when is it now

lundi 9 février 2009

tu peux arriver en bas à condition de ne pas monter les blancs contre la décision de blanchir l'argent, une fois que nous serons sûr de passer la frontière, réveille moi pour je puisse préparer mes affaires dans l'urgence, je n'aime pas être bousculé dans le metro, ça me donne froid par le devant, j'ai chaud au derrière, il faut que je sorte boire un grand bol d'air pollué, je n'ai pas choisi de vivre ici, il faut bien être de quelque part, je suis d'ici, et vous de là, pas de quoi faire des histoires, on est bien où on est, la vie passe trop vite pour s'ennuyer à chercher des histoires à ceux qui sont mal rasé, chacun décide devant sa porte, à midi de préférence, le soleil permet d'y voir clair, plus que la lune et les étoiles réunies, de toute façon la nuit je dors sur me deux oreilles et mes deux fesses, bien calées sous la couette, plus besoin de faire le lit, hop je me glisse, l'oreiller m'attendait depuis le matin pour m'apporter les nouvelles pas très fraîches de la veille, ça sentait la sardine baignant dans son jus, au moment de se coucher j'aurais préférer oublier que le ventre soit attiré par un autre pour se frotter à l'huile

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