when is it now

lundi 30 mars 2009

why wait to stop thinking for not staying with the vision of the brutality of the closure we made to believe that the feeling of existence, without again to make it short I would say that mental health is of paramount importance in the sense of history to tirroirs suspended in the frenzy of the opening can be accomplished to properly hold the handle to sense the force exerted on the vacuum to get a result, it is then asked to look as much as possible , with no attention to that side is not like the precedent, it must be long for a disappointing result, it still works the same way, without thinking of evil, just history to advance a meter but can we measure the harm that may result from the simple movement of air can cause a tsunami, the butterfly effect which causes a movement of air that wraps at the other end of the earth with devastating hurricane , so when we see a human body along with a butterfly and the number of people moving simultaneously in different directions, what causes it, earthquakes, vibration when cosmic do go to buy bread may
pourquoi attendre de s'arrêter de pensée pour ne pas rester à la vision de la sauvagerie du nous pris en fermeture de croire à la sensation d'exister, sans recommencer à la faire courte je dirais que la santé mentale est d'une importance capitale, dans le sens de l'histoire à tirroir suspendu dans le vertige de l'ouverture possible à condition de bien tenir la poignée pour sentir la force exercée sur le vide pour en tirer un résultat, il est ensuite demandé de se ressembler le plus possible, attention aux pas d'à côté qui ne ressemble pas au précédent, il faut s'exercer longtemps pour obtenir un résultat décevant, on marche toujours de la même façon, sans penser à mal, juste histoire d'avancer d'un mètre mais peut on mesurer le mal qui peut en découler, le simple déplacement d'air peut provoquer un tsunami, c'est l'effet papillon qui entraîne un mouvement d'air qui s'enroule à l'autre bout de la terre en ouragan dévastateur; alors quand on voit un corps d'humain à côté d'un papillon et le nombre d'humain se déplaçant en même temps dans des directions différentes, qu'est ce que ça provoque, des tremblements de terre, des vibrations cosmiques quand on ne pense qu'à aller acheter du pain peut-être
adventure stops rot, the meal is finished, we have to urinate, if possible in the middle of the bowl, turn the fate of the body must agree to pretend to spend little time on earth, a handful of rice tonnes as compared to Westerners eat in one day, we must sweat to think of grace as fat, that's what connects us to God, the flesh, God became a day or otherwise, that is so complicated these stories angel that lights up the stage to share the pain that I saliva of boredom as the eighteenth of the month I will have nothing to eat, great for weight loss, but become I read some old con who stop smoking while rejecting their boredom in the face of their children, oh joy of existence, still pissed crosswind today, senility I win, when the trousers in that bathes the ocean of my situation immediately inconsiderable since the so-called worker should not occur before the end of the fall ended at the same time as the session of the sublime attention to delirious condition to follow the progress of life from the beginning until today without a second of rest, at night the subconscious takes over
l'aventure s'arrête au rot, le repas est fini, il faut penser à uriner, si possible au milieu de la cuvette, passons le sort que le corps doit accepter pour prétendre à passer peu de temps sur terre, une poignée de riz comparée aux tonnes que les occidentaux avalent en une journée, il faut suer pour penser à la grâce comme à la graisse, c'est ça qui nous relie à Dieu, la chair qui s'est fait dieu un jour ou le contraire, c'est tellement compliqué ces histoires d'ange qui éclaire la scène pour partager le pain que je salive d'ennui vu que le dix-huit du mois je n'aurai plus rien à manger, excellent pour une cure d'amaigrissement, mais deviendrais-je lus con comme certains vieux qui s'arrêtent de fumer en rejetant leur ennui à la face de leurs enfants, ô joie de l'existence, encore pissé de travers aujourd'hui, la sénilité me gagne, à quand le pantalon qui baigne dans l'océan de ma situation immédiatement inconsidérable vu que le soi-disant ouvrier ne devait pas intervenir avant la fin de l'automne qui finissait en même temps que la session de la sublime attention délirante à condition de bien suivre le déroulement de la vie depuis le début jusqu'à aujourd'hui sans prendre une seconde de repos, la nuit l'inconscient prend le relais
in anticipation of the happiness that stupid thoughts feel bad that the urine of senile gossip while they did not thirty years in the life he must fight against a deluge of abuse that go sterile in the grassy stream of missed opportunities maquée sot of water full of stinking shit, man does not know his happiness to exist, it vomits on the other to have a little ray of sunshine to him when all others are in shade, the more time passes more sun grows when others sink into the darkness of a life without taste, punctuated by train canceled, colleagues gaping tiring of neutrality, the night falls it is almost time to sleep so the body requires the oblivion of the world idiot, everything goes wrong but i still need to go stand in the night collecting pennies to feed the family, outside the family solitude, where the response of the immediate gratification without thinking sterile, the child forgets when he grows some truths child, it is not out of the hostel, the child forgets what he will never know more adult, why is it child then what's the point in the ancient civilizations, the child did not exist
dans l'attente idiote du bonheur que de pensées mauvaises qui sentent l'urine de la médisance sénile alors qu'ils n'ont pas trente ans, dans la vie il faut lutter contre un déluge d'injure stérile qui s'en vont dans le flot herbeux des occasions manquées maquées du sot d'eau plein de caca puant, l'humain ne connaît pas son bonheur d'exister, il vomit sur les autres pour pouvoir avoir un petit rayon de soleil à lui quand tous les autres sont dans l'ombre, plus le temps passe plus son soleil grandit quand les autres s'enfoncent dans la noirceur d'une existence sans goût, rythmée par le train annulé, les collègues fatiguant de neutralité béante, le soir qui tombe c'est presque le moment de se coucher tellement le corps demande l'oubli du monde idiot, tout va mal mais i faut quand même se lever pour partir dans la nuit récolter quelques sous pour nourrir la famille, en dehors de la solitude la famille, où se trouve la réponse de la satisfaction immédiate sans réflexion stérile, l'enfant oublie quand il grandit certaines vérités d'enfant, on est pas sorti de l'auberge, l'enfant oublie ce qu'il ne saura jamais plus adulte, pourquoi est-il enfant alors à quoi ça sert, dans les anciennes civilisations, l'enfant n'existait pas

