when is it now

mercredi 21 novembre 2012

un est avant deux et trois est avant deux, mais 50 c'est cinquante, en voilà une qui ne l'a pas perdu, mais c'est aussi une façon de répondre à l'adversité, une tentative heureuse, et la conscience respire comme le corps, un coup en avant, un coup en arrière, ça donne une idée de l'envergure de la possibilité de comprendre ce qui se passe, car avant de voir quelque chose, il vaut mieux prendre un bon café et se laisser aller à des considérations d'absolues incertitudes, rien ne vient, tant mieux, tant pis, j'aurai eu de la patience, ce qui compte, c'est vendredi, quand le moment est choisi, un passage vers lundi, entre les deux, ça commence, ça s'arrête, ça vient, ça monte et puis c'est le soir, des heures de chance énorme, il faut la saisir, elle est disponible quand on la demande, mais il faut avoir le temps, il faut s'arrêter, il faut voir ce qui se passe, d'un seul coup elle est là, je la prends, je suis content, le moment est là, il ne bouge pas, tout va bien, dehors il fait nuit, la chance m'illumine, mon corps est détendu, combien de temps vais-je pouvoir continuer à aller loin, ça me demande de l'énergie, de la volonté, une vision simple, c'est beau, c'est gentil, c'est ferme, c'est courageux, le passage est dans l'histoire, il vient à la bonne heure et repart quand il doit partit, il n'y a pas de vague, tout va bien, il fera beau, un jour prochain nous serons ailleurs, ça dépend de nous, notre volonté est actuelle, elle veut que nous soyons le plus près possible de l'entente, ça commence par là, deux histoires différentes et un jour la rencontre, et enfin l'enfant qui nait, les générations se succèdent

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