when is it now

vendredi 27 septembre 2013

l'autre jour c'était un autre jour, alors je me suis dit, tiens moi, ça va durer longtemps, car maintenant c'est la course, j'attends depuis deux jours, ça vient tout seul pour repartir vite, car il est vivant, toujours à la recherche de son salut, mais que va-t-il trouver, ça dépend des circonstances favorables, pour dire le contraire, faudrait d'abord savoir quelle est la solution la plus simple, car je suis pressé, j'attends un colis qui devrait arriver aujourd'hui, j'ai demandé à l'ouvreuse, elle m'a dit d'accord, ensuite je suis rentré chez moi, j'avais besoin de réfléchir, allais-je lui demander aute chose qu'une glace au chocolat, je restais comme ça pendant des heures, ne sachant pas renoncer au plaisir de penser à elle, mais depuis quelques temps je n'arrive plus à concevoir le bonheur, ça m'est arrivé quand je suis rentré chez moi la dernière fois, il était huit heures, il y avait encore des feuilles aux arbres, j'en conclus que le nombre était entier, car pour se rendre compte de la continuité de la permanence de l'inaction, il vaudrait mieux se placer à l'ombre, car la lumière du soleil est trop belle, elle fausse les résultats, vais-je donc m'apercevoir de la chance qui me tombe dessus, je n'avais pas prévu d'en rester là, mais la force du courant m'entraîne vite et loin, depuis ce tems je commence toujours mes phrases par autre chose, c'est une façon de me présenter avec un fort accent de vérité intérieure, vie, oui, vie, toujours vie, pour ainsi dire, dire, dire, dire, et un peu de ciel, la terre est marron, ça ne fait rien, je n'ai plus faim, mais quand viendra le moment de partir je saurai où aller car chaque instant est possible, ça ne compte pas dans le même sens, ça devrait achever le travail dans exactement deux heures, mais avant de continuer il faut toujours faire attention à la marche

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