dimanche 29 mars 2009

to remember the first seconds of the exit of the round sphere is square to the outside, considering the case aside, with a blow on blow up in smoke without understanding what it is, what or who or why or what, who, when, immediately without waiting for the train that goes by without stopping, yet it was expected, yes ma'am, but provided no precise, precisely at this time he did not stopped, it is accurate, it is square, the circle does not pass, it bounces randomly went a round and then another, here and there, impossible to grasp, on a nice run after he fled The fate of two trains that do not will never do that when I'm there, but when I go in my back I hear the hiss of wheels on rails, too late, I will not be this train, I'm too far away or poorly prepared, I read if I'm still alive tomorrow or in ten years, depending on the summer schedule, but I live in the winter time of the waiting to warm your nose glued to the window, warm to do nothing, waiting for the train of the summer, when it is too late to make the time to do is past, that there still to live as we ought, as we should
pour bien se rappeler la première seconde de la sortie de la sphère ronde, c'est carré pour l'extérieur car considérant le cas de côté, un coup comptant sur un coup partit en fumée sans comprendre de quoi il s'agit, de quoi ou de qui ou pourquoi ou quoi, qui, quand, tout de suite sans attendre le train qui passe sans s'arrêter, c'était pourtant prévu, oui madame, prévu mais pas précis, précisément à cette heure il ne s'est pas arrété, c'est précis, c'est carré, le rond ne passe pas, il rebondit de manière aléatoire, allé un tour et puis un autre, par çi, par là, impossible à saisir, on a beau courrir après, il fuit, le destin entre deux trains qui ne viennent pas qui ne viendront jamais quand je suis là, mais dès que je m'en vais j'entends dans mon dos le sifflement des roues sur les rails, trop tard, je ne serai pas de ce train là, je suis trop loin ou mal préparé, j'essaierai le suivant si je suis encore vivant, demain, ou dans dix ans, ça dépend de l'horaire d'été, mais moi je vis en hiver, le temps de l'attente au chaud, le nez collé à la vitre, au chaud à ne rien faire, attendant le train de l'été, quand il sera trop tard pour bien faire, le temps de bien faire est passé, que reste-t-il pour vivre comme il faut, comme on devrait
in the situation outside the venue of the bumpy accidental lack of justification, I think of the other walks without thinking about the action to build an annuity until the end of bleak and lonely life in the abandoned park, near the icy pond youth frozen forever in the heart half empty bitterness of existence irresponsible in the soup of the sad days when the swing stops moan, we often have to fight against the envy that goes down in the basement of legal possibilities, where the loss of identity shines in the darkness purulent open sewer or a drunk piss without pay attention to the nascent days of splendor, an under-expressed it in a hiccup of conscience morning, a fresh in the heavy body that is woefully behind in order not to fall at every step, a chain that holds the soul to enjoy themselves without thinking of evil, but the human is free to slide into the unknown ground of poverty, the mud in the most ignoble thoughts moribund emitting waste to spend a sad spectacle colorless agitated when people without hope, guided only by the desire to crush its neighbor, always more misery
dans le dehors de la situation cahotique de la venue accidentelle de l'absence de justification, je pense à l'autre qui se promène sans penser à l'action de se constituer une rente jusqu'à la fin de vie morne et solitaire dans le parc abandonné, près de l'étang glacé de la jeunesse figée pour toujours dans le coeur à moitié vide d'amertume d'existence irresponsable dans la soupe des jours tristes quand le balancement s'arrête de geindre, il faut recommencer à lutter contre l'envie qui descend au sous-sol des possibilités morales, là où la perte d'identité resplendit en noirceur purulente d'égout à ciel ouvert ou pisse un ivrogne sans plus faire attention à la splendeur du jour naissant, un de moins se dit-il dans un hoquet de conscience matinale, une fraîche dans la lourdeur du corps qui se traîne lamentablement pour ne pas tomber à chaque pas, une chaîne qui retient l'âme de se divertir sans penser à mal, mais l'humain est libre de sombrer dans l'inconnu de la misère souterraine, dans la fange la plus ignoble des pensées moribondes dégageant des ordures pour passer, un spectacle triste sans couleur où s'agitent les humains sans espérance, uniquement guidés par la soif d'écraser son prochain, toujours plus de misère

