when is it now

lundi 30 septembre 2013

suis-je encore au courant d'air ou au courant d'eau, ça compte deux fois, la première c'est la surprise, on est étonné, comment on peut se débrouiller, c'est brouillé comme des oeufs, mais depuis au moins soixante ans c'est la paix, en Europe, mais dans le monde il y a des guerres, en Europe on a réussi à exporter les guerre pour ne plus souffrir car dans la guerre il y a beaucoup de morts, alors que dans la paix, les gens meurent en voiture ou en tombant de l'échelle, ce sont des morts individuelles, ça ne part pas en grand nombre sauf en cas de catastrophe naturelle ou chimique, dans ces deux cas on appelle les pompiers qui arrivent avec leur sirène qui n'est pas la même que celle des policiers, car leur travail n'est pas le même, quand arrive le samedi je me dis qu'on peut aller se promener mais depuis qu'il est l'heure de manger, on se met à table, ça dure une heure, ensuite on se passe de la musique pour se détendre, et le soir arrive, c'est bien le soir, il faut allumer les lumières, bientôt on devra mettre du chauffage, l'hiver approche, l'été s'éloigne, il reviendra après le printemps, de temps en temps je prends tout le courage nécessaire pour affronter l'ennui, ça comment à une heure précise, je le vois arriver, je suis prêt, des heures de passion stupide, et donc, dingue, blague, sous le vent, ou plus précisément, rarement car toujours en activité, pour ce matin, un essai facile, des longues attaches qui laissent quand même un peu de liberté, des choix facilement éclairés, mais au fond que se passe-t-il, je ne vois rien de demain, oui, dans quelques heures, que faire, qu'obtenir immédiatement, ça ne peut pas passer, il faut attendre, jusqu'à quand, quand, quand, le maître mot s'étend sur toute la largeur, il raisonne dans ma tête, quand, quand, quand, quand, et voilà que je tombe, ça fait du bien, je n'en pouvais plus de mentir, ça prend trop de ressources

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