi, rien que moi à l'écoute de moi, un océan de bonheur figé comme de la glace à la vanille en hiver car en été elle fond, c'est le problème principal de l'accessoire, il faut en changer souvent si on veut ne pas rester collé au fond de la poche arrière de mon pantalon