jeudi 26 mars 2009

but the I that I am leaving this week for this piece of certain knowledge in the skin of thirst when I think of my life but if I can do this week so I could keep at the edge of the potential the condition to move the pile from left to right, an adventure that will take me one second in uncertain times, a century for humans, is wonderful to nothing, however, shorten the time, attention to the fall, the cancer develops, it must die tomorrow, yeah, it ends, it is the last lap, smile for the camera, resting their arms, he sleeps forever, it's the end of the body, it was boring, beautiful, stupid, single, strong, con, on demand, not retain, train battalions, scream to death, retaining a sob, go into force, in spite of myself if I can say I am a candidate for the arrival eternal, never start over, that the dead go, I rest, I is not moving, I m'enterre in the immediate satisfaction, only against the bitter wind who can not get their absentee fathers forever rotting somewhere between heaven and to land long absent due to lack of flesh, the substance that makes the life that clutters hate envy the wall across the story that repeats itself, the full accompanying the survivor while that a survivor
la où je mais cependant que je suis pour cette semaine en partance pour ce bout de savoir certain dans la peau de la soif quand je pense à ma vie mais si je peux faire la semaine comme ça je pourrais me tenir à la bordure des possibilités considérables à la condition de passer le tas de gauche vers la droite, une aventure qui me prendra une seconde en temps incertain, un siècle pour les humains, mesure formidable de rien, il faut cependant raccourcir le délais, attention à la chute, le cancer se développe, il faut mourir demain, oui, c'est finit, c'est le dernier tour, souriez pour la photo, reposer les armes, il dort pour toujours, c'est la fin du corps, il a été chiant, beau, stupide, seul, fort, con, à la demande, sans se retenir, former des bataillons, hurler à la mort, retenir un sanglot, passer en force, malgré moi si je peux dire que je suis candidat à l'arrivée éternelle, jamais plus de départ, que des morts qui s'en vont, moi je reste, je ne bouge plus, je m'enterre dans la satisfaction immédiate, seul contre les vents amères qui ne trouvent pas leurs pères absents pour toujours pourrissant quelque part entre ciel et vers de terres depuis longtemps absent pour cause de manque de chair, cette substance qui fait toute la vie qui l'encombre la déteste l'envie le mur d'en face l'histoire qui se répète, le plein qui accompagne le survivant tout ça un certain survivant
in the certainty how many, we must also say that the worst is to laugh at oneself when looking haughty is, adjustments by lowering the curtain to see how many dogs are in the street, two short-haired a short-haired, but still it is urgent to make large commission, provided for paper wipes his behind, he did not understand the significance of the face and yet it is essential for well, after it passes through the transit of daily vomiting of uselessness vibrant, but how to wake up to alarm bells to the stupidity of the human being always ready to pounce on a sausage which is not good, but when hungry damn it, we must make sacrifices, do not hold the immediate satisfaction of enjoying the survival condition of the existence of sharing the passion of love, not a small matter, just a setting divine in the flesh of the mare, find a millimeter of easy happiness, a high-flying company, while the body is made of trance, love, love this another con, ha not be starting from scratch, how d ' I have test to last, one for the thirsty, yes, but it cost me dear, I have to look at the
dans la certitude faire bien, il faut quand même se dire que le pire est de rire de soi-même quand l'allure est hautaine, corriger le tir en baissant le rideau pour savoir combien de chien sont dans la rue, deux à poil court, un à poil tout court, mais quand même c'est urgent de faire la grosse commission, à condition d'avoir du papier pour s'essuyer le derrière, il n'a pas l'importance du visage et pourtant il est essentiel pour bien marcher, après ça passe dans le transit du quotidien à vomir d'inutilité vibrante, mais comment se réveiller pour sonner les cloches de la stupidité de l'être humain toujours prêt à bondir sur une saucisse qui n'est pas de bonne qualité, mais quand on a faim c'est foutu, il faut faire des sacrifices, ne rien retenir de la satisfaction immédiate à savourer de la survie à condition de partager l'existence de la passion d'aimer, pas une mince affaire, juste un réglage divin, dans cette mare de la chair, trouver un millimètre de bonheur facile, un entreprise de haute voltige, tout le corps est pris de transes,aimer, aimer l'autre ce con, ha non, faut recommencer à zéro, combien d'essais il me reste jusqu'au dernier, un dernier pour la soif, oui mais ça me coûte cher, il faut que je regarde le

