when is it now

mardi 24 décembre 2013

ce fut une grande fantaisie, du vent qui détrône le moment, la tempête qui déracine le plaisir, et tout ce qu'on peut faire anéanti par la chance de perdre la vie écrasé par un mur qui tombe, quelques fois je me dis où suis-je, vais-je tomber sous la balles d'un fusil tenu par un fou de dieu n'acceptant pas que tout le monde pense comme lui, c'est le problème des religieux intégristes, ils voudraient qu'on pense tous la même chose au même moment, mais est-ce possible, en effet on imagine bien que dans une foule de gens qui prient, certains pensent à prier, d'autre à ce qu'il y a dans le four, d'autre à la femme qu'il va pénétrer juste après, c'est donc la liberté de penser à un moment particulier qu'on appelle l'humanisme, cette philosophie accorde à tout le monde la liberté de penser ce qu'il veut, c'est dans l'action qu'il y a des règles strictes, on ne peut tuer quelqu'un, on ne peut mentir à quelqu'un au point de lui faire croire qu'il ne pense pas comme il faut, ce qui est bien dans la vie c'est de vivre dans la liberté, et je suis très content de vivre en France aujourd'hui, parce qu'en France on a compris depuis des centaines d'années que le moment est vrai sans avoir besoin de dire qu'il faut être dans un sens précis, la liberté est générale, elle est vague, rien de précis, un petit exemple de choix sans maître à penser, tout est là dans un ordre qu'on veut bien lui donner, cette situation prend son point de départ à la révolution française, car avant 1789, les rois étaient injustes, ils se croyaient avoir le droit divin sur tous les autres, heureusement qu'en France il y a eu des gens pour dire stop, et on a coupé la tête du roi, ensuite il a fallu un peu plus d'un siècle pour arriver à la démocratie, cette possibilité de prendre le pouvoir par le vote, c'est une beauté que la république, tout est basé sur le droit, il y a des contre-pouvoirs, même si l’ascenseur social ne marche pas tous les jours, il y a une croix pour chacun et on en fait ce qu'on veut, vive la démocratie, vive moi

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