when is it now

dimanche 21 février 2010

dans un certain sens je vais d'abord partir pour rencontrer l'autre côté à condition de réunir les éléments nécessaires à l'élaboration du plan définitif, encore faut-il savoir que l'importance des considérations affectueuses ne ressemblent pas aux impulsions premières, il faut pour cela reprendre à zéro l'ensemble des satisfaction pour concevoir un nouvel élan vers, toujours vers, mais vers quoi, qui peut répondre à cette question simple, où vais-je, je vais travailler, je vais dormir, je vais chanter sous la doucher, ce sont des moments qui passent, mais ce qui ne passe pas, c'est la mort, pourquoi mourir, alors qu'on peut encore boire une bière, tranquillement installé au bar de la place, mais il n'y a pas d'heure pour mourir, comme il n'y a pas d'heure pour vivre, on vit tout en même temps, pas d'ordre, pas de premier, de deuxième, tout arrive sans prévenir, à l'assaut, les émotions, les organes qui fonctionnent, ceux qui sont en panne, les visions inintéressantes, les quoi, les comment, et tout ce qui vient après, mais ça ne dure qu'une seconde, pour bien faire les chose, c'est comme ça que tout va de travers, il n'y a pas de projet, j'ai pourtant l'idée de faire une chose dans ma vie, une seule qui me donne l'idée d'avoir une idée, sans tourner autour du pot, en allant tout droit sans jamais s'arrêter par peur de ne pouvoir commence à compter jusqu'à trois en prenant la première solution immédiate

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