dimanche 22 mars 2009

known for attention to the opening through it must be but yes it means that though you could not jump in the exact figure to be armor failed word before they are born or c It is feeding a little breathing worse to come in a distant but still seem so accessible, ha yeah, I see you as you are, if I see you, but as it is strange I do not feel nothing, nothing in my arteries, no sign of life, my lungs are fripes, they are worthless, just yesterday they were inflated, but today, the day today, I have in the toes, walking is so much better but I do not m'avoue defeated for the rest, move, go ahead, go ahead, a project, another two at the same time, three is over, taste of the last scene, Farewell Comrade I am going to Spain, do not join me because the sand castle is for eternity, a journey without interest and a visit to the Guimet Museum a rainy day, the east of life what the West fine evening when everything is based on the wetland desires inasouvis we can find tomorrow, they flew forever in blue delight
pour le connaître attention à l'ouverture de travers; il faut il faut mais oui ça veut dire ça mais quand même vous ne pourriez pas vous lancer à la figure l'exacte armure de l'être en déliquescence verbale avant de naître ou alors c'est nourrir un peu que de respirer le pire à venir dans des conditions lointaines mais qui paraissent tellement accessible, ha oui, je te vois comme tu es, si je te vois, mais comme c'est bizarre je ne sens plus rien, rien dans mes artères, aucun signe de vie, mes poumons sont fripés, ils ne valent plus rien, hier encore ils étaient gonflés, mais aujourd'hui, au jour d'hui, je dois dans les doigts de pied, à pied c'est tellement mieux mais je ne m'avoue pas vaincu pour le reste, bouger, aller, venir, aller, venir, un projet, un autre, deux en même temps, trois c'est finit, avant goût de la dernière scène, adieu camarade, je m'en vais en Espagne, ne me rejoignez pas car le château est en sable pour l'éternité, un beau voyage sans contrainte et aussi intéressant qu'une visite au musée Guimet un jour de pluie, l'orient de la vie quel bel occident du soir quand tout repose sur la terre humide des désirs inasouvis qu'on ne pourra retrouver demain, ils se sont envolés pour toujours dans l'azur de la volupté

jeudi 19 mars 2009

dans un tour de ma folie passagère, je tombe d'un coup pour oublier qui je suis, qui étais-je, qui n'étais-je pas, qu'ai-je donc fait de travers, pourquoi tout de suite me considérer comme un qui ne fait pas ce qu'il faut, il faudra mais plus tard, je dois d'abord terminer la tâche du vin qui m'assomme tous les soirs quand je voudrais continuer pour ne pas perdre de temps mais la stupéfaction me prend par la gorge, mon corps est lourd, je ne peux plus le porter, il faut qu'il m'entraîne dans l'abîme délicieuse de Morphée, des heures à ne plus compter sur ses doigts la misère qui se cache sous les ongles, la vérité fait peur alors on se cache dans des coins sombres où le regard ne va pas, on en sort, il faut en sortir pour rebondir, bondir ça ne suffit pas, il faut le faire plusieurs fois en espérant que celle là c'est la bonne, mais c'est encore raté, je recommencerai demain quand il fera jour, c'est quand même plus facile d'y voir clair quand le soleil brille pour faire oublier que le temps passe sans qu'on puisse lui dire d'aller moins vite, lui et moi on ne se parle pas c'est une question de dignité, pourquoi avouer que le rythme ne convient pas, tout est très bien merci à bientôt, oui c'est ça, au revoir merci oui je
in a distant memory, I was going through there, but from the moment I left the room I had to remember that the door did not open from inside, so I was forced to m'avouer for once and is only liable for the way I was given a grace that still can not enter my mind as I'm stuck to accept that we can waive the rule human, What is it really simply a reaction to the ambient air suddenly weighs a dissatisfaction with his knees up against the idea that is usually just the head, while the problem is down right at the signpost to the future, once the wall it is good not to be moved, as if nothing was responsible for everything, then everything would be better is what I think, am I the only one to go in this obvious dead end, but life is not clear how to understand that I do not do that but then if I want it well but when it even surprised, then it should start later, to find the same thing, there is no exit is blocked from all side, go to tomorrow and without rancor
dans un lointain souvenir, je me suis vu passer par là, mais dès l'instant où je quittais la pièce je dû renoncer à me souvenir que la porte ne s'ouvrait pas de l'intérieure, en conséquence de quoi je fus contraint de m'avouer pour une fois et celle là seulement redevable de la façon dont on m'avait accorder une grâce qui encore aujourd'hui ne peut entrer dans mon esprit tant je suis bloqué pour accepter qu'on puisse déroger à la règle humaine, de quoi s'agit-il en réalité, une simple réaction à l'air ambiant qui tout à coup pèse comme une insatisfaction dans la place des genoux par rapport à l'idée qu'on se fait généralement qui vient de la tête, tout le problème est de redescendre à droite au niveau du poteau indicateur vers l'avenir, une fois au pied du mur il est de bon ton de ne pas s'émouvoir, faîtes comme si de rien n'était responsable de tout, alors tout irait mieux, c'est ce que je pense, suis-je le seul à aller dans cette voie sans issue évidente, mais la vie n'est pas claire, comment comprendre que je ne fais pas que le si alors mais ça je veux bien mais quand même ça surprend, alors il faut partir plus loin, pour trouver la même chose, il n'y a pas d'issue, c'est bloqué de tous les côté, allez à demain et sans rancune

vendredi 13 mars 2009

passing later in my life I realized that the gap is huge all around the body walks a desire to be walking in the wind interstellar commissioned by I do not know what bird of bad omen, it darkens not right peg on our wall of small self-contentment, in a moment everything is destroyed, self-confidence, freedom to think without fear, just to repeat since the beginning of the prehistory of my life when I was a lemur sucking ants before looking who wants to earn millions, no thank you I prefer to wait until the situation clears slowly at the pace I choose, years of construction of a ramshackle building, but who knows what it means to sacrifice for possibly get better later, it is a risk to take, and after who knows where everything is wonderful as possible, the exact opposite of now or nothing moves, the hand holding the passage to nowhere , heaven or hell I could, I should have, I will be far from here or anywhere else it depends on the starting point and especially the middle when everything seems lost when we are on the beach only survivor of a ship engulfed, Noah's ark the days pass, it is four hours, the taste
en passant à côté de ma vie je me suis aperçu que le vide est immense, tout autour du corps se promène une envie qui se balade au gré du vent interstellaire, commandée par je ne sais quel oiseau de mauvaise augure, elle fonce ne piquet droit sur notre petit mur de contentement de soi, en un instant tout est détruit, la confiance en soi, la liberté de penser sans angoisse, tout à refaire depuis le début de la préhistoire de ma vie, quand je n'étais qu'un lémurien suçant des fourmis avant de regarder qui veut gagner des millions, non merci je préfère attendre que la situation s'éclaircisse doucement au rythme que j'ai choisi, des années de construction d'un édifice branlant mais qui sait ce que veut dire sacrifice pour éventuellement aller mieux après, c'est une risque à prendre, qui connaît et après merveilleux où tout est possible, c'est l'exact contraire de maintenant ou rien ne bouge, c'est la main tenant le passage vers on ne sait où, paradis ou enfer de j'aurais pu, j'aurais dû, je serai loin d'ici ou d'ailleurs tout dépend du point de départ et surtout du milieu quand tout paraît perdu alors qu'on est sur la plage seul rescapé d'un navire englouti, arche de Noé des jours qui passent, il est quatre heures, c'est le goûter
yes I know what goes on behind my back, I have eyes everywhere to see you, happy kind of stupid for oneself and yet how can we know happiness in despising the other, who are they for hate at this point, people unhappy for most who would not ask better than to smile from time to time, but life does not allow distractions, we must move forward without backward, facing the diversity of possibilities without having a key to open the back door at the bottom of the case of rabbit late, it ends up that time, no more dreams of gladiators and Mickey, the reality is too raw or cooked, never resting in the middle of prey to 'annoys positive bodies in peace, conscious indifference, the air flows as a friend, the sun is shining, nostrils open wide in the satisfaction of a moment stolen from the atrocious and despotic utility, every gesture is counted , no dream, a little serious to pay your rent, work, do not lift the head, use your health for not having a pension, life is what it is and what it should not be experience learn to take the right story to avoid unpleasant encounters, the space of freedom is not large
oui je sais bien ce qui se passe derrière mon dos, j'ai des yeux partout pour vous voir, espèce d'imbécile heureux que pour soi-même et encore comment peut-on connaître le bonheur en méprisant les autres, qui sont-ils pour les haïr à ce point, des gens malheureux pour la plupart qui ne demanderait pas mieux que de sourire de temps en temps, mais la vie ne permet pas de distraction, il faut avancer sans reculer, affronter la diversité des possibilités sans avoir de clé pour ouvrir la petite porte tout en bas de la case du lapin en retard, c'est finit ce temps là, fini les rêves de gladiateurs et de Mickey, la réalité est crue ou alors trop cuite, jamais de milieu reposant en proie à l'ennuie positif, les organes en paix, la conscience indifférente, l'air passe en ami, il fait beau, les narines s'ouvrent largement dans la satisfaction d'un moment volé à l'atroce et despotique utilité, chaque geste est compté, pas de rêverie, un peu de sérieux pour payer votre loyer, travaillez, ne relevez pas la tête, user votre santé pour ne pas avoir de retraite, voilà la vie ce qu'elle est et ce qu'elle ne devrait pas être, l'expérience apprend à se tenir droit histoire d'éviter les mauvaises rencontres, l'espace de liberté n'est pas grand

jeudi 12 mars 2009

at the dawn of life, there is no fast food, everything is fluid, without taste, the aim is to feed with the permission of doctors, the stomach is then made just to kill the germs it need for the infamous boiled carrots, which sent the vomit is not the discovery of taste, it is said that the greatest pleasure of eating is when you have the meal of the day preceding his death, but how to know, for example Yesterday I ate mussels that made me think at the same time to my death if I fell on a mold by fresh, but at the same time I felt in the fields of my childhood experience back forward through the sea before the Nintendo DS and broadband Internet, going on at that time lointaine days to do nothing from time to time Carresse sex thinking that one day a hand other than the mine could take over, is that in my youth that does not rise to the forties it was known to do nothing and regret it years later, today, must be addressed, in car dvd , mobile action during the holidays, we see even the sun, then you have to buy the self tanner thank you
à l'aube de la vie, il n'existe pas de fast food, tout est liquide, sans goût, l'objectif est de nourrir avec l'autorisation des medecins, l'estomac est à peine constitué alors pour tuer les germes il faut de la bouillie infame aux carrotes qui sent le vomis, c'est pas encore la découverte du goût, on dit que le plus grand plaisir de manger est quand on a le repas du jour précédant sa mort, mais comment le savoir, par exemple, hier j'ai mangé des moules qui m'ont fait penser en même temps à ma mort prochaine au cas où je tombe sur une moule par fraîche, mais dans le mêm temps j'éprouvais sur le champs de mon enfance une expérience de retour vers le futur en passant par le bord de mer avant les nitendo ds et l'internet haut débit, on passait à cette époque lointaine des journées à ne rien faire que de temps en temps se carresser le sexe en pensant qu'un jour une main autre que la mienne pourrait prendre le relais, c'est dire que dans ma jeunesse qui ne remonte pas aux années quarante on savait ne rien faire et le regretter des années après, aujourd'hui, il faut s'occuper, dvd dans la voiture, portables en action pendant les vacances, on ne voit même plus le soleil, alors il faut acheter de l'auto bronzant merci
within the meaning of death there is no room for hope, so why be enjoyed with delicious chocolate mousse without the bitterness of mouth a tomb, not the sweet than all the concerns, with a small glass of wine is the assurance for an hour without worrying about the war in the world, AIDS in Africa or prison in the East, my neighbor is my misery by putting his TV too loud, I forget in taking a second glass of wine at your background I am a shape that reminds me of the sweet feeling of oblivion at the corner of the road to the attention of the stupid human condition, like that other than to flow into the water from the oblivion that is always in the middle of the bed of the memory of the world, the old password without justification to exist, these are the people who complain about not being in the eye of providence, a gift from which no one knows where that would resolve all issues, even the hyper-sophisticated unconscious condition not to take the lead on a Sunday at the Mass is a way of seeing things in their place, I am not unhappy to come to the conclusion that any attempt seemed risky not to say
dans le sens de la mort il n'y a pas de place pour l'espérance, alors pourquoi savourer avec délice une mousse au chocolat sans avoir dans la bouche une amertume de tombeau, non, le sucré dépasse toutes les inquiétudes, avec un petit verre de vin c'est l'assurance de passer une heure sans se préoccuper des guerres dans le mondes, du sida en Afrique ou des prison en Orient, mon voisin me fait des misères en mettant sa télé trop fort, je l'oublie en prenant un deuxième verre de vin, au fond je vos une forme qui me rappelle la douce sensation d'oubli au coin de la route qui mène à l'attention de la stupide condition humaine, que souhaiter d'autre que de couler dans l'eau de l'oubli qui passe depuis toujours au milieu du lit de la mémoire du monde, l'ancien qui passe sans se justifier d'exister, ce sont les humains qui se plaignent de ne pas être dans l'oeil de la providence, un cadeau venant dont ne sait où qui réglerait toutes les questions, même celle de l'inconscient hyper sophistiqué à condition de ne pas le prendre sur la tête un dimanche à l'heure de la messe, c'est une façon de voir les choses à leur place, je ne suis pas mécontent d'arriver à la conclusion d'une tentative qui me paraissait hasardeuse pour ne pas dire

mardi 10 mars 2009

receive the satisfaction of passing without looking back on the teeth of the girl who seems not to remember to take for I could not finish my thoughts confused in the fog of feelings mixed together so that we need a comma from one to another, that being said I must tell you the terrible story of the musketeer joe when he was preparing to leave his room, an idea came hitting behind the head, he died and not left behind as the dust and no self-esteem is a time everything is dirty or playing the lottery, decent people do not run the streets, they simply walk screaming at the stupid beasts thirsting idle considerations on the age of the master before drinking three glasses of liquor to the health of all those who will never know the exhilaration of the open sea, we dropped the past at the speed of a rocket magic for kids, for May I who experienced the eve of today's stories end badly when they get ill, and now it's already time to leave to the next on an area of highway in front or behind when you are still young but should not abuse
recevoir la satisfaction de passer sans se retourner sur la dentition de la demoiselle qui semble ne plus se retenir de se prendre pour une je ne pourrais pas aller jusqu'au bout de ma pensée confuse dans le brouillard de sentiments mélangés entre eux à tel point qui 'il faut une virgule pour passer de l'un à l'autre, ceci étant dit il me faut vous conter l'histoire terrible de joe le mousquetaire, alors qu'il s'apprêtait à sortir de sa chambre, une idée vint le frapper derrière crâne, il en mourut et ne laissa derrière lui que de la poussière et pas d'amour propre, c'est une époque sale ou tout se joue à la loterie, les honnêtes gens ne courent pas les rues, ils marchent tout simplement devant la bêtise hurlante des bêtes assoiffées de considérations oiseuses sur l'âge du capitaine avant de boire trois verres de liqueur, à la santé de tous ceux qui ne connaîtront jamais l'ivresse du grand large, on largue le passé à la vitesse d'une fusée magique pour les gosses, mai pour moi qui ai connu la veille d'aujourd'hui, les belles histoires finissent mal quand elles commencent mal, et voilà c'est déjà l'heure de se quitter à la prochaine sur une aire d'autoroute ou devant derrière quand on est encore jeune mais faut pas abuser
tomorrow you can get what I want since I know you but how can you design me an opportunity to get my hand into her mouth, excuse me I can not control myself when I say anything fear of receiving a memento neglected the superb condition of twenty or thirty rocking chair in the sense of lost childhood with peter pan on the ambulance from my youth buried in the mud of my conscience owner seeking absolute necessity of live at the point when all my senses tell me the correct angle of vision if we take at the location compared to the certainty of return tomorrow when the sun has made a turn on itself unless the earth, Copernicus sacred, that I could invent else I would be in reverse without measuring the importance of atmospheric considerations university of South Carolina, in the warmth of a late afternoon when she looked me straight in the eye to chase dust of his left eye before the revelation of the divine design them for at least a thousand years is that belief is a truth not to abuse as we spoke in France country of my childhood
demain tu pourras me faire ce que je veux depuis que je te connais mais comment pourras-tu concevoir de m'accorder la possibilité de recevoir ma main dans la gueule, excuse moi je ne sais pas me contrôler alors je dis n'importe quoi de peur de recevoir un souvenir négligent la condition superbe de vingt ou trente fauteuil à bascule dans le sens de l'enfance perdue avec péter pan sur l'ambulance de ma jeunesse enfouie dans la boue de ma conscience de propriétaire en quête d'absolue nécessité de vivre à l'endroit quand tous mes sens me disent l'angle de vision correcte si on se place à l'endroit par rapport à la certitude de revenir demain quand le soleil aura fait un tour sur lui-même à moins que ce soit la terre, sacré Copernic, que pourais-je inventer d'autre qui serait moi à l'envers sans mesurer toute l'importance des considérations atmosphériques au pôle universitaire de Caroline du Sud, dans l'ambiance chaleureuse d'une fin d'après midi quand elle me regarda droit dans les yeux pour chasser une poussière de son oeil gauche devant la révélation de la conception divine depuis au moins eux mille ans, c'est dire que la croyance est une vérité à ne pas abuser comme on parle en France le pays de mon enfance
when I think of all this, I want to laugh up not knowing if I'm there or one that would retain the tightrope to avoid not steep slide this time or in a coup that password provided through hold its breath as the last to be able to move is not yet returned, but it can not cook eggs in the condition comes from a country mainly for scholarly or against it depends on my condition nervous when I speak agree not acceptance before the last meeting with friends, ho you've seen storms when you, my brother, my head and my sisters, no clouds, but there you rouilles tomorrow for sure, the water passes through the body, amen, I say when I am not what I do not want t'aurais in the near future of the RER station, my brother and my sisters, ç that is where it happens, without having to go to see not stop picking at every word, should not be there too but it's the night before the day is cold, we must dress to exit, do not forget you must go to the police air for or against the legislation at sea ports
that would be mine although I am brown and you're not here to question me
quand je pense à tout ça, j'ai envie de rire jusqu'à ne plus savoir si je suis là ou bien un autre qui voudrait retenir la corde raide pour éviter de sombrer pas raide ce coup-ci ou dans l'a coup qui passe de travers à condition de retenir son souffle vu que le dernier à avoir pu passer n'est pas encore revenu, mais ça ne saurait faire cuire une oeuf dans la condition de provenir d'un pays à dominante savante pour ou contre ça dépend de ma condition nerveuse au moment où je parle d'accord pas d'acceptation avant la dernière réunion avec les camarades, ho tu t'es vu quand tu pètes, mon frère ma tête et mes soeurs, pas d'embrouille, là tu rouilles mais demain c'est certain, l'eau passe dans le corps, amen, je te le dis alors ne me fait pas ce que je ne t'aurais pas souhaiter dans un avenir proche de la station RER, mon frère et mes soeurs, ç'est là que ça se passe, sans avoir à voir à passer à cesser de ne pas se reprendre à chaque mot, faut pas se faire là aussi mais c'est tout avant la nuit, le jour est froid, il faut s'habiller pour sortir, n'oublie pas tu dois te rendre à la police des airs pour ou contre la législation des ports en pleine mer
qui serait la mienne bien que je sois brun et que tu n'es pas là pour me questionner

mercredi 4 mars 2009

to learn how to draw leaving nothing behind, avoid being born, as the snail leaves a trail behind him, I am able to build me the house of my thoughts on architecture overflowing satisfaction smooth passes me butter I spread fat to survive the winter, the good fat that just clog my arteries, but how to do otherwise, leave snacks by the acidity of the others who only want one thing to take your place breathe better, it is not so much space that I take that embarrassment, the place for feet, this is what emerges from that makes me crazy, but I do not express, I'm on the slope leads nowhere, so I avoid contradicting, I breathe only in the hope to meet a someone who can understand that influence is nothing compared to the desire to embrace in vacuum is better than to embrace the full red lips open to the mystery of a body open to the effective recognition of the intimate journey of youth in the grip of interrogation becomes essential disillusioned by habit into adulthood
pour savoir la façon de se tirer sans rien laisser derrière soi, évitons de naître, comme l'escargot laisse une trace derrière lui, je suis en mesure de moi pour construire la maison de mes pensées à l'architecture débordante de satisfaction onctueuse, passe moi le beurre que je me tartine de gras pour passer l'hiver, du bon gras qui vient boucher mes artères, mais comment faire autrement, se laisser grignoter par l'acidité des autres qui ne veulent qu'une chose, prendre ta place pour mieux respirer, ce n'est pas tellement l'espace que je prends qui gêne, la place pour les pieds, c'est ce qui se dégage de moi qui rend fou, pourtant je ne fais pas exprès, je suis sur la pente qui mène on ne sait où, alors j'évite de me contredire, je respire seul dans l'espoir de rencontrer un jour quelqu'un qui pourra comprendre que le fait de peser n'est rien par rapport à l'envie d'embrasser dans le vide, c'est mieux que d'embrasser sur le plein de rouge à lèvres ouvertes vers le mystère d'un corps qui s'offre à la reconnaissance effective du parcours intime de la jeunesse en proie à l'interrogation essentielle qui se transforme en habitude désabusée à l'âge adulte
dreary adventure in reverse of the situation great, it only lasts a moment of truth still intact but it's in the best outings of the year, I am listening to my organs closest without me doubt that I exist deep in a sustainable manner from birth to death, an event that capital is not the cold but the consideration of love that grows between two persons of different sex to agree on the possibility of 'birth nine months later, that being said it should not be the reality of life as an end in itself, I am, and then that I need to expect a little appreciation to swing at any cost in any situation, envy, boredom, joy, fear, together we can move in the same direction provided to congregate in truth, let down the taste of the interest, select the group to advance more quickly in seeking to use all the skills of each increased by those of others is a tremendous resource for the community, all for one, one for all, not just in the middle spoil the party
morne aventure à l'envers de la situation formidable, ça ne dure qu'un instant de vérité intacte mais quand même ça passe dans les meilleures sorties de l'année, je suis à l'écoute de mes organes les plus proches, sans me douter qu'en profondeur j'existe de manière durable de la naissance à la mort, un évènement capital qui ne vient pas du froid mais de la considération amoureuse qui pousse deux personnes de sexe différents à se mettre d'accord sur l'éventualité d'une naissance avec neuf mois de retard, ceci étant dit il ne faut pas concevoir la réalité de la vie comme une fin en soi, en moi je suis, et alors, que me faut-il pour espérer, un peu de satisfaction à balancer à tout va dans n'importe qu'elle situation, l'envie, l'ennui, la joie, la peur, tous ensemble nous pouvons aller dans le même sens à condition de se rassembler en vérité, laissons tomber le goût de l'intérêt personnel, choisissons le groupe pour avancer plus rapidement en cherchant à utiliser toutes les compétences de chacun augmentées de celles des autres, c'est un formidable outil au service de la communauté, tous pour un, un pour tous, rien au milieu qui vient gâcher